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Le 19 décembre, six banques françaises ont été sanctionnées pour avoir



syjo syjo
23/12/2020 09:48:30
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Il faut payer en cash, ils ont horreur de çà.

  
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kaeser kaeser
23/12/2020 09:34:33
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il y a les neobanques , y a moins d'opacite , il y a des frais mais ce ne sont pas des frais cachés ...le patron de yeeld a revelé que les decouverts et les incidents de paiement rapporte chaque année aux banques 7 milliards d'euros .

vous imaginez 7 milliards d'euros prelevé sur le dos de ceux qui n'ont pas de notion d'epargne , d'ailleurs les banques ne developpent pas ces notions car c'est contre productif pour elles.


plus besoin des banques ,ol faut uberiser et utiliser la panoplie de neobanques qui s'offrent a nous -bientot il y aura aussi la possibilité de financer un bien immobilier par ces nouveaux entrants et on pourra les fermer.

  
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ALEZE ALEZE
23/12/2020 00:01:27
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Six banques ont écopé de plus de 2,8 millions d’euros d’amendes pour avoir facturé trop de frais lors des paiements par carte bancaire.

C’est une première qui se révèle particulièrement coûteuse pour les banques concernées. Comme le rapporte Le Parisien, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vient de sanctionner six banques françaises. Celles-ci ne respectaient pas les règles européennes sur la tarification en vigueur pour les paiements par carte bancaire. Elles devront régler un total cumulé de plus de 2,8 millions d’euros.

La première banque concernée est BNP Paribas qui devra régler la somme de 1.494.066 euros, puis la Banque Postale (1.168.162 euros), la Banque populaire du Grand Ouest (74.446 euros), la banque Afone (58.200 euros), la Caisse régionale Crédit Agricole Normandie (48.276 euros) et la Caisse fédérale du Crédit mutuel Maine Anjou Basse-Normandie (35.600 euros). Romain Roussel, directeur de cabinet à la DGCCRF souligne que ce type de sanction est inédit, mais aussi que "d’autres contrôles se poursuivent pour garantir une meilleure protection des consommateurs".

>> A lire aussi - Frais bancaires : les banques les moins chères en 2020 pour les retraités

BNP Paribas forme un recours

Trois types d’infractions ont été identifiés par la DGCCRF. La première concerne leurs clients commerçants qui seraient victimes d’une absence de transparence tarifaire. Concrètement, les contrats pour les TPE et PME mentionnent seulement une "commission globale". Pour les consommateurs, c’est l’absence de différenciation visuelle entre les cartes de paiement à débit et/ou à crédit qui est pointée du doigt. Enfin, les cartes qui permettent à la fois un paiement immédiat ou à crédit renouvelable feraient elles l’objet de commissions d’interchanges excessives. Celles-ci sont normalement plafonnées à 0,2% pour les cartes à débit et 0,3% pour celles à crédit. Or, les banques contrôlées facturent 0,3% de commission sur un nombre trop important de cartes duales, peu importe le mode de règlement choisi par le consommateur.

Contactée par Le Parisien, la Banque Postale affirme que "des dispositions sont prises pour se mettre en conformité sur les manquements constatés". En revanche, interrogée par le quotidien, BNP Paribas "conteste les conclusions de la DGCCRF" et affirme avoir formé un recours devant le Tribunal administratif de Paris.


  
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ALEZE ALEZE
23/12/2020 00:01:48
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Le 19 décembre, six banques françaises ont été sanctionnées pour avoir appliqué à leurs clients des frais excessifs. Michel Guillaud, président de l’association de consommateurs France Conso Banque, réagit en vidéo pour Capital.

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a sanctionné six banques françaises à hauteur de 2,8 millions d’euros, notamment pour avoir facturé des frais excessifs lors des paiements par carte bancaire. Mais à en croire Michel Guillaud, le président de l’association France Conso Banque, “ce n’est qu’une pratique parmi tant d’autres et ce n’est peut-être pas la pire”. Il existe des pratiques bancaires “connues” comme les commissions d'interchange sur chèques qui ont fait l’objet d’une plainte de la Fédération du Commerce et de la Distribution en 2009, “d’autres inconnues et celles pour lesquelles on peut avoir un doute raisonnable” selon Michel Guillaud qui estime par ailleurs que “la traque aux abus bancaires est de plus en plus difficile”.

>> A lire aussi - Plusieurs banques sanctionnées pour des frais excessifs

Au regard de certains exemples comme la commission d’intervention à hauteur de 8 euros, le président de l’association de consommateurs se dit en effet consterné et étonné de voir entre les banques “la convergence de certaines politiques de prix par rapport à des gammes de services précis” comme les frais de retrait dans les distributeurs d’autres banques qui oscillent entre 0,90 et 1 euro. Ces pratiques alimentent “une suspicion d’entente stratégique” entre les banques. Aucune preuve n’existe mais selon France Conso Banque, il pourrait s’agir d’une "manœuvre des banques traditionnelles contre les banques en ligne”. En effet, le marché bancaire est “un marché oligopolistique où seules six banques réalisent 80 à 90% des activités" et où il est donc “plus facile de s’entendre”, juge Michel Guillaud.

En parallèle, ce dernier affirme que “les banques sont aidées par le contexte économique et le gouvernement”. Pour lui, les mandatures précédentes ont fait du secteur bancaire un secteur stratégique qui “a tendance à fermer les yeux sur certaines pratiques”. Ainsi, la crise de 2008 aurait marqué le début d’une “explosion des mauvaises pratiques bancaires” que “les gouvernements et le système judiciaire laissent passer pour la bonne cause macroéconomique et macro financière”. Pour le président de France Conso Banque, le secteur bancaire est aujourd’hui “illisible, complexe et ambigu” et “il faudrait le réformer".

Les banques peuvent-elles évoluer vers plus de transparence vis-à-vis de leurs clients ? Pour Michel Guillaud, qui a vu passer des centaines de dossiers de litiges, le “jusqu’au boutisme juridique des banques” leur évite de se remettre en cause. D’autant que les banques savent qu’une bonne part des plaignants n’ira pas au bout, si bien qu’elles demeurent “dans une logique de course d’obstacles où si vous ne faites pas une procédure, vous n’aurez rien”, regrette Michel Guillaud.

  
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