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Confinement saison 3 à Nice et Dunkerque, épisodes à suivre ?

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fipuaa fipuaa
01/03/2021 17:42:05
0

t'as bien résumé le vrai problème!

  
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angeloysse angeloysse
01/03/2021 17:38:49
1

il est pas normal de privés les citoyens de leurs libertés sous prétexte que certains sois en réanimation ou qu'il ni a pas suffisamment de lits .

personnellement c'est pas mon problème cette gestion du manque de lit et de personnel mais a macron qui dans l'ombre de hollande (le patapouf) avait déjà commencé sur cette voix de destruction massif de l'hôpital puis dans son programme présidentiel avec l'un des plus grand et vaste plan social (120 000 )

nous n'avons pas nous qui ne somme pas malade de pâtir et a perdre nos libertés de vivre et d'empêcher toute personne de déplacements ou de travailler .



  
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fipuaa fipuaa
01/03/2021 17:23:34
0

ni l'un ni l'autre

  
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Anjou49 Anjou49
01/03/2021 15:25:51
0

Question idiote :

Pour le gouvernement qu’est-ce qui est le plus important :

A. Le nombre de morts

B. Ne pas arriver à saturation des hôpitaux.


  
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fipuaa fipuaa
01/03/2021 14:33:52
2

""""""Jamais les mêmes limites, faut bien suivre... C'est usant."""""""""

pour les cadors aucune limite de leur connerie, ils sont facile à suivre nos champions

@moicpasmoi

pour ce qui est de l'illégalité, on peut toujours discuter d'un état dirigé par les 7 nains au travers d'un "conseil de défense" qui n'a de comptes à rendre à personne

la France est dirigée par des imposteurs, des putschistes élus avec 20 % des voix, des amateurs dont l'incompétence est dévastatrice mais on s'habitue bien depuis le général, ils se clonent c'est pas possible!

  
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angeloysse angeloysse
01/03/2021 14:29:04
0

comme en 39/45 croix de bois croix de fer si je mens je vais en enfer nous connaissons la suite !!!



  
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moicmoi moicmoi
01/03/2021 14:18:31
1

sennac
« « il est bien plus facile et reposant de racketter que de courir après des voyous »
»

Et encore une fausse bonne idée.

Les voyous ont choisi la facilité en ne rackettant QUE des cibles déterminées (qqs dizaines, centaines) , précises et restreintes, alors que l’état rackette presque toute la population (65 millions d’individus). Vaste programme.

Donc, on peut en déduire que l’état est plus truand que les voyous .

Et, gâteau sur la cerise , nos derniers ministres de l’intérieur s’affichent clairement avec le milieu, (castagnettes) , ou avec les clandestins illégaux, en se mettant clairement hors-la-loi lui-même.(darmanin-de-jardin ; dissolution de Génération Identitaire qui protège nos frontières. Qui fait le boulot que lui est incapable de faire)

Une pétition contre la dissolution circule sur le Net.

Autre point : les flics ne sont pas payés pour se faire massacrer, (ils ne font qu’obéir aux ordres - sinon, c'est la porte) malgré toutes les déclarations non suivies d’effet de nos fiers à bras de ministres. Et les voyous (ce que certains appellent « la racaille »), sont bien armés et organisés pour ce faire .
A se demander si : petit a, si ce n’est pas eux, « la racaille » qui ont raison, en regard de l’impunité dont ils semblent bénéficier.

petit b : qui mérite prioritairement le surnom de «racaille » ?

moi, j'ai choisi.

Les politicons seraient de belles cibles pour le jeu du « chamboule-tout.

  
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Slither Slither
01/03/2021 13:05:30
0

5 kms. Jamais les mêmes limites, faut bien suivre... C'est usant.

  
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sennac sennac
27/02/2021 17:49:30
2
il est bien plus facile et reposant de racketter que de courir après des voyous
  
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pcottaz pcottaz
27/02/2021 17:18:47
1
Pas de Playstation, on prend la voiture est on va contaminer le département voisin, c'est plus cool 🥳🥳🥳
  
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pcottaz pcottaz
27/02/2021 17:18:47
0

Des policiers contrôlent un joggeur sur la Promenade des anglais, à Nice, le 27 février 2021 (AFP/Valery HACHE)

Couvre-feu à 18H00 la semaine et, désormais, "beaucoup de Playstation" le week-end : pour freiner l'épidémie de Covid, Nice et Dunkerque inauguraient samedi une nouvelle variante de restrictions, le confinement des samedi et dimanche, qui guette d'autres grandes villes et départements si la situation se dégrade.

Le Premier ministre Jean Castex a d'ailleurs demandé samedi aux préfets des 20 départements où l'épidémie de Covid-19 menace de flamber de renforcer les contrôles des mesures en vigueur, dont les couvre-feux, en rappelant que l'objectif est de "tout faire pour éviter un confinement national".

A Nice, l'emblématique promenade des Anglais et l'avenue commerçante Jean-Médecin, quasi déserts, donnaient des allures de cité fantôme à la cinquième ville de France et les habitants interrogés par l'AFP se montrent résignés.

"S'il faut en passer par là pour qu'on puisse avoir un peu plus de libertés par la suite, pourquoi pas?", concède Frédérique Duval, 51 ans, venue rapidement s'oxygéner sur le bord de mer en ce matin frisquet. "Il faut faire quelque chose, ça augmente dans la région", admet aussi Charlie Kentish, un cuisinier anglais de 56 ans, installé de longue date sur la côte d'Azur, et qui s'apprête à "jouer beaucoup à la Playstation" avec ses trois garçons de 15 à 19 ans.

Sur tout le littoral des Alpes-Maritimes et, à l'autre bout du pays, dans toute la communauté urbaine de Dunkerque, les déplacements non justifiés par un motif dérogatoire sont interdits. Il faut à nouveau se munir d'une attestation pour se promener une heure, dans un rayon maximal de 5 km. Seuls seront ouverts les commerces dits essentiels, dont font désormais partie les librairies.

A Bergues, près de Dunkerque, quatre gendarmes menaient des contrôles à la mi-journée devant la mairie, a constaté un journaliste de l’AFP et une cinquantaine de gendarmes seront "sur le terrain au plus fort des contrôles", a indiqué le commandant Franck Chacon.


Carte localisant les 20 départements français placés sous surveillance renforcée par le gouvernement le 25 février (AFP/)

Pour Francis de Smett, "80 ans aujourd’hui", et venu chercher son gâteau d’anniversaire, "ces contrôles, c’est très bien" et "les dispositions auraient dû être prises beaucoup plus tôt".

- "Surveillance accrue" -

Le nouveau tour de vis local a été décidé après un fort rebond de l'épidémie dans ces zones, qui a mis les hôpitaux sous haute tension. A l'hôpital de Dunkerque, "l'ensemble des lits de réanimation était occupé" jeudi "avec 70% de patients Covid" et "plus de soixante transferts de patients en réanimation ont déjà été organisés ces derniers jours" vers d'autres hôpitaux de la région, ont annoncé la préfecture du Nord et l'Agence régionale de santé (ARS).


Des gendarmes contrôlent l'attestation de déplacement d'un livreur, le 27 février 2021 à Bergues, dans la communauté urbaine de Dunkerque (AFP/Archives/FRANCOIS LO PRESTI)

Les confinements sont en vigueur pour au moins deux week-ends à Nice et Dunkerque.

Mais d'autres territoires pourraient suivre la semaine prochaine, car que l'épidémie gagne à nouveau du terrain, renforcée par les variants du coronavirus, dont le variant anglais, considéré comme plus contagieux et qui représentait 49% des nouveaux cas de contamination la semaine du 15 février, selon Santé publique France.

Une réunion samedi matin en visioconférence entre Jean Castex, les ministres de la Santé et de l'Intérieur, les préfets des 20 départements et les directeurs généraux des Agences régionales de santé des zones concernées par la rapide remontée des indicateurs, avait précisément pour objet de donner le cadre des concertations qui seront ensuite menées avec les élus de ces territoires, couvrant notamment les Bouches-du-Rhône et le Rhône, ainsi que les huit départements de la région parisienne.


Des promeneurs sur la plage de Dunkerque pendant un premier week-end de confinement, le 27 février 2021 (AFP/FRANCOIS LO PRESTI)

Les discussions ont démarré de manière tendue avec la ville de Paris, qui a proposé jeudi soir un confinement de trois semaines et pas seulement le week-end, avant d'en faire une simple "hypothèse de travail" vendredi. Accusée à son tour d'avoir ignoré la concertation, la maire PS de Paris Anne Hidalgo doit réunir lundi tous les maires d'arrondissement.

En Ile-de-France, où le variant anglais est prépondérant, le taux d'incidence n'a cessé de grimper, passant de 240 à 312 cas pour 100.000 habitants sur sept jours, entre le 14 et le 23 février, et atteignant plus de 360 en Seine-Saint-Denis.

Au niveau national, la charge sur les hôpitaux a baissé tout au long du mois de février mais elle reste élevée, avec 25.000 malades actuellement hospitalisés, dont plus de 3.400 en réanimation (contre 7.000 et 4.900 aux pics des première et deuxième vagues).


Covid-19 : situation dans les hôpitaux (AFP/)

La campagne de vaccination progresse toujours lentement, sur fond d'approvisionnements limités, mais elle a commencé à produire ses effets dans les Ehpad et chez les plus de 75 ans, a relevé Santé publique France dans son dernier bulletin.

© 2021 AFP

  
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