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En effet mais on peut pas vraiment appeller ça de l'inflation si une entreprise arrive à choper toute la valeur ajoutée pour elle même.
Pour ce qui est de l'électricité c'est lié au gaz donc je t'ai indirectement repondu. En France par convention on se fixe plus par rapport au pétrole donc on subira moins les variations type pays bas
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Pas d'inflation en Europe sur l'énergie. Le pétrole étant en euro moins cher aujourd'hui que fin 2019.
Oui pour le gaz, cas particulier mais bon fallait prendre un contrat fixe en 2020.
Le bois cas particulier, bulle éclaté depuis.
L'or bof également.
Message complété le 15/09/2021 19:25:52 par son auteur.
Les tarifs des bateaux tu peux pas rentrer ça dans l'inflation. C'est simplement l'offre et la demande tout le monde surexploite leur capacité avec la distruption de la chaîne d'approvisionnement
Message complété le 15/09/2021 20:52:32 par son auteur.
Je vais quand même te donner raison sur un point qui me chiffone plsu que les autres : le prix des métaux industriels (aluminium, acier). En effet ici, point d'explication
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Oh mon dieu...
Touati et Delamarche.
les deux personnages qui nous prédisent la fin du monde depuis plus de 20ans.
total crédibilité !
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Merci pour la vidéo.
Celle-là aussi est pas mal : https://www.youtube.com/watch?v=2TrsvKik-14
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Les BC minimisent très largement les chiffres de l'inflation.
Les prix de l'électricité explosent en Espagne, en Grande-Bretagne
En France, ce sont les prix du gaz et des hydrocarbures, couplés aux taxes
Sans compter le prix des matières premières, céréales, métaux non précieux, bois il y a quelques mois
Et sans compter l'inflation des tarifs de transport commerciaux par bateaux...
Ça va pas aller en s'arrangeant. Au contraire, les BC nous préparent une destruction de la valorisation de la monnaie du tonnerre !
Vive la planche à billets !
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" Inflation... que les banques centrales ignorent ! "
C'est plutôt le contraire.. elles souhaitent de l'inflation. du moins un peu plus que lors de la dernière décennie.
et elles ne le cachent absolument pas... bien au contraire.
,-)
Message complété le 15/09/2021 16:50:55 par son auteur.
Si tout allait bien dans le meilleur des mondes , expliquez moi , pourquoi augmente t' on le SMIC dès le 1er octobre alors que toutes les augmentations se font au 1 er janvier de chaque année ?
Peut être que c'est le bon moment pour essayer de canaliser une rentrée sociale quelque peu mouvementée !?
et que si on augmente le Smic simplement par effet inflation..
pourquoi il en est pas de même sur le Tx de nos livrets/comptes épargnes ?
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Les salariés rémunérés au Smic toucheront près de 35 euros brut de plus au 1er octobre, grâce à la revalorisation mécanique du salaire minimum due à l'inflation, une telle hausse en cours d'année liée à l'évolution des prix étant inédite depuis dix ans.
La dernière hausse automatique du Smic due à l'inflation, hors 1er janvier, était de 2,1% le 1er décembre 2011.
Actuellement de 1.554,58 euros brut par mois, le Smic sera porté à environ 1.589 euros, le Smic horaire brut devant passer de 10,25 à 10,48 euros, selon les calculs de l'AFP. Le ministère du Travail communiquera dans la soirée le chiffre exact après une réunion avec le groupe d'experts sur le Smic.
Cette hausse est mécanique car le code du Travail (article L3231-5) prévoit que "lorsque l'indice national des prix à la consommation atteint un niveau correspondant à une hausse d'au moins 2% par rapport à l'indice constaté" lors de l'établissement du Smic "immédiatement antérieur", le salaire minimum est relevé "dans la même proportion" le mois suivant.
Or les chiffres publiés mercredi par l'Insee montrent que l'indice des prix à la consommation a progressé de 2,2% par rapport à novembre 2020, mois de référence pour la dernière revalorisation.
Comme chaque année, le Smic avait été augmenté de 0,99% au 1er janvier. L'année précédente, il avait été revalorisé de 1,2% pour 2,25 millions de bénéficiaires, soit 13% des salariés, selon la Dares.
Avec la hausse du 1er octobre, et sauf forte accélération de l'inflation à l'automne, la prochaine revalorisation au 1er janvier devrait en revanche être plus faible puisqu'elle sera calculée sur la seule évolution des prix entre août et novembre.
Chaque année, certains syndicats (comme la CGT qui réclame un Smic à 1.800 euros brut) demandent au gouvernement d'aller au-delà de la hausse automatique, mais le dernier "coup de pouce" (de 0,6% couplé à 1,4% au titre de l'inflation de façon anticipée) remonte à juillet 2012, au lendemain de l'élection du socialiste François Hollande.
- Simple "rattrapage" -
Les gouvernements qui ont suivi se sont abstenus de toute hausse exceptionnelle, jugeant que cela nuirait à l'emploi des moins qualifiés.
Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a encore souligné la semaine dernière que "donner un coup de pouce (au Smic) c'était aussi donner un coup de canif au redressement de l'emploi". Il met en avant le fait que le gouvernement a déjà agi pour les bas salaires, par exemple en augmentant la prime d'activité.
Alors que la pression monte sur le sujet du pouvoir d'achat à sept mois de la présidentielle, le gouvernement préfère pousser aux négociations de branche et presser les entreprises d'augmenter les bas salaires.
Le Premier ministre Jean Castex a ainsi demandé la semaine dernière l'ouverture de négociations dans de nouvelles branches, dont l'hôtellerie-restauration et les industries agro-alimentaire.
De telles discussions ont déjà été engagées dans plusieurs branches, avec des accords conclus par exemple dans le commerce de détail (hausse des salaires de 1,5% à 2% selon les niveaux de qualification).
Pour les syndicats, cette hausse automatique du Smic est insuffisante.
Pour la CFDT, les travailleurs de "deuxième ligne", particulièrement exposés lors de la crise sanitaire, "méritent mieux qu'une hausse de 2,2% du Smic".
Les employeurs "à travers les négociations de branche, ont les cartes en main", estime le syndicat dans un communiqué, notant que "certains ne jouent pas le jeu". Et le gouvernement "peut intervenir pour éviter les propositions indécentes (...) en conditionnant le versement des aides publiques à un dialogue social de qualité".
Yves Veyrier (Force ouvrière) a souligné de son côté sur Twitter que l'augmentation automatique "n'était que le rattrapage de l'inflation", revendiquant "un plan immédiat de revalorisation d'ensemble des emplois confinés aux bas salaires, à temps partiel et trop souvent en contrats précaires", dont font partie notamment les "deuxième ligne".
La CFTC a salué une "bonne nouvelle pour les travailleurs" tout en assurant qu'elle continuerait de "militer" pour un coup de pouce.
© 2021 AFP
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