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Ouais faut carrément rayer le site de la carte. Ceux qui en ont décidé la fermeture vous seront reconnaissant de ne pas avoir à engager de frais pour le dépolluer
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Bonjour a tous,
Battez vous au risque de bruler et faire disparaitre le site et le rayer de la carte il est inimaginable que l'entreprise puisse avec l'aide de Renault et stelantis et le pouvoir délocaliser votre outil de travail surtout que ces entreprises touchent de l'argent public pour cela, aux régionales pensez a bouter dehors ce pouvoir ingrat pour ces forces de seconde zone
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Je trouve marrantes ces grèves pour empêcher la fermeture d'un site.
Les mecs ils arrêtent de bosser parce qu'on veut les empêcher de continuer à bosser.
Ça doit vachement contrarier ceux qui ont décidé la fermeture du site... 🤔🤔🤔
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les dépenses sociales représentent 50% des dépenses de l'état, il suffit de couper en grande partie ce robinet pour basculer ce pognon de dingue et défiscaliser les entreprises pour les rendre compétitives ce qui permettrait de remettre au boulot pas mal de monde
mais en France on a pas de couilles on a pas d'économistes justes une poignée de purs imbéciles arrivistes et arrogants qui achètent la paix sociale à grand coup de dettes
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« « "On a été mis à mort alors qu'on avait du boulot, on est dégoûtés", a réagi Saverio Vadala, représentant de l'intersyndicale CGT-CFDT-SUD de l'entreprise. » »
Cette mise à mort leur est sûrement en partie attribuable, aux syndicats et aux salariés..
D’avoir du boulot, un savoir-faire, etc....ça ne suffit pas. Encore faut-il être compétitif pour rentabiliser la production , et donc , vendre pour faire rentrer de l’argent.
Ce que ne veulent pas comprendre ces syndicalistes, ou qui sont incapables de le comprendre.
C’est facile de pleurer devant les caméras sur « notre outil de travail » , de fustiger le patron, ou le politique, quand on a largement contribué à le détruire.
Le conseil que je pourrais leur donner : créez votre entreprise, démarchez la clientèle, essayez de vendre votre production, ….et on verra quel sera votre discours dans un ou deux ans.
J’estime qu’un certain syndicat jusqu’au-boutiste et irresponsable (la CGT pour ne pas la nommer) a contribué à détruire, et détruit encore, au moins 50 % des entreprises Françaises .
Et pour compenser leur irresponsabilité, ou leur débilité, ils comptent sur le contribuable pour éponger leur connerie.
Que ne réfléchissent pas avant de procéder à leurs oeuvres de destruction ?
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« …qui fabrique des cartiers de moteurs… », thermiques aurait dû rajouter le journaliste.
Mais comme la tendance est à l’électrique…plus besoin de carters pour moteurs thermiques…
Merci les écolos !
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La liquidation de la fonderie automobile MBF de Saint-Claude (Jura), employant 270 salariés permanents, a été prononcée mardi à Dijon, a-t-on appris de source syndicale.
"On a été mis à mort alors qu'on avait du boulot, on est dégoûtés", a réagi Saverio Vadala, représentant de l'intersyndicale CGT-CFDT-SUD de l'entreprise.
Le jugement du tribunal de commerce entraînera la suppression des 270 postes en CDI et "met au total 300 emplois sur le carreau", selon le syndicaliste, en ajoutant intérimaires et CDD.
Créée dans l'immédiat après-guerre, la fonderie MBF Aluminium, qui fabrique carters de moteurs et pièces de boîte de vitesse, avait été placée en redressement judiciaire début novembre, faute de pouvoir rembourser ses dettes.
Sa direction, représentant les actionnaires - le britannique CMV et un entrepreneur italien -, avait été écartée par le tribunal de commerce durant le redressement, avec nomination d'un administrateur judiciaire.
Mardi, le tribunal n'a pas retenu l'unique offre de reprise, portée par l'entrepreneur français Michaël Azoulay. Selon un observateur du dossier, ce projet qui prévoyait la reprise d'un peu plus de 200 salariés a été jugé insuffisant en termes de garanties financières et il a été fragilisé par l'absence d'engagements de commandes des principaux clients de l'entreprise, Renault et PSA (Stellantis).
Les syndicats dénoncent la "passivité" des deux constructeurs et de l'Etat, dont ils espéraient une aide au sauvetage de plusieurs millions d'euros.
"L'État nous a condamnés", estime Nail Yalcin, délégué CGT. Le syndicaliste a annoncé la liquidation, en larmes, à une trentaine de salariés qui s'étaient déplacés à Dijon. Ils ont alors manifesté leur colère en renversant un véhicule sur une voie de tramway avant d'y mettre le feu, rapidement éteint par les pompiers, selon la police.
En "faisant la sourde oreille", l'Etat se rend "complice de la fermeture des fonderies" en France, a renchéri M. Vadala, représentant la CFDT.
La présidente sortante (PS) de la région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite Dufay, candidate à sa réélection, a dénoncé pour sa part une "catastrophe industrielle pour tout le bassin de Saint-Claude" dans un communiqué.
"C'est une décision tragique pour les salariés et leurs familles et c'est une décision que l'on regrette. On regrette d'autant plus que les services de l'Etat sont mobilisés sur ce dossier depuis plusieurs mois pour la recherche de repreneurs", a indiqué le ministère chargé de l'Industrie, sollicité par l'AFP.
"La mission de l'Etat sur ce dossier ne s'arrête pas avec le prononcé de la liquidation de l'entreprise", ajoute-t-on à Bercy, évoquant la mise en place d'un accompagnement du territoire de Saint-Claude et des salariés.
Vendredi, le gouvernement avait signé, avec l'industrie automobile, la création d'un "fonds d'accompagnement et de reconversion des salariés de la filière automobile". Doté de 50 millions d'euros financés en partie par Renault et PSA-Stellantis, il est destiné principalement à la reconversion des employés de sous-traitants en redressement ou en liquidation judiciaire.
"La fonderie MBF rentre totalement dans le dispositif" et les salariés pourront en bénéficier, précise-t-on au ministère du Travail.
© 2021 AFP
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