Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
des prises de positions de façade, les chiens aboient la caravane passe
seul en effet le boycott du soja ferait bouger un peu les choses
pour ma part j'évite le poison qu'est le soja , une graine très très toxique si pas fermentée. Le problème est de la retrouvée au travers des viandes élevées avec ce poison
le soja fera l'objet d'un énorme scandale dans quelques années le temps que la forêt ait donnée tout ce qu'elle peut
Répondre
|
En janvier le chef Raoni Matuktire, défenseur emblématique de la forêt amazonienne, avait demandé à la Cour pénale internationale d'enquêter pour "crimes contre l'humanité" contre le président brésilien Jair Bolsonaro, accusé de "persécuter" les peuples autochtones en détruisant leur habitat et bafouant leurs droits fondamentaux.
C'est sûr que si la Cour pénale internationale a été saisie, ça va pas traîner.
Chico Mendes ne sera pas mort pour rien... il y a 33 ans...
Répondre
|
Il n'est jamais trop tard
Dire cela, c'est avouer avoir échoué, donc laisser faire pour ne rien changer.
Il y a beaucoup de façons de régler ces problèmes, mais ça fait 40 ans que certains scientifiques alertent, et beaucoup de décisionnaires s'en b*anlent.
A l'échelle de l’État, ne plus importer de soja brésilien pour nourrir le bétail, qui pousse aux OGM.
A l'échelle du consommateur, limiter ses achats de viande industrielle quand c'est possible.
Consommer, c'est voter, c'est décider de son avenir.
Et nous avons encore le choix
Donc, non, il n'est pas trop tard, pas encore
Message complété le 05/05/2021 17:10:11 par son auteur.
*Il n'est jamais trop tard tant que nous avons le choix
Répondre
|
Répondre
|
Près de quarante distributeurs, entreprises et fédérations essentiellement européennes menacent le Brésil de boycotter ses produits agricoles s'il ne retire pas un projet de réforme agraire qui risque d'accélérer selon eux la déforestation de l'Amazonie, dans une lettre diffusée mercredi.
Des chaînes de supermarchés comme l'allemand Aldi, les britanniques Asda, Marks and Spencer, Sainsbury's ou Morrisons, le suisse Migros s'inquiètent d'un projet de loi qui prévoit la privatisation de terres et "menace comme jamais l'Amazonie", qui a pourtant fait l'objet de "feux de forêt et de déforestation à des niveaux extrêmement élevés" l'an passé.
Cette missive adressée aux parlementaires brésiliens, également signée par la chaîne de fast-food britannique Greggs, des fédérations professionnelles ou les sociétés financières Skandia et Legal and General, relève que "les objectifs pour réduire les niveaux" de déboisement "et les budgets pour y parvenir sont de plus en plus inadéquats".
Elle souligne que "l'Amazonie est une partie vitale du système terrestre (...) essentielle pour la sécurité de notre planète tout en représentant un élément vital d'un avenir prospère pour les Brésiliens et toute la société".
Les groupes signataires relèvent que les "protections existantes dans la législation brésilienne ont été déterminantes pour nos organisations" qui ont foi dans le fait que leurs produits, services et investissements au Brésil "sont en ligne avec nos engagements environnementaux et sociaux".
"Notre porte reste ouverte pour nos partenaires brésiliens" pour parvenir à "une gestion des terres et une agriculture soutenables" qui préservent le développement économique et les droits des peuples autochtones, mais "sans mettre en danger" des écosystèmes "essentiels pour la santé du monde".
Ils concluent que si ces mesures deviennent des lois, "nous n'aurons d'autre choix que de reconsidérer notre recours à la chaîne d'approvisionnement agricole brésilienne" et enjoignent le gouvernement à "reconsidérer cette proposition" législative.
La déforestation a détruit 8.426 km2 de jungle amazonienne au Brésil en 2020.
Le nombre des incendies avait par ailleurs augmenté de 61% en septembre 2020 par rapport au même mois de l'année 2019.
En janvier le chef Raoni Matuktire, défenseur emblématique de la forêt amazonienne, avait demandé à la Cour pénale internationale d'enquêter pour "crimes contre l'humanité" contre le président brésilien Jair Bolsonaro, accusé de "persécuter" les peuples autochtones en détruisant leur habitat et bafouant leurs droits fondamentaux.
© 2021 AFP
Répondre
|