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Merci fip ! J'essaye de sortir des mots savants de temps en temps pour essayer de faire intelligent. Pas toujours une réussite malheureusement !
Tiens, le dernier mot savant que j'ai appris c'est '' Pathologie ''. Avant je disais '' Cannelloni a casa ''
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COSMO2
tu as de la chance avec ce mot, psychopate ou psychopathe ou psikopate ou spykopate ou ...on arrive à lire pareil donc tu es pardonné
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Bah non. C'est bien la raison pour laquelle je bois tes paroles...
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HYBRID3
« « Décidément, je ne sais plus comment penser... » »
Ah bon ? Tu sais faire ça ?
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Je sais pas quel putain de monde ces psychopates nous préparent, tout ce que je sais c'est que ça donne pas envie
Message complété le 05/07/2021 13:23:34 par son auteur.
... psychopathes pardon. J'ai aspiré le H
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Ah Oui fipuaa, bien vu l'auteur de l'article sur le site en lien de ton post...
Beurk !!!
Né israëlien et juif en 1963, Gilad Atzmon a depuis renoncé à ces deux identités et est devenu un des plus farouches combattants de l’idéologie du judaïsme et du sionisme.
Musicien de jazz talentueux et renommé, il a collaboré avec les plus grands (Robert Wyatt, Sinead O’Connor, Paul Mc Cartney, Pink Floyd…) et poursuit sa splendide carrière de musicien.
Il a grandi dans un milieu juif sioniste très engagé dans la ligne politique qui deviendra plus tard à l’origine de la création du Likoud ; pourtant son parcours de vie l’amènera à s’en détacher et à combattre, par ses écrits et son engagement, la philosophie du monde dont il est issu.
Il renonce donc à son identité juive et à sa nationalité israélienne pour embrasser le combat anti-sioniste et s’opposer aux aspects hégémoniques et dominateurs de l’idéologie judaïque, dont il déclare que les « juifs du quotidien » sont les premières victimes.
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Ah bon. Parce que pour ça je croyais qu'on avait le gouvernement et les médias mainstream. Décidément, je ne sais plus comment penser...
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Bien sûr servir d'abord le syndicat, pour qu'il ait les moyens...de penser à votre place.
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Heu, comprends pas tout, le covid c'est un coup de la CGT ?
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faut pas dire la vérité comme cela tu vas te faire traiter de complotiste toi ! Tu serais mal vu sur un plateau télé là !
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La CGT (et donc son dirigeant) ne représente que 3 % à peine des salariés.
En vertu de quel principe on donne la parole à ce type ? Il ne représente rien,
L’état écoute ce type (monsieur 3%) mais n’écoute pas les gilets Jaunes, par exemple, mais aussi bien d’autres . Cherchez l’erreur !
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Si ce Macron avait quelque chose dans ... la tête : il révoquerait immédiatement tous les fonctionnaires hospitaliers qui refusent de se faire vacciner. Ne serait ce que pour mise en danger d'autrui, et pour les médecins violation du serment d'Hippocrate.
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Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a indiqué lundi qu'il n'était "pas favorable" à la vaccination obligatoire des soignants contre le Covid-19, expliquant qu'il préférait "convaincre plutôt que contraindre" ceux qui "s'interrogent ou hésitent".
Une voix discordante dans un concert de soutiens. Depuis une semaine, le gouvernement, des médecins, mais aussi le Medef et la CFDT ont pris position en faveur de l'obligation pour les soignants, encore trop peu vaccinés dans les Ehpad et les hôpitaux.
Le Premier ministre Jean Castex doit d'ailleurs recevoir cette semaine les chefs de file du Parlement et des élus locaux pour aborder, entre autres, cette question.
Mais la CGT, premier syndicat dans la fonction publique hospitalière, n'y est "pas favorable", et pense "qu'il vaut mieux convaincre plutôt que contraindre. Il faut voir pourquoi une partie des soignants ne veut pas se faire vacciner, il y a certainement des raisons, donc il vaut mieux discuter plutôt que d'imposer", a déclaré M. Martinez sur LCI.
Lui-même vacciné et "favorable à la vaccination", il a estimé que les soignants "sont les mieux placés" pour aborder le sujet et que certains "pensent que les effets secondaires (du vaccin) peuvent poser des problèmes", ajoutant que "ce sont ces interrogations qu'il faut lever".
A rebours des sondages d'opinion, il a souligné que "quand on est à l'extérieur on peut avoir un avis mais c'est mieux d'écouter ceux qui sont à l'intérieur et qui ont beaucoup donné".
Appelant à "plus respecter les soignants", le patron de la CGT a affirmé qu'"on ne peut pas les montrer du doigt aujourd'hui après les avoir applaudis toute l'année dernière".
Face à la tentation de l'exécutif de légiférer sur le sujet, il a considéré que "quand on veut passer des choses en force, alors qu'on n'arrête pas de parler de discussion, de concertation, c'est un manque de respect".
© 2021 AFP
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