Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
1.746 ça redémarre juste après avoir stagné ce matin...à suivre les 1.80 (Nasdaq va charger)
LES INVESTISSEURS FUIENT LES BONS DU TRÉSOR AMÉRICAIN POUR LE CASH, DIT BOFA
LONDRES (Reuters) - Les investisseurs ont massivement délaissé les bons du Trésor américain mais ont augmenté leurs flux vers les fonds de liquidités ("cash") depuis le début de l'année, alors que les marchés mondiaux se préparent à une hausse des taux d'intérêt, montrent les données hebdomadaires sur les flux publiées vendredi par Bank of America.
"Le choc des taux en 2022 suivra le choc de l'inflation de 2021 et les conditions financières vont se tendre fortement", estiment les analystes de BofA et son directeur de la stratégie d'investissement, Michael Hartnett.
Le compte rendu de la réunion de décembre de la Réserve fédérale (Fed) a montré que ses responsables préparaient le terrain pour des relèvements plus rapides des taux d'intérêt.
Les marchés monétaires aux États-Unis et au Royaume-Uni intègrent une hausse de taux de la Fed et de la Banque d'Angleterre dès le mois de mars.
D'après les calculs de BofA, les banques centrales mondiales ont acheté pour 26 milliards de dollars (23 milliards d'euros) d'actifs chaque jour sur les marchés depuis la pandémie de COVID-19, faisant grimper la capitalisation du marché mondial des actions de 133 milliards de dollars par jour.
Les fonds d'investissement en actions ont attiré un afflux record de 949 milliards de dollars de capitaux en 2021, un montant supérieur au total cumulé sur les deux dernières décennies.
Les bons du Trésor américain ont subi sur la semaine leurs plus importantes sorties de capitaux en un an, avec des retraits de deux milliards de dollars.
Les valeurs du secteur de l'énergie ont, eux, bénéficié d'importantes entrées et tandis que les actions européennes ont enregistré leurs premières entrées en huit semaines.
Sur la base des allocations de ses clients privés, BofA recense à 11,2% la part d'argent investi en liquidités, le niveau le plus élevé depuis avril dernier. Cette catégorie a attiré la semaine dernière le plus important afflux d'argent depuis juillet 2020, a précisé la banque américaine.
(Reportage Saikat Chatterjee, version française Laetitia Volga, édité par Sophie Louet)
Répondre
|
1.744
Répondre
|
Ca repart en fin d'après midi 1.677
Répondre
|
1.672
Répondre
|
1.64 au plus haut ce jour
Répondre
|
Dow, 36540,...36700...36540...
Répondre
|
1.617 + 7%...
Répondre
|
Ca frole les 1.70
Message complété le 24/11/2021 16:20:04 par son auteur.
En un mois le VIX a pris 32%
Répondre
|
1.653... ça monte, ça monte...
Répondre
|
1.591 au plus haut ce matin, on repart à l'attaque des 1.60
Répondre
|
1.524
commentaires CERCLE DES FINANCES
' John Williams, de la Fed de New York, a déclaré que l'inflation devient plus généralisée et que les attentes concernant les futures augmentations de prix sont en hausse ', rapporte le bureau parisien.
Et l'inflation, il en était question ce matin en Allemagne avec un indice des prix à la production stratosphérique... qui n'impressionne pas les marchés obligataires puisque les Bunds se détendent de -4Pts vers -0,32%, nos OAT de -4Pts également à 0,025%... et les T-Bonds affichent un spectaculaire -6,5Pts à 1,523%.
La seule explication plausible serait que de 'grosses mains' passent en risk off', estimant que les actions ont beaucoup à perdre après un cycle de 24 séances de hausse, le S&P500 affichant 66 records absolus depuis le 1er janvier.
Alors que la saison des publications trimestrielles touche à sa fin, les investisseurs vont devoir se lancer à la recherche d'autres catalyseurs pour soutenir la tendance.
Répondre
|
Bons chiffres aux US et les tx baissent...1.577
14h30 à Paris
- Chiffres coté chômage US
Bénéficiaires réguliers de l'allocation chômage
2.080K
contre 2.209K
Inscriptions hebdomadaires au chômage
268K contre 269K
- Coté activité indices Fed de Philadelphie Nov : 28.5 contre 24.2. Nouvelles commandes 47.4 contre 30.8 prix payés 80 contre 70.30
Répondre
|
Et pendant ce temps là le Cacounet monte...
Source ADVFN
Les marchés d'actions européens devraient peu évoluer jeudi à l'ouverture, alors que les principaux indices évoluent à des points hauts historiques. Les investisseurs sont par ailleurs préoccupés par l'inflation et la reprise de l'épidémie de Covid-19 en Europe.
A 7h35, le contrat à terme sur le CAC 40 était inchangé, selon les données du courtier IG Markets. L'indice phare de la Bourse de Paris a clôturé mercredi à un record de 7.156,85 points. Le contrat sur le DAX 40 gagnait 8 points, soit 0,05%, et celui sur le FTSE 100 cédait 7 points, ou 0,1%.
Des inquiétudes persistantes concernant l'inflation et la reprise économique à l'issue de la crise sanitaire freinent les marchés, mais l'absence d'alternatives aux actions et l'espoir que la consommation puisse continuer à servir de pilier à la reprise économique favorisent des gains et une rotation inégale selon les secteurs.
"Pour que le marché progresse encore, il faudrait probablement constater des signes de modération de l'inflation", indique Giorgio Caputo, responsable multi-actifs chez JO Hambro Capital Management. "Je ne sais pas si nous les obtiendrons dans les prochains mois", ajoute-t-il. " C'est possible. Mais il est plus probable que cela prenne un peu plus de temps," estime-t-il.
Mercredi, le président des Etats-Unis, Joe Biden, a demandé à la Federal Trade Commission (FTC) d'enquêter pour déterminer si les groupes pétroliers avaient recours à des pratiques illégales pour maintenir les prix de l'essence à des niveaux élevés.
Dans une lettre adressée mercredi à la présidente de la FTC, Lina Khan, Joe Biden a affirmé qu'il existait "de plus en plus de preuves" que les sociétés pétrolières et gazières agissent "contre les intérêts des consommateurs". Le président américain souligne notamment que les prix de l'essence augmentent à la pompe alors même que les prix à la sortie des raffineries diminuent.
"Cet écart important et inexpliqué [....] est bien supérieur à la moyenne d'avant la pandémie", écrit Joe Biden. "Dans le même temps, les plus grandes sociétés pétrolières et gazières d'Amérique réalisent des bénéfices importants grâce à la hausse des prix de l'énergie".
Le locataire de la Maison-Blanche a demandé à la FTC, l'autorité chargée de la concurrence et de la protection des consommateurs aux Etats-Unis, "d'utiliser tous les outils" à sa disposition si elle découvrirait "des actes répréhensibles" de la part des groupes pétroliers.
Certains analystes ont exprimé des doutes quant à la capacité de la FTC à trouver des preuves suffisantes pour étayer les allégations de Joe Biden et ont indiqué que le président disposait de peu d'options pour faire baisser rapidement les prix de l'essence.
L'inflation aux Etats-Unis a atteint en octobre son plus haut niveau depuis trois décennies. Les prix de l'essence s'inscrivaient notamment en hausse de 60% à la mi-novembre par rapport à la même période un an plus tôt, ce qui a porté le prix du gallon d'essence à un niveau record depuis 2014.
Dans ce contexte, Wall Street a terminé en repli mercredi après la publication de résultats trimestriels diversement appréciés dans le secteur de la grande distribution et un recul du secteur de l'énergie, dans le sillage des cours du pétrole. L'indice Dow Jones (DJIA) a perdu 0,6%, à 35.931,05 points, et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,3%, à 4.688,67 points. Le Nasdaq Composite a abandonné 0,3%, à 15.921,57 points.
Répondre
|
1.584
Répondre
|
1.649 plus haut cette nuit
Message complété le 17/11/2021 09:36:11 par son auteur.
Et retour du plafond de la dette...
Source ADVFN
Dans un courrier adressé aux dirigeants du Congrès américain, Janet Yellen a prévenu que le gouvernement fédéral risquait de se retrouver dans l'incapacité de respecter ses obligations financières le 15 décembre si les parlementaires ne votaient pas en faveur d'un relèvement avant cette date. La responsable avait précédemment indiqué que la hausse temporaire du plafond de la dette des Etats-Unis, votée par le Congrès en octobre, permettrait à l'Etat fédéral de payer ses factures au moins jusqu'au 3 décembre.
Dans un contexte d'inflation forte aux Etats-Unis, la présidente de la Réserve fédérale (Fed) de San Francisco, Mary Daly, a réaffirmé mardi soir qu'un durcissement monétaire dans le but d'enrayer la hausse des prix risquait d'avoir des conséquences douloureuses pour l'économie.
"Face à une incertitude sans précédent, la meilleure politique consiste à reconnaître la nécessité d'attendre", a déclaré Mary Daly dans un discours. "Bien que cela puisse être difficile, en fin de compte, patienter est la chose la plus audacieuse que nous puissions faire", a-t-elle ajouté.
La banquière centrale continue de penser que la forte inflation observée récemment aux Etats-Unis va s'atténuer à mesure que l'économie retrouve un fonctionnement normal. Les anticipations d'inflation à long terme montrent d'ailleurs que les ménages s'attendent à un tassement de la hausse des prix, a-t-elle souligné. Agir rapidement au plan monétaire pour juguler l'inflation aurait "un coût" pour l'économie, selon elle, si les tensions sur les prix venaient à s'atténuer.
Les propos de Mary Daly vont à l'encontre de ceux du président de la Fed de Saint-Louis, James Bullard, qui avait peu auparavant plaidé pour un durcissement de la politique monétaire américaine afin de juguler l'inflation.
Répondre
|
DJ Bullard (Fed) demande une politique monétaire plus dure pour contrer l'inflation
Dow Jones le 16/11/2021 à 16:44
NEW YORK (Agefi-Dow Jones)--Le président de la Réserve fédérale (Fed) de Saint-Louis a plaidé mardi pour un durcissement de la politique monétaire américaine afin de juguler l'inflation.
L'inflation, au niveau qu'elle a atteint aux Etats-Unis, "n'a pas la réputation de redescendre très facilement", a déclaré James Bullard sur Bloomberg TV. "Je pense qu'il incombe au [comité de politique monétaire] de s'engager dans une voie plus restrictive lors de ses prochaines réunions pour traiter correctement le risque d'inflation", a-t-il ajouté.
Une politique moins accommodante ne devrait pas freiner l'économie, selon James Bullard. "Si l'inflation ne disparait pas aussi rapidement qu'espéré, alors il reviendra au comité de la maintenir sous contrôle", a souligné le responsable, qui prendra part au vote sur les taux l'année prochaine.
Le banquier central a confirmé s'attendre à deux relèvements du taux des fonds fédéraux en 2022, une trajectoire déjà anticipée par le marché, selon lui.
A l'issue de la réunion de novembre, le président de la Fed, Jerome Powell, a indiqué que l'institution n'avait pas encore débattu du relèvement des taux d'intérêt, souhaitant au préalable mettre un terme à ses rachats d'obligations.
La Fed a reconnu que les pressions inflationnistes s'étaient révélées plus importantes et plus durables que prévu, mais souhaite éviter un durcissement trop brutal de sa politique afin de soutenir un redressement plus complet du marché du Travail dans le sillage de la crise sanitaire.
Dans le scénario plus "faucon" proposé par James Bullard, la banque pourrait envisager une hausse des taux avant même d'avoir éliminé complètement ses rachats d'actifs, un processus graduel dont l'achèvement est actuellement prévu pour juin 2020. La Fed pourrait également décider de réduire son bilan, actuellement de 8.600 milliards de dollars, une fois que le "tapering" aurait été mené à son terme.
-Michael Derby, The Wall Street Journal (Version française Thomas Varela) ed : ECH
Agefi-Dow Jones The financial newswire
(END) Dow Jones Newswires
November 16, 2021 10:44 ET (15:44 GMT)
Copyright (c) 2021 Dow Jones & Company, Inc.
Répondre
|
1.635
Répondre
|
Tut tut accélération depuis 12 h ce jour, ça repasse les 1.60 ( 1.608)
Répondre
|
Ah 1.517 je pense que les choses sérieuses commencent avec les chiffres de l'inflation de ce jour...
Un petit gap à - 2% demain sur le CAC serait commerçant
Message complété le 10/11/2021 17:03:15 par son auteur.
aucune position à la baisse
Répondre
|
+ 8% prix à la productivité mais inférieur aux attentes...c'est peut-être aujourd'hui la fameuse bougie alors que personne ne l'attend...
Tx 10 ans 1.439 à suivre
Message complété le 09/11/2021 16:09:34 par son auteur.
(CercleFinance.com) - Selon le Département du Travail, les prix à la production aux Etats-Unis ont augmenté de 0,6% en octobre par rapport au mois précédent, progression globalement conforme au consensus, dont une hausse de 0,4% hors alimentation, énergie et négoce.
Sur les douze derniers mois, la hausse des prix producteurs s'établit en octobre à 8,6% en données brutes et à 6,2% hors alimentation, énergie et négoce, après des hausses annuelles de respectivement 8,6% et 5,9% au mois de septembre.
Copyright © 2021 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Répondre
|