Les aquiferes utilisés pour le stockage de gaz sont vers 600 m de profondeur et sont sales.
En surface, les aquifères sont souvent utilisés pour notre alimentation en eau potable (nappes phréatiques). Cependant, l’eau retenue dans la roche devient de plus en plus salée en profondeur, pour atteindre des salinités bien supérieures à celles de la mer qui la rendent impropre à la consommation.
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Rithal
« « dubaisan , même pas besoin de rajouter du sel , les aquiféres sont salés. » »
les aquiféres sont salés ? C’est la meilleure, celle-là.
Tu devrais en faire une communication dans Journal of Geophysical Research Earth Surface, dans les Annales de Géologie, dans Karstologia, . Tu ferais sensation.
Une bombe.
Message complété le 28/03/2021 22:06:09 par son auteur.
Rithal
« « on transforme du methane en methane , avec une rendement de l'ordre de 30% . » »
Perso, je transforme du methane en methane , avec une rendement de l'ordre de 100% .
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syjo , la on produit de l'hydrogène pour la chimie par reformage de gaz naturel , on ne va pas retransformer le CO2 en méthane , en bouffant l'hydrogène , non seulement on ne produit plus rien mais on a 2 usines à payer.
remarque les Italiens ont aussi un plan hydrogène avec des tas d'électrolyseurs , or chez eux l'électricite vient à 45% du gaz , avec l'electrolyse ils transforment de l'electricite en un gaz combustible , l'H2, et si on fait du power to gas en transformant ce gaz combustible en méthane par reaction avec du CO2 , on transforme du methane en methane , avec une rendement de l'ordre de 30% .
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dubaisan , même pas besoin de rajouter du sel , les aquiféres sont salés. Et en plus ca fait des sources d'eau perrier , saint yorre ou saint galmier .
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"il suffit de comprimer le CO2 pour l’envoyer en stockage géologique en aquifère..."
Si t'envoies du CO2 sous pression dans des aquifères et en rajoutant un chouia de sel, t'auras du Perrier tout prêt !!!
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Plutôt que de tenter de créer artificiellement par des subventions des utilisations non économiques de H2 dans l’energie ce qui va conduire au remplacement d’une part des vehicules électriques à venir par des vehicules à hydrogène qui consomment 3 fois plus déelectricité pas complètement dé carbonée en Europe , donc a une augmentation des émissions de CO2
ne serait t’il pas mieux de tenter de faire remplacer l’hydrogène carboné actuellement utilisé dans la chimie par de l’hydrogène de carboné .
L’Europe produit 10 millions de tonnes d’H2 par an , ce qui consomme 10 000 000 000 *33.6/75% = 448 GWh de gaz et produit 10 *44/4/2 /75% = 73 millions de tonnes de CO 2 par an, en France c’est 1 million de tonne d’hydrogène , 44,8 GWh et 7,3 millions de tonnes .
L’hydrogène est produit a 97 % par reformage à la vapeur de gaz naturel à haute température suivi de la reaction du gaz a l’eau convertissant le monoxyde de carbone en CO 2 , la reaction globale est :
CH4+2H2O > CO2+4H2 , après separation de l’hydrogène et du CO2 ,
on produit du CO2 pur , pas besoin de couteuse séparation de l’azote et du CO2 comme dans les fumées des centrales thermiques , il suffit de comprimer le CO2 pour l’envoyer en stockage géologique en aquifère ou ancien gisement de gaz .
En France les usines actuelles de production d’hydrogène sont situées a Lyon , Grenoble , le Havre et a Douai a Lacq et a Lavera , toutes ces usines sont dans des bassins sédimentaires et il y a des aquiferes dans les bassins sédimentaires ., on voit ci dessous que le cout de la capture est le plus important car il s’agit du cas d’un centrale thermique ou le CO2 est dilue dans beaucoup d’azote .
Hors capture le cout de transport jusqu’a l’aquifère est de 20 E par tonne et le cout du stockage de 5 E par tonne .
Cela ferait en France pour capter les 7,3 millions de tonnes de CO2 produites par la production d’hydrogène chimique , 176 ME par an . ,l,..... «
Les coûts sont évalués à 40 à 80 dollars américains la tonne (à la valeur de 2002 de l'USD) pour une séquestration de CO2 liquide, à partir de la centrale thermique, incluant le transport et la décharge dans les océans. En France, selon les évaluations de Gaz de France <https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gaz_de_France> , la capture est la partie la plus coûteuse de l'opération (40 à 60 € la tonne de CO2), le coût du transport étant de 2 à 20 €/t de CO2, le stockage ne comptant que pour 0,5 et 10 €/t CO2, pour un total compris entre 43 et 90 €/t de CO2. L'Industrie des hydrocarbures estime elle-même que seuls environ 10 % des émissions mondiales pourraient faire l'objet d'un stockage à des coûts raisonnables (à partir des grandes sources d'émissions, situées à une relative proximité de sites potentiels de stockage)[43]. »
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