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La Chine se préparait à une 3eme guerre mondiale avec des armes biolog



St@rix St@rix
28/05/2021 07:20:28
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Vaccins: le CoronaVac réduit la mortalité de 97% contre 80% pour Pfizer (étude)

28/05/2021 | 06:11

Montevideo (awp/afp) - Le vaccin chinois CoronaVac contre le Covid-19 réduit la mortalité de cette maladie de 97%, tandis que l'américain Pfizer a une efficacité de 80%, selon les résultats préliminaires d'une étude uruguayenne publiée jeudi.

"La réduction de la mortalité due au Covid-19, plus de 14 jours après l'administration de la deuxième dose du vaccin, est de 97% pour CoronaVac et de 80% pour Pfizer", indique l'étude réalisée par le ministère de la Santé uruguayen auprès de la population locale en 2021.

Selon cette étude, sur le nombre total de personnes immunisées avec CoronaVac au 25 mai (712.716), 5360 ont été testées positives au coronavirus. Parmi elles, 19 ont dû être hospitalisées en soins intensifs et 6 sont décédées.

Selon la même source, sur le total des personnes immunisées avec Pfizer à la même date (149'329), 691 ont été contaminées au Covid-19, une seule a dû être hospitalisée en soins intensifs et huit sont décédées. L'étude précise que, dans ce cas, toutes ces personnes étaient octogénaires.

Ainsi, la réduction du nombre des cas avec le CoronaVac est de 57% tandis qu'avec Pfizer, elle est de 75%.

Quant aux hospitalisations en soins intensifs, l'étude note une efficacité de 95% pour Coronavac et de 99% pour Pfizer.

L'étude précise que les chiffres sont préliminaires et "doivent être interprétés avec prudence, car ils ne prennent pas en compte l'âge des personnes, leurs comorbidités et les groupes à forte exposition", tels que le personnel de santé.

Ces détails statistiques seront communiqués dans les prochains rapports.

Pays de 3,5 millions d'habitants, l'Uruguay n'a jamais eu recours au confinement et maintient une grande partie de ses activités ouvertes. Le gouvernement du président Luis Lacalle Pou parie sur la vaccination qui progresse à un rythme soutenu depuis son lancement le 1er mars.

A ce jour, 47% de la population a déjà reçu une première dose de vaccin et 28% la seconde.

afp/ck

  
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St@rix St@rix
18/05/2021 19:24:32
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Israël et Hamas ignorent les appels à un cessez-le-feu

18/05/2021 | 18:50

(Actualisé avec Netanyahu, précisions, nouveau bilan)

par Nidal al-Mughrabi, Dan Williams et Stephen Farrell

GAZA/JERUSALEM, 18 mai (Reuters) - Israël a mené mardi des frappes aériennes dans la bande de Gaza et les activistes palestiniens ont repris leurs tirs de roquettes après une brève pause durant la nuit, lors de laquelle l'Onu a envoyé un convoi de carburant dans l'enclave où 52.000 personnes ont selon elle été déplacées.

Les dirigeants israéliens ont annoncé qu'ils intensifiaient l'offensive destinée à détruire les capacités militaires du Hamas et du Djihad islamique, les deux camps restant officiellement sourds aux appels des Etats-Unis et d'autres puissances mondiales à un cessez-le-feu.

Deux travailleurs thaïlandais ont été tués et sept autres personnes blessés par le tir d'une roquette contre une ferme israélienne située juste au-dessus de la frontière avec Gaza, a rapporté la police. Le Hamas et le Djihad islamique ont revendiqué l'attaque.

Les villes d'Ashdod et de Beersheba, plus au nord, ont elles aussi été les cibles de tirs de roquettes.

Selon des habitants de Gaza, l'armée israélienne a continué de mener d'intenses offensives aériennes. Des témoins ont déclaré qu'un obus tiré par un char israélien avait atteint une usine de peinture dans le sud de la bande de Gaza, provoquant l'incendie du bâtiment.

"Nous continuerons tant que nécessaire pour rétablir le calme pour l'ensemble des citoyens palestiniens", a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dans la lignée des commentaires qu'il a effectués ces derniers jours.

"Autre chose: je suis sûr que tous nos ennemis autour de nous voient le prix que nous exigeons pour l'agression menée contre nous et je suis certain qu'ils vont retenir cette leçon", a-t-il ajouté dans une vidéo diffusée sur Twitter dans laquelle il s'exprimait depuis un hangar aérien.

L'UE VEUT ÉTUDIER UNE REPRISE DES NÉGOCIATIONS

Le conflit, le plus grave depuis au moins 2014 entre Israéliens et Palestiniens, a déjà fait 215 morts, dont 61 enfants et 36 femmes, dans la bande de Gaza, selon les autorités de l'enclave. Douze personnes ont été tuées en Israël, dont deux enfants.

Près de 450 bâtiments de la bande de Gaza ont été détruits ou gravement endommagés, dont six hôpitaux et neuf centres de soins, a rapporté l'agence humanitaire des Nations unies (OCHA).

Israël a dénoncé le tir de plus de 3.450 roquettes depuis Gaza en direction de l'Etat hébreu, dont certaines n'ont pas atteint le territoire israélien tandis que d'autres ont été détruites par le système de défense antiaérienne Dôme de Fer.

Les deux camps restent officiellement sourds aux inquiétudes de la communauté internationale, malgré le soutien à un cessez-le-feu exprimé par le président américain Joe Biden et les efforts diplomatiques entrepris par son homologue français Emmanuel Macron, qui appuie une tentative de médiation de l'Egypte.

Réunis mardi par vidéo-conférence, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne, dont les positions divergent sur le conflit, comptent lancer un appel à un cessez-le-feu immédiat entre Israël et les Palestiniens et marquer leur volonté de relancer le processus de paix proche-oriental par le biais du "Quartet" de médiateurs (UE, Etats-Unis, Russie, Onu).

Illustration des craintes internationales d'une extension de la crise, l'armée israélienne a dit avoir tué un Palestinien ayant tenté d'attaquer des militaires en Cisjordanie à l'aide d'une arme à feu et d'explosifs. Elle a aussi annoncé avoir abattu un drone près de la frontière avec la Jordanie.

Une grève générale a été organisée mardi à Jérusalem-Est, en Cisjordanie occupée et parmi la minorité arabe d'Israël, qui représente 21% de la population du pays.

La plupart des commerces tenus par des Palestiniens à Jérusalem-Est ont fermé, notamment dans la Vieille Ville. A Haïfa, ville du nord d'Israël abritant à la fois des populations juives et arabes, l'un des organisateurs du mouvement, Radja Zaatar, a déclaré à Reuters que 90% des commerces avaient gardé leur rideau fermé dans les quartiers arabes.

L'ARMÉE ISRAÉLIENNE "NE PARLE PAS D'UN CESSEZ-LE-FEU"

Le conflit a véritablement éclaté le 10 mai après des jours d'affrontements entre forces israéliennes et Palestiniens autour de la mosquée Al Aqsa, au coeur de la Vieille Ville de Jérusalem, en plein ramadan, mois sacré pour les musulmans, sur fond de menace de nouvelles expulsions de familles palestiniennes de Jérusalem-Est.

Il a aussi provoqué des violences entre certains membres des communautés juives et arabes à l'intérieur même d'Israël.

Yuval Steinitz, ministre issu du Likoud, le parti conservateur du Premier ministre Benjamin Netanyahu, a déploré dans une interview donnée à la radio de l'armée que la grève observée ce mardi porte "un nouveau coup à la délicate fabrication de relations et d'une coopération entre Juifs et Arabes".

Hidai Zilberman, porte-parole de l'armée israélienne, a déclaré que Tsahal allait poursuivre ses opérations à Gaza pour mettre fin aux tirs de roquettes palestiniennes conformément à une liste de cibles établie pour les prochaines 24 heures.

L'armée israélienne "ne parle pas d'un cessez-le-feu", a-t-il dit à la radio de l'armée. "Nous sommes concentrés sur les tirs", a-t-il ajouté.

Des habitants de Gaza ont dénombré au moins 60 frappes israéliennes entre minuit et 10h00 du matin (07h00 GMT), soit une intensité à peu près identique aux nuits précédentes. Aucune victime n'a toutefois été signalée, ont dit les autorités sanitaires de l'enclave, où la recherche de morts éventuels est toutefois difficile sous les décombres des installations et des bâtiments détruits par les raids israéliens.

En Israël, les sirènes d'alerte qui ont retenti au cours de la nuit ont indiqué que les roquettes tirées par les activistes palestiniens visaient davantage les zones proches de la frontière que des villes situées plus loin à l'intérieur du territoire israélien, malgré la menace lundi du Hamas de s'en prendre à nouveau à Tel-Aviv. (avec Sinan Abu Mayzer et Stephen Farrell à Jerusalem, Zainah El-Haroun et Ali Sawafta à Ramallah; version française Bertrand Boucey et Jean Terzian, édité par Jean-Stéphane Brosse)

© Reuters 2021

  
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St@rix St@rix
18/05/2021 01:40:07
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Pourquoi la Chine veut faire entendre sa voix dans la crise israélo-palestinienne

Publié le : 17/05/2021 - 19:22

La Chine a proposé d'être un médiateur entre les israéliens et les palestiniens © Mohammed Abed, AFP

<span style="background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(0, 0, 0);">Pékin a proposé, dimanche, de jouer les médiateurs entre Israéliens et Palestiniens pour trouver une solution à l’escalade des violences depuis une semaine. La Chine n’avait, jusqu'à présent, jamais voulu jouer un rôle de premier plan dans le conflit israélo-palestinien.</span>

Qu’est-ce que la Chine est venue faire dans cette poudrière ? Pékin a annoncé, dimanche 16 mai, sa volonté de servir de médiateur pour d’éventuels pourparlers entre Israéliens et Palestiniens. Un peu plus tôt, la superpuissance asiatique – qui occupe actuellement la présidence tournante du Conseil de sécurité de l’ONU – avait "regretté l’obstruction" américaine pour faire adopter une déclaration commune de cette instance appelant à la fin des hostilités dans la région.

Dans un effort coordonné pour souligner l'importance de cette initiative, les médias officiels chinois ont aussi multiplié les articles vantant l’activisme de Pékin dans le dossier israélo-palestinien. Le Global Times a salué, samedi, la "vista" des dirigeants chinois qui reconnaissent l’importance de cette crise alors que "les États-Unis essaient de minimiser le problème palestinien". Andrew Korybko, un politologue américain basé en Russie qui intervient souvent dans les médias chinois et russes pour critiquer les États-Unis, a félicité le "pragmatisme" chinois dans une tribune publié dimanche sur le site de la CGTN, la chaîne chinoise d’information en continu.

Laisser les États-Unis "se casser les dents"

Cette volonté chinoise de se mettre diplomatiquement en avant pour tendre la main aux Israéliens et Palestiniens engagés depuis plus d'une semaine dans un engrenage de violences peut surprendre. Historiquement, Pékin "s’est toujours gardé de s’impliquer dans ce conflit au Moyen-Orient", rappelle à France 24 Erzsébet Rózsa, spécialiste du Moyen-Orient à EuroMeSCo, un réseau de recherche sur la région du bassin méditerranéen, et autrice d’une étude sur l’évolution de l’implication chinoise au Moyen-Orient.

Jusqu’en 2016, Pékin n’avait même pas de doctrine officielle pour le monde arabe alors même que les échanges économiques avec cette région se sont intensifiés depuis près d’une décennie. La Chine voyait le Moyen-Orient essentiellement comme un réservoir à pétrole. La publication de la ligne officielle du régime pour le monde arabe en janvier 2016 a confirmé que Pékin tenait à rester un partenaire purement économique dans cette région. Si les importations d’énergie demeurent le pilier central du commerce entre la Chine et le monde arabe, il est alors aussi question d’investissements dans les infrastructures ou de diversification des échanges.

Mais pas question d’évoquer à voix trop haute le problème israélo-palestinien. "La Chine a longtemps laissé les États-Unis se casser les dents sur ce dossier", souligne Erzébet Rózsa. Cela lui permettait de conserver une image d’acteur neutre, se gardant de froisser quelque susceptibilité politique que ce soit dans la région afin de ne pas compromettre ses chances de faire des affaires.

En coulisse, sa position n’en a pas moins évolué. Traditionnellement, la Chine a plutôt eu tendance à se ranger du côté des Palestiniens. Elle avait notamment refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste en 2006 après leur victoire aux élections législatives palestiniennes. Cependant, avec la montée en puissance depuis 2013 des "nouvelles routes de la soie" – le large programme d’investissements chinois hors de ses frontières –, "Israël a gagné en importance commerciale aux yeux de Pékin", souligne Erzsébet Rózsa.

Une "alternative aux États-Unis" pour les pays de la région

L’État hébreu occupe même une place à part dans la hiérarchie chinoise des pays de la région puisqu’il est le seul à bénéficier "d’un statut de partenaire en matière d’innovation", souligne Canan Atilgan, spécialiste du Moyen-Orient à la Fondation Konrad Adenauer et autrice d’une étude sur la montée en puissance de la Chine dans la région, contactée par France 24. Une catégorie qui couvre aussi bien des échanges sino-israéliens en matière de nouvelles technologies que pour tout ce qui a trait aux innovations en matière de santé, domaine dans lequel Israël est à la pointe.

L’importance grandissante des intérêts économiques chinois dans la région a inéluctablement poussé Pékin à s’intéresser de plus près aux questions sécuritaires. Quitte à jouer un rôle plus actif dans divers efforts diplomatiques. Ainsi, Pékin a déjà fait office de médiateur en 2017 entre l’Arabie saoudite et l’Iran, et a tenté de faire entendre à plusieurs reprises sa voix dans le dossier syrien.

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Mais dans l’ensemble, "trouver des solutions politiques aux conflits du Moyen-Orient n’est pas une priorité chinoise car Pékin n’a absolument aucune expérience de la dynamique des crises dans la région", souligne Canan Atilgan.

C’est pourquoi l’offensive diplomatique chinoise actuelle dans un dossier aussi sensible que celui de la crise israélo-palestinienne constitue peut-être le début d’une nouvelle étape pour Pékin, d’après les expertes interrogées par France 24. Certes, ce n’est pour l’instant que l’offre de jouer un rôle de médiateur. "Cela n’engage pas à grand-chose", reconnaît Erzébet Rózsa.

Pour elle, l'initiative constitue avant tout un signal que "sur le plus long terme, la Chine se prépare à être plus investie diplomatiquement dans la région". Pékin "essaie de commencer à se projeter, à travers cette crise, sur la scène internationale comme un acteur capable d’offrir une alternative aux États-Unis perçus par les pays arabes comme un médiateur trop partial et trop pro-israélien", poursuit la spécialiste d’EuroMeSCo.

À travers la main tendue aux Israéliens et aux Palestiniens, Pékin cherche surtout à signifier à tous les pays de la région que la Chine se sent prête, d’après Erzébet Rózsa, à endosser le rôle de "superpuissance impartiale" pas seulement intéressée par les importations de pétrole saoudien ou le développement d'un partenariat technologique avec Israël.

La Chine n’a pas encore les épaules pour devenir le nouveau shérif de la région – et ne les aura peut-être jamais. Mais à l’heure où l’Amérique de Joe Biden s'interroge sur son degré d'implication dans la région, cela peut être une manière de dire à des pays qui peuvent regretter les relations privilégiées entretenues avec Donald Trump – comme l’Arabie saoudite – qu’il y a une alternative aux États-Unis.


  
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Dubaisan Dubaisan
15/05/2021 13:53:29
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Quand l'un des principaux commandants militaires australiens a mis publiquement en garde ses troupes contre "la forte probabilité d'une guerre avec la Chine".

Que Peter Dutton, le ministre de la défense, déclare l'autre jour :"qu'une guerre à propos de Taïwan ne pouvait être écartée et que l'Australie était "déjà attaquée" dans le domaine cybernétique".

1) Il ne faut pas s'étonner que la Chine réplique....

2) Toute la question reste celle d'une intervention des USA en cas d'attaque de Taiwan par la Chine. Or:

- Les USA n'ont pas de traité de Défense avec Taiwan et l'Australie non plus, ni le Japon d'ailleurs.

3) Il n'y a pas non plus de traités de Défense (style OTAN) entre les USA et l'Australie.

Cela signifie que:

Si Taiwan est envahie, il faudra que les USA réfléchissent et très vite et puis que feront le Japon et la Corée du sud? Pour ces 2 derniers, c'est clair ils n'interviendront pas;

Et si les USA interviennent alors il faudra qu'à son tour l'Australie réfléchisse aussi très vite sur ce qu'elle devra décider. Mais elle aura à peine décidé que dans l'heure qui suivra une pluie de missiles s'abattra sur tous les points importants militairement et stratégiques.

Après que pourra faire une population de 25.7 millions d'habitants contre une armée chinoise...

Tout ça ne sont donc que des rodomontades à destination interne pour de futures élections à venir dans lesquelles le gouvernement libéral actuel de Scott Morrison n'est pas très bien placé.

Ce qui est à craindre, c'est qu'une coalition réunissant les "five big eyes" (U.S., UK, Canada, Australia and New Zealand.) intervienne directement à Taiwan obligeant la Chine à réagir.

La ministre des Affaires étrangères, Marise Payne a estimé hier devant Anthony Blinken (Dept Sec. des USA) "que le soutien exprimé par les États-Unis à l'Australie devrait inciter d'autres pays à tenir tête à Pékin lorsque le gouvernement chinois menace leurs valeurs et leurs intérêts nationaux".

Taiwan est chinoise et retournera à la Chine comme l'Alsace-Lorraine étaient françaises...

En attendant, nous, on a vendu 30 sous-marins à l'Australie....On a intérêt a encaisser rapidement avant que ces cons ne déclarent la guerre à la Chine.






Message complété le 15/05/2021 15:20:39 par son auteur.

Quand on écoute les propos de Maryse Payne, de Dutton ou de Scott Morrison c'est quand même incroyable:
Ce sont eux qui parlent de guerre avec la Chine et ils accusent la Chine de vouloir la guerre...

Au passage le prix des matières premières augmente; le minerai de fer a atteint récemment le record de 200 USD/ton. Why?
Parce que les inquiétudes concernant le conflit entre Pékin et Canberra incitent les importateurs chinois à acheter plus et stocker cette ressource essentielle. Cela apporte un sacré coup de pouce de 20 mds d'USD au budget australien.
Est-ce donc aussi une manœuvre délibérée des Australiens pour faire monter le cours du minerai?
Ce n'est pas impossible...

  
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St@rix St@rix
15/05/2021 11:45:32
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La Chine menace de bombarder l'Australie si elle intervient dans un conflit sino-taiwanais

L’organe de presse officiel de Pékin affirme que l’armée chinoise n’hésiterait pas à frapper l’Australie avec des missiles balistiques si cette dernière aide Taïwan lors d’un potentiel conflit militaire.

Écrit par Thomas Romanacce

“La Chine devrait envoyer ses missiles balistiques sur l’Australie si elle intervient dans un conflit sino-taiwanais”. Cette menace provient d’une tribune signée par Hu Xijin, le rédacteur en chef du site Global Times : il s’agit de l’organe de presse officiel du parti communiste chinois. Ce site est aussi considéré comme le vecteur principal de la propagande diplomatique de la Chine à l’international, ce qui laisse peu de doutes sur les intentions du gouvernement local vis à vis de l’Australie. Dans ce court papier, le propagandiste détaille comment la République populaire doit punir l’île-continent si celle-ci s’immisce trop dans un conflit militaire entre Pékin et Taïwan.

“La Chine ne veut que la paix. Cependant si l’Australie a le culot d’aider les États-Unis et envoie ses troupes pour défendre Taïwan, alors un cataclysme s’abattra sur ce pays”, prévient encore Hu Xijin. Selon le Global Times, l’armée chinoise serait facilement en mesure de détruire les bases militaires australiennes situées au nord de l’île-continent. De son côté, le quotidien The Australian estime que le site de renseignement australo-américain de Pine Gap serait l’une des cibles prioritaires de l’armée chinoise, en cas d’attaque. Sydney serait aussi visée par les missiles ennemis tout comme la ville côtière de Darwin qui abrite une base appartenant à l’armée américaine.

Avant de mettre à exécution sa menace d’intervention armée, le Global Times croit savoir que le gouvernement de Xi Jinping emploiera des méthodes d’intimidation pour faire comprendre aux “faucons australiens” qu’il ne faut pas “interférer dans les affaires chinoises”. Ce n’est pas la première fois que Pékin exerce des pressions sur Canberra, qui gêne les intérêts chinois. L’île-continent avait notamment exclu le géant chinois des télécoms Huawei du déploiement du réseau 5G sur son territoire. Le premier ministre australien, Scott Morrison, a également provoqué l’ire des autorités chinoises en réclamant une enquête indépendante sur l'origine du coronavirus.

En représailles, la Chine, premier partenaire commercial de l'Australie, a récemment pris des mesures de rétorsion à l'encontre de Canberra, en suspendant les importations d'un grand nombre de produits agricoles parmi lesquels, le bœuf, l'orge et le bois. Selon Scott Morrison, cette diplomatie coercitive n'est “qu'un avant-goût" de ce que d'autres pays - y compris européens - pourraient subir à l'avenir.

Cependant, l’Australie ne compte pas se laisser intimider par le gouvernement de Xi Jinping. L’État va même dépenser près de 1,4 milliard d’euros pour renforcer sa puissance militaire. Canberra a autorisé l’achat de centaines de véhicules blindés à des entreprises américaines, dont 75 tanks M1A2 Abrams. Cette acquisition a été décidée alors que Peter Dutton, le ministre australien de la Défense, vient d’exprimer le souhait de mettre fin au bail du port de la ville de Darwin, qui réserve l’usage exclusif de l’infrastructure à l’entreprise chinoise Landbridge. Ce port situé dans le nord de l’Australie est d’une importance capitale puisqu’il fait partie du tracé de la nouvelle route de la soie voulue par Pékin.

  
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cosmo2 cosmo2
11/05/2021 08:48:45
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En esperant que les francais ne vont pas tomber dans le panneau....


Salut Dubé. Aucun espoir pour moi cette fois ci. L'indépendance de la France n'est plus. Paix à son âme

  
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Dubaisan Dubaisan
11/05/2021 08:18:17
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St@rix,

Je reprends les fakes et conneries qui ont encore agite le bocal de certains medias dont France Soir (un habitue).

"Un document essentiel
Selon un document obtenu par des enquêteurs américains, des scientifiques chinois se préparent depuis six ans à une troisième guerre mondiale à base d’armes biologiques et génétiques, dont le coronavirus. Le document explosif, consulté par le département d'État américain, insiste sur le fait que les virus seront l'arme principale de la victoire dans un tel conflit, décrivant même les conditions parfaites pour libérer une arme biologique et documentant l'impact qu'elle aurait sur le système médical de l'ennemi.
Cette preuve additionnelle, que Pékin a considéré le potentiel militaire des coronavirus du SRAS dès 2015, soulève de nouvelles craintes quant à la cause de Covid-19. Certains responsables pensent toujours que le virus aurait pu s'échapper d'un laboratoire chinois.
Des détails rapportés dans The Australian montrent que les scientifiques et des responsables de la santé de l'Armée populaire de libération ont examiné la manipulation de maladies pour fabriquer des armes d'une manière jamais vue auparavant".

Decryptage:

Le soi-disant document ayant fait l'objet d'une fuite et obtenu par le département d'État américain est en fait un livre universitaire publié et librement en vente en Chine, et non un document secret interne de l'armée chinoise.
Dans ce livre, il y a une citation de l'ancien colonel de l'US Air Force Michael J. Ainscough qui dit que: "les armes biologiques de nouvelle génération feront partie des projets de l'US Air Force et visent à aider le pays à mieux faire face aux armes de destruction massive."..

Interessant , car cela laisse a penser que les Etats-Unis, eux, mènent bien des recherches sur la guerre biologique et le bioterrorisme en utilisant la technologie du génie génétique.

Questions:

Les États-Unis ont installé des biolab (laboratoires biologiques) dans 25 pays du Moyen-Orient, d'Afrique, d'Asie du Sud-Est et de l'ex-Union soviétique, dont 16 rien qu'en Ukraine. Pourquoi?

- Quelle quantité de ressources et d'informations biologiques sensibles les États-Unis ont-ils obtenues d'autres pays ?

- Quel type d'activités les États-Unis ont-ils mené dans leur laboratoire de Fort Detrick et dans d'autres biolabs?

- Quelle est la relation entre ces biolabs et leurs "armes biologiques de nouvelle génération" ?



Message complété le 11/05/2021 08:21:59 par son auteur.

C2,
Ils ont maintenant Lloyd Austin, le nouveau Secretaire a la Defense US (ancien 4 stars a la retraite)...Il est bien parti pour faire aussi bien que Powell en son temps.
En esperant que les francais ne vont pas tomber dans le panneau....

Message complété le 11/05/2021 08:27:34 par son auteur.

Le livre ("le document explosif") en question:
"The Unnatural Origin of SARS and New Species of Man-Made Viruses as Genetic Bioweapon".
Il a ete ecrit par Xu Dezhong, un docteur militaire, publie en 2015 et est en vente sur ...Amazon!!!

  
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cosmo2 cosmo2
10/05/2021 09:51:51
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Amusez bien les loulous... et méfiez vous des contrefaçons


  
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cosmo2 cosmo2
09/05/2021 18:20:00
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Pour exhiber devant le conseil de sécurité de l'onu les preuves formelles accusant la Chine de vouloir déclancher une guerre bactériologique, on chercherait déjà un remplaçant au général Powell.

En revanche la fiole exhibeé par le général Powell en 2002 /2003, pourrait quant à elle tenir à nouveau son propre rôle dans le futur scénario.

Dans le jury, on pourrait déplorer l'absence de la délégation russe, qui pourrait se voir priver de visas pour pénétrer sur le sol étasunien...


Vous avez aimé la WWII ? Vous adorerez la WWIII !

Message complété le 09/05/2021 18:20:35 par son auteur.


J'oubliais ! Bonne fin de week-end...

  
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St@rix St@rix
09/05/2021 16:37:55
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Moi je poste juste des infos trouver sur le Web

Maintenant si c est gênant !

Je ne vais pas pleurer si quelqu'un demande la fermeture de cette file.

pour moi ça s appelle la liberté d expression .

  
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fipuaa fipuaa
09/05/2021 15:32:56
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bizarre qu'il n'y ait pas encore eu un benêt qui demande la fermeture de cette file pour haine et complotisme !!

  
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St@rix St@rix
09/05/2021 14:59:49
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Covid : les visages de la dissidence

My Pandemic Diary BY Francesco Mariani (CC BY-NC-ND 2.0) — Francesco Mariani, CC-BY

Les traitements journalistes injurieux et condescendants des médias envers les manifestations de dissidence sont l’occasion de questionner les stéréotypes qui les animent, en partant de l’expérience personnelle de l’auteur du présent article.

Par Gabriel Lacoste.

Samedi le 1er mai 2021, 30 000 personnes ont manifesté à Montréal contre les restrictions sanitaires. Le lendemain, des millions de Québécois ont ouvert le journal ou écouté les informations à la télévision pour s’en faire une opinion. Ils sont tombés sur une série de portraits caricaturaux de cette dissidence.

Sous une plume remplie d’insultes, Richard Martineau décrit les opposants comme des imbéciles qui se refusent à comprendre des évidences, soit parce qu’ils sont très égoïstes, soit parce qu’ils veulent que le virus circule davantage. Dans sa tête, il suffit de lire les dernières nouvelles sur l’Inde pour comprendre l’importance d’obéir au gouvernement. Même un enfant de 5 ans le comprend.

Sur un ton un peu plus raffiné, Patrick Lagacé affirme que la dissidence est généralement composée de nazis en puissance désormais incapables de raisonner, car passionnément désireux de faire partie d’un groupe, à la manière d’une secte. De plus, ce sont des imbéciles qui préfèrent croire le docteur Didier Raoult avec sa blouse blanche plutôt qu’un article dans The Lancet.

Il y a aussi eu de nombreux récits d’intimidation envers ceux qui soutiennent les mesures provenant de ces opposants, les dépeignant donc comme une foule stupide, violente et dangereuse.

COMMENT JE SUIS DEVENU DISSIDENT

Ma propre histoire contredit cette caricature.

Lorsque cette pandémie a été déclarée par l’Organisation mondiale de la santé, j’ai vu circuler sur mon fil d’actualités les prédictions de Neil Ferguson et de l’Imperial College, qui évaluaient à deux millions et demi le nombre de morts aux États-Unis s’il n’y avait pas de confinement strict. Ma première réaction a été d’y croire et de soutenir les mesures.

Deux événements sont venus changer ma perception.

Premièrement, j’ai lu un article de Reason Magazine mentionnant le cas du bateau de croisière Diamond Princess, dont les données indiquaient que les taux de mortalité utilisés par le modèle de Neil Ferguson étaient largement surestimés. J’ai donc fait une recherche supplémentaire sur l’auteur cité par cet article, John Ioannidis.

suite. https://www.contrepoints.org/2021/05/09/397016-covid-les-visages-de-la-dissidence?via=Contrepoints&utm_source=boutonspartage&utm_medium=SOCIAL&utm_campaign=Twitter

  
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St@rix St@rix
09/05/2021 14:09:09
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Il faut bien trouver un coupable pour laver les mains sale de certains Houmes ou hommes politique ?

les salauds c est toujours les autres de préférence pauvre est sans défense .

Message complété le 09/05/2021 14:09:41 par son auteur.

Ou alors Handicapées ?

  
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cosmo2 cosmo2
09/05/2021 12:52:54
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Ouais c'est sûr il sont tellement cons ces Chinois, qu'ils ont inventé l'autoguerre qui consiste à empoisonner sa propre population.

Ah bah non, c'est moi qui suis con, j'avais oublié qu'ils sont tellement cons, que le virus leur a échappé des mains...

C'est pour ça que je les aime bien, parce que je suis aussi con qu'eux

  
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St@rix St@rix
09/05/2021 00:19:00
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La Chine se préparait à une 3eme guerre mondiale avec des armes biologiques depuis 6 ans y compris avec des coronavirus

Publié le 08/05/2021 à 21:17

Auteur(s): FranceSoir

-A+A

Les enquêteurs du département d'État américain ont découvert une véritable « bombe ». Selon un dossier produit par l'Armée populaire de libération, depuis 2015 Pékin considèrerait le potentiel militaire des coronavirus du SRAS. Ceci est rapporté dans article du DailyMail publié ce jour.

Les scientifiques ont pu examiner la manipulation des maladies d'une manière jamais vue auparavant. Tom Tugendhat, de la commission des affaires étrangères, affirme que les preuves sont une préoccupation majeure.

Un document essentiel

Selon un document obtenu par des enquêteurs américains, des scientifiques chinois se préparent depuis six ans à une troisième guerre mondiale à base d’armes biologiques et génétiques, dont le coronavirus. Le document explosif, consulté par le département d'État américain, insiste sur le fait que les virus seront l'arme principale de la victoire dans un tel conflit, décrivant même les conditions parfaites pour libérer une arme biologique et documentant l'impact qu'elle aurait sur le système médical de l'ennemi.

Cette preuve additionnelle, que Pékin a considéré le potentiel militaire des coronavirus du SRAS dès 2015, soulève de nouvelles craintes quant à la cause de Covid-19. Certains responsables pensent toujours que le virus aurait pu s'échapper d'un laboratoire chinois.

Des détails rapportés dans The Australian montrent que les scientifiques et des responsables de la santé de l'Armée populaire de libération ont examiné la manipulation de maladies pour fabriquer des armes d'une manière jamais vue auparavant.

Les hauts responsables du gouvernement affirment que cela soulève des préoccupations majeures quant aux intentions des proches du président chinois Xi Jinping, au milieu des craintes croissantes concernant le manque de réglementation du pays sur ses activités dans les laboratoires.

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Des éléments clés dans le rapport

Les auteurs du document insistent sur le fait qu'une troisième guerre mondiale sera biologique, contrairement aux deux premières guerres qui ont été décrites respectivement comme chimique et nucléaire. En faisant référence à des recherches qui suggéraient que les deux bombes atomiques larguées sur le Japon les avaient forcés à se rendre, et apportant la fin de la Seconde Guerre mondiale, ils affirment que les armes biologiques seront l'arme principale de la victoire dans une troisième guerre mondiale.

Le document décrit également les conditions idéales pour libérer une arme biologique et causer un maximum de dommages. Les scientifiques disent que de telles attaques ne devraient pas être menées au milieu d'une journée lumineuse, car la lumière du soleil intense peut endommager les agents pathogènes, tandis que la pluie ou la neige peuvent affecter les particules d'aérosol.

Au lieu de cela, il doit être libéré la nuit, à l'aube, au crépuscule ou par temps nuageux, avec une direction du vent stable afin que l'aérosol puisse flotter dans la zone cible.

Pendant ce temps, l’étude note également qu'une telle attaque entraînerait une augmentation du nombre de patients nécessitant des soins hospitaliers, ce qui pourrait entraîner l'effondrement du système médical de l'ennemi.

Parmi les autres préoccupations, citons la recherche chinoise sur le gain de fonction à l'Institut de virologie de Wuhan - près de l'endroit où la première épidémie de Covid a été découverte - au cours de laquelle des virologues créent de nouveaux virus qui seraient plus transmissibles et plus mortels.

Le député Tom Tugendhat, président de la commission des affaires étrangères, a déclaréc: « ce document soulève des inquiétudes majeures quant aux ambitions de certains de ceux qui conseillent les dirigeants du parti. Même sous les contrôles les plus stricts, ces armes sont dangereuses. »

L'expert en armes chimiques, Hamish de Bretton-Gordon, a déclaré : « la Chine a contrecarré toutes les tentatives de réglementation et de police de ses laboratoires où une telle expérimentation a pu avoir lieu ».

Le livre What Really Happened in Wuhan apporte ses révélations (qu’est ce qui s’est vraiment passé à Wuhan)

Le document, Nouvelles espèces de virus artificiels en tant qu'armes biologiques génétiques, dit: « Suite aux développements dans d'autres domaines scientifiques, il y a eu des progrès majeurs dans la distribution d'agents biologiques, par exemple, la nouvelle capacité de lyophiliser des micro-organismes a permis de stocker des agents biologiques et de les aérosoliser lors d'attaques. »

Les analystes ont identifié 18 auteurs qui travaillaient dans des laboratoires à haut risque.

Le directeur exécutif de l'Australian Strategic Policy Institute, Peter Jennings, a également fait part de ses inquiétudes quant à la recherche biologique de la Chine sur les coronavirus potentiellement militarisée à l'avenir.

« Il n'y a pas de distinction claire pour la capacité de recherche, car le fait de savoir si elle est utilisée de manière offensive ou défensive n'est pas une décision que ces scientifiques prendraient », a-t-il déclaré.

« Si vous développez des compétences apparemment pour protéger votre armée d'une attaque biologique, vous donnez en même temps à votre armée la capacité d'utiliser ces armes de manière offensive. Vous ne pouvez pas séparer les deux. »

Les agences de renseignement soupçonnent que le Covid-19 pourrait être le résultat d'une fuite accidentelle dans un laboratoire de Wuhan. Mais pour l'instant, il n'y a aucune preuve suggérant qu'il a été intentionnellement libéré.

Les dirigeants des pays ou de l’OMS parlent et s’interrogent – la Chine se dement

Cette semaine seulement, le président brésilien Jair Bolsonaro a semblé critiquer fortement la Chine en l'accusant d'avoir créé Covid pour déclencher une « guerre » chimique.

Les commentaires ont été formulés lors d'une conférence de presse mercredi alors que le dirigeant radical cherchait à se distancier davantage des attaques croissantes contre sa gestion nationale d'une pandémie qui a produit le deuxième plus grand nombre de morts au monde.

suite . https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-chine-se-preparait-une-3eme-guerre-mondiale-avec-des-armes-biologiques-depuis-6

Message complété le 09/05/2021 00:54:22 par son auteur.

simple info bien entendu.

  
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