Depuis la pandémie, les Français ont épargné 157 milliards d'euros de

moicmoi, il ne faut ni prêter ni donner son corps à la science.

Le corps en question est rendu en très mauvais état aux proches, quand on a prélevé ce qui présentait un intérêt ,

1 expression de plus du mépris affiché qui fait fureur dans la période où nous vivons.

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faut arrêter avec ces fantasmes débiles :

- il n' y a pas eu création de richesse puisque la France a eu un taux de croissance négatif de -8 % en 2020

- Sans création de richesse , pas d'épargne...

- Le fisc est en train de baver sur l'argent qu'il a prêté à partir de rien et qu'il aimerait maintenant récupérer, point barre.

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A titre d’expérience, moi je veux bien qu’on m’en file encore plus que trop, histoire de voir si ma tête va tourner.
Je donne , heu...non. Je prête mon corps à la science.
C’est beau, hein ?….C’est charismatique.

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@syjo : trop d'argent fait parfois tourner la tête.

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Il faut laisser passer la cinquième vague 😀

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Ben oui_, quoi....Il faut bien assurer ses arrières.

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ce qui est bizarre c'est que pour avoir de l'argent devant soi il faille le mettre de coté !

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Les margoulins qui nous dirigent ont déjà l’œil dessus

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C'est bizarre de mettre des billets dans un livret alors qu'il existe des portefeuilles

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15 millions de personnes en France pourrait prétendre au livret d'épargne populaire et seulement 7 millions en ont un !!!!!!!!!!! et l'on s'étonne !!!! au pays de Descartes, on ne comprend pas pourquoi les pauvres ne peuvent pas mettre un sous de coté.!!!!......Franchement c'est à croire que ce pays est habités par des crétins , pourtant issus de grandes écoles pour la plupart......C'est désespérant......on touche le fond........

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Le surplus d'épargne financière des Français provoqué par la pandémie de Covid-19 s'élevait à 157 milliards d'euros à fin juin, selon les derniers chiffres de la Banque de France dévoilés mardi.

Depuis le premier trimestre 2020, les ménages ont ainsi mis de côté environ 267 milliards d'euros, à comparer aux 111 milliards attendus hors pandémie.

"Cette épargne-là est liée au fait qu'il y a certaines dépenses que les ménages auraient faites en temps normal mais qu'elles ne pouvaient pas faire" comme dans l'hébergement-restauration, a expliqué lors d'une conférence de presse Olivier Garnier, le directeur général de la Banque de France.

"C'est le fait aussi qu'en dépit d'une chute sans précédent du PIB, le pouvoir d'achat, le revenu disponible des ménages compte tenu de l'inflation, lui n'a pas diminué", a-t-il poursuivi.

"Bien que les dépôts à vue aient recueilli la majorité de cette +épargne Covid+, 2020 est en conséquence une année exceptionnelle pour l’épargne réglementée: les versements sur le livret A, produit phare de l’épargne réglementée, ont atteint leur plus haut historique, à 167 milliards d’euros, soit une hausse de 134% par rapport à 2019", a précisé le rapport de la Banque centrale.

Le total de l'épargne réglementée des ménages -constituée des dépôts sur les livrets A, livrets de développement durable et solidaire (LDDS), livrets d'épargne populaire (LEP), plans d'épargne-logement (PEL), plans d'épargne populaire (PEP)- a progressé de 5,5% en 2020, pour atteindre 814 milliards d'euros, soit environ 14% du patrimoine financier des ménages, un chiffre stable.

Le Livret A reste le chouchou des Français, qui étaient 81,5% à en détenir un à fin 2020, avec un encours moyen de 5.500 euros (+400 euros par rapport à fin 2019). Ce chiffre cache pourtant de fortes disparités, selon le rapport de la Banque de France, puisque 13% des livrets représentent plus de la moitié des encours.

A l'inverse, le livret d'épargne populaire, dont l'ouverture est soumise à des conditions de ressources mais qui offre un rendement de 1%, supérieur au 0,5% du Livret A, reste sous-utilisé.

En effet, alors que 15 millions de personnes pourraient y prétendre, seulement 7 millions de Français en possèdent un.

© 2021 AFP

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