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Comparons la Suède et le UK et on a de quoi se poser de grosses questions sur les choix de cette crise qui devient plus politique que sanitaire
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il y a des voix politiques ( NDA , Filippot ), ou des esprits critiques ( ZEMMOUR ) ; mais elles ne pèsent pas assez.
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On sombre dans la folie d'une société du contrôle extrême qui a perdu toute mesure. Ce n'est pas au restaurateur à vérifier le pass sanitaire, encore moins sous la menace d'une amende destinée à le ruiner. Y a-t-il encore des voix politiques progressistes dans ce pays?
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Ce pays est sous le dictat de l'allopathie...
On a beau lire que 80 % des médocs existant, ne servent à rien, le système continue...
Les patients sont les premiers coupables : on est persuadé que plus on prend de médocs, mieux on se porte .
les pharmacies des particuliers regorgent de médocs qui ne sont pas consommés totalement ; ca rassure,
C'EST STUPIDE , MAIS LE SYSTEME PERDURE.
J'ai autour de moi, des exemples de patients mal soignés depuis des années, pur la même pathologie ; mais non, on est content , et on en réclame encore. ( il ne s'agit pas de pathologie lourde !!!!! )
Un exemplaire de SCIENCE et VIE était sorti en aout ( 2018 ou 19, je ne me souviens plus trop bien ) sur la bêtise humaine....sans limite.....
Alors , oui, tout à fait d'accord : que l'on soit des cobayes avec un vaccin dont on ignore les effets possibles à venir , c'est inadmissible. Alexandra HAURION CAUDE connait le sujet et on ne l'écoute pas.
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Moi qui voulait attendre au moins un an histoire de voir les effets secondaires de la vaccination... Bah mince alors bon bah je serais plus client et pis c'est tout. Jprefere vivre que risquer ma vie pour les labos aux produits vite fait bien ? Fait
Message complété le 14/07/2021 20:14:12 par son auteur.
Moderna: cas de risques cardiaques ?
Astrazeneca: problèmes de caillaux sanguins ?
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il suffit de régler en espéce
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L'exploitant d'un lieu qui manquerait aux futures obligations de contrôle du pass sanitaire sera passible d'une amende allant jusqu'à 45.000 euros et d'un an de prison, selon l'avant-projet de loi incorporant les nouvelles dispositions annoncées par Emmanuel Macron, et que s'est procuré l'AFP mercredi.
Le texte crée par ailleurs un nouveau motif de licenciement, et élargit à toute personne contaminée les mesures de placement à l'isolement pendant dix jours.
"Le fait, pour un exploitant d’un lieu ou établissement, le responsable d’un événement ou un exploitant de service de transport, de ne pas contrôler la détention par les personnes qui souhaitent y accéder (du pass sanitaire) est puni d’un an d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende", stipule son article 1er.
Le chef de l'Etat a annoncé lundi que la présentation du pass sanitaire conditionnera l'accès aux salles de spectacle et aux cinémas à partir du 21 juillet, et aux cafés, restaurants, centres commerciaux ou encore aux trains et avions à partir du 1er août, même si certaines mesures de "souplesse" s'appliqueront pour les adolescents.
Tous les clients à partir de 12 ans des lieux et transports concernés devront avoir leur pass, ainsi que leurs salariés (serveurs des restaurants, contrôleurs de trains, etc.) mais pas les policiers ou gendarmes. Un sursis jusqu'au 30 août a été décidé pour les enfants de 12 à 17 ans et les salariés.
Le projet dispose également que les salariés soumis à la vaccination obligatoire (personnels soignants, au contact de populations fragiles, pompiers) ne pourront plus exercer leur activité en cas de manquement au 15 septembre prochain, et pourront être licenciés si la situation perdure pendant les deux mois qui suivent.
Le texte doit être adopté lundi 19 juillet au Conseil des ministres puis examiné par le Parlement dans la semaine.
© 2021 AFP
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