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En Irak, plus de 50 degrés et pas un watt d'électricité

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ZeuspanCrace13 ZeuspanCrace13
04/07/2021 14:02:41
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Vous voyez bien qu'ils sont pris par la survie des leurs, ils n'ont même pas le temps de songer à une possible immigration. Alors les choix de ces dernières décennies leur ont été imposés par des "alliés", qui sont partis ensuite en se désintéressant presque totalement des questions qui se posent...

  
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ZeuspanCrace13 ZeuspanCrace13
04/07/2021 13:56:29
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Mais chaque fois qu'ils on restauré leurs infrastructures il y a eu une vague d'alliés (soi-disant) qui sont venus chercher les coupables corrompus, les fabriquants d'armes nucléaires non autorisées. A la fin c'est lassant...et même plus que cela. Mais que fait-on à l'ONU, l'UNICEF, UNHCR, les banques de reconstructions, pas encore en place peut-être, mais c'est pour bientôt? Les états rois du pétrole doivent s'entraider aussi et non pas se réjouir de la mise à deux genoux de l'un d'entre eux...

  
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ZeuspanCrace13 ZeuspanCrace13
04/07/2021 13:47:37
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En attendant il serait bon de leur envoyer ATTAC qui démasquerait vite les coupables et qui comprendrait l'étendue de sa mission en vivant sans électricité, ni frigories, sous le soleil exactement.

  
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MITTE MITTE
04/07/2021 12:21:55
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La dynastie Hachémite réussit ce tour de force de pouvoir gérer, sans AUCUN TROUBLE À L’ORDRE PUBLIC, un afflux massif de palestiniens et un afflux massif de réfugiés syriens.

Pourquoi ?

Parce que le pouvoir hachémite sait « faire passer » les consignes des bons comportements des populations vivant sur son territoire que ce soit des jordaniens de souche, des palestiniens ou des syriens.

Chacun sait à quoi s’en tenir et les services secrets jordaniens sont d’une redoutable efficacité à cet égard. Les palestiniens s’en souviennent.,.

Quant au reste, ils font au mieux,

L’ordre avant tout.

  
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Luncyan Luncyan
04/07/2021 11:06:40
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C'est comment en Jordanie par exemple ?

  
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fipuaa fipuaa
04/07/2021 08:43:30
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royautés islamistes ou dictatures islamistes ou pseudo "démocraties" pourries , un choix cornélien !!

il reste le système chinois...

  
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Luncyan Luncyan
03/07/2021 22:53:31
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La France aura un jour cet avenir :)


Le Portugal, l'Espagne, après avoir été de beaux empires ils sont tous passés par des moments d'effondrement et pareil pour la France. L'histoire se répétera

  
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MITTE MITTE
03/07/2021 21:29:37
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Du temps de Saddam ...

Message complété le 03/07/2021 21:49:05 par son auteur.

Avant, ils n'avaient pas la démocratie, mais ils avaient, entre autre choses, l'électricité.

Maintenant ils ont " sur le papier " la démocratie, vérolée de tous les courants possibles et inimaginables, gangrénés de corruption, leur avenir se décide à Téhéran, à Istanbul ou ailleurs, mais ils n'auraient plus d'électricité, plus de sécurité et un système éducatif et universitaire loin d'égaler celui d'en temps.

  
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fipuaa fipuaa
03/07/2021 20:38:44
0

ils ont le cul assis sur de l'or depuis longtemps et n'en profitent pas, il faudrait qu'ils se posent les bonnes questions

  
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HYBRID3 HYBRID3
03/07/2021 18:58:31
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30 ans de guerre ayant mis à bas une économie sous embargo et les infrastructures du pays, subjectivité dit-il... Tartuffe !

  
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JCROIPLU JCROIPLU
03/07/2021 18:51:00
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Pas de problème là, comme quoi tout est subjectif:

  
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HYBRID3 HYBRID3
03/07/2021 18:44:56
1

« Avant de dire quelque chose, il faut s'assurer que le silence ne soit pas plus important. »

Marcel Marceau

  
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JCROIPLU JCROIPLU
03/07/2021 18:39:15
1

Article à la con comme dab:

  
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HYBRID3 HYBRID3
03/07/2021 18:22:12
1

Après lecture de l'article, lire un tel commentaire est atterrant... Provoc à 2 balles. NUL ZERO à l'égard de la détresse des populations. A gerber...

  
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BAWA50 BAWA50
03/07/2021 17:45:22
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Branchements électriques sauvages à Bagdad, l'une des causes indirecte des coupures électriques (AFP/AHMAD AL-RUBAYE)

En Irak, l'été est toujours chaud. Mais cette année, avec 52 degrés à l'ombre, le pays est plongé dans le noir. Pas un seul watt d'électricité n'arrive dans les maisons où réfrigérateurs, climatiseurs et autres ventilateurs ne servent plus à rien.

Quand il avait encore du courant, Ali Karrar est allé jusqu'à allonger quelques minutes son nourrisson au frigo dans sa ville d'al-Hilla, au sud de Bagdad. A Diwaniyah, plus au sud, Rahi Abdelhussein n'arrête pas d'amener des sacs de glaçons pour hydrater ses enfants.

Partout à travers le pays, les commerçants ont installé des tuyaux, robinets et autres pommeaux improvisés pour que les passants puissent se doucher sur le trottoir avant de reprendre leurs achats... tout secs quelques minutes plus tard.

Le pire, comme à chaque fois, c'est à Bassora, la seule ville côtière du pays, où le ressenti des grandes chaleurs -- plus de 50 degrés -- est multiplié par l'humidité. La moiteur et l'inconfort sont tels que le gouvernorat a décrété quatre jours fériés cette semaine pour éviter aux habitants de sortir et aux pots d'échappement de faire grimper la température.

"On fait dormir les enfants par terre pour chercher un peu de fraîcheur et nous, les adultes, on ne ferme pas l'oeil de la nuit", raconte à l'AFP Mechaal Hachem, docker et père de trois enfants à Bassora.

- "La faute à l'autre" -

Le scénario catastrophe de cette année est le résultat de dizaines d'actions qui ont déclenché des réactions en chaîne. Résultat, au beau milieu de la nuit de jeudi à vendredi, plus aucun watt ne circulait dans les lignes électriques du pays.

Qui est responsable de tout ça, s'interrogent nombre des 40 millions d'Irakiens qui ont vu en près de 20 ans la moitié des pétrodollars du pays disparaître dans les poches de politiciens et d'hommes d'affaires véreux.


La glace se fabrique et se vend par blocs o Mosul le 3 juillet 2021 (AFP/Zaid AL-OBEIDI)

"Le ministère de l'Electricité dit +c'est la faute du ministère du Pétrole+, le Pétrole dit +c'est la faute des Finances+, les Finances disent +c'est la faute de l'Iran+, l'Iran dit +c'est la faute du gouvernement irakien+, le gouvernement dit +c'est la faute du peuple+, le peuple dit +c'est la faute des politiques+ et les politiques disent +il faut faire avec+", résume, ironique, le chercheur Sajad Jiyad sur Twitter.


Infrastructure de distribution d'électricité aux abonnés à Sadr City près de Bagdad (AFP/AHMAD AL-RUBAYE)

Le ministère de l'Electricité n'a jamais rénové ses circuits où se perdent 40% de son énergie, tandis que le ministère du Pétrole peine à lancer ses projets pour transformer le gaz naturel actuellement brûlé dans les torchères et alimenter ainsi les centrales électriques.

L'Iran, à qui l'Irak doit six milliards de dollars d'impayés de gaz et d'électricité, a décidé mardi de couper le robinet. Bagdad répond ne pas pouvoir payer ses dettes du fait des sanctions américaines contre l'Iran et de ses propres soucis financiers, alors que le Covid-19 a un temps fait plonger les cours du pétrole, son unique source de devises.

Et surtout, plaide le gouvernement, très peu de foyers paient leurs factures alors que tout le monde fait des branchements sauvages.

- A qui profite le crime? -

Dans le sud du pays, quatre provinces ont été privées de courant dès mardi, du fait notamment, explique le ministère de l'Electricité, d'attaques non élucidées contre des lignes à haute tension.


La chaleur est telle que des Irakiens se baignent dans un port près de Bassorah le 2 juillet 2021 (AFP/Hussein FALEH)

Les autorités qualifient les responsables de "terroristes" mais impossible de savoir qui se cache derrière ces sabotages. "Quelqu'un essaye de déstabiliser la rue et de créer le chaos", affirmait récemment à la télévision le porte-parole du ministère de l'Electricité, Ahmed Moussa.

Des manifestations ont déjà eu lieu dans les provinces de Missane, Wassit -- où cinq manifestants et sept policiers ont été blessés dans des heurts aux portes de la centrale électrique provinciale -- et ailleurs dans le Sud.

Le gouvernement le sait, aucun ministre de l'Electricité n'a survécu à la saison estivale depuis 18 ans. Chaque été, mais habituellement plus tard dans l'année, des manifestations ont lieu à travers l'Irak, et ce ministre-là est le premier fusible qui saute.

Cette fois-ci, le ministre Majid Hantoch, soutenu par le turbulent leader chiite Moqtada Sadr, a pris les devants: il a présenté sa démission lundi, la veille de la coupure iranienne.

De quoi donner les coudées franches à la rhétorique antigouvernement du mouvement sadriste qui s'annonce déjà grand vainqueur des législatives prévues en octobre.

© 2021 AFP

  
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