CAC40: le contrat septembre a été compensé à 6.620

Quatre coups de balais valent mieux que trois. Les sorcières ont fait le ménage

Message complété le 17/09/2021 17:30:51 par son auteur.

Sinon tout le reste n'est que du bla bla bla. Prises de benefs epicetou

Message complété le 17/09/2021 18:41:38 par son auteur.

Le nois, le surnois et le sournois ?

Message complété le 17/09/2021 17:47:51 par son auteur.

tout ses analystes et autres que des sournois !!!

(CercleFinance.com) - Après une semaine mitigée, la Bourse de Paris retombe (-0,3%) vers 6.600, après avoir entretenu un faux espoir de re-franchissement des 6.700 ce matin (il affichait un gain de 1%, ce qui l'amenait jusque vers 6.697).
A 1 heure de la clôture, le CAC40 a reperdu presque 100Pts (son plus bas du jour a été inscrit à 6.597) : score 'hebdo' devient négatif de -0,6%, le score trimestriel est de +1%.

L'Euro-Stoxx50 (-0,3%) a également fait le grand écart entre 4.214 et 4.154, et l'indice pourrait finir la journée au plus bas : le 3ème trimestre se solde pour l'heure par un gain de +2%, le semaine s'achève dans le rouge (-0,3%)

Une quasi stagnation qui peut s'expliquer par l'absence de visibilité offerte par les derniers indicateurs publiés cette semaine.
Difficile d'anticiper l'évolution de la politique monétaire de la Réserve fédérale - qui réunira d'ailleurs son comité stratégique la semaine prochaine.

En fait, les investisseurs sont tiraillés entre l'idée d'une croissance américaine qui pourrait ré-accélérer en septembre et l'annonce prochaine du ' tapering ' de la Fed si l'économie se redressait, analyse-t-on chez Aurel BGC.

Une interrogation qui s'ajoute aux craintes d'un éventuel ralentissement de l'activité causé par la propagation du variant Delta, une problématique qui semble avoir été jusqu'ici ignorée par les marchés.

Dans ce contexte, depuis ses plus hauts de la mi-août, le marché parisien semble prisonnier d'un corridor allant de 6.600 à 6.760 points (dont il teste la borne basse depuis mercredi), une stagnation qui laisse penser à certains analystes que l'élan haussier du CAC est désormais brisé.

Pour les stratèges de Danske Bank, l'appétit pour le risque qui soutenait les marchés boursiers est incontestablement en train de se réduire.

'Cette constatation est conforme avec nos attentes pour le reste de l'année, avec la perte de vitesse des puissants éléments qui étaient à l'origine de la performance des marchés ces 16 derniers mois', explique la banque danoise.

Les investisseurs ont pris connaissance des chiffres définitifs de l'inflation en zone euro: le taux annuel est confirmé à 3,0% en août 2021, contre 2,2% en juillet, et celui de l'Union européenne à 3,2%, contre 2,5%, selon Eurostat.
Les taux annuels les plus faibles ont été observés à Malte (0,4%), en Grèce (1,2%) et au Portugal (1,3%) et les plus élevés ont quant à eux été enregistrés en Estonie, en Lituanie et en Pologne (à 5,0% respectivement).

Les plus fortes contributions au taux d'inflation annuel de la zone euro proviennent de l'énergie (+1,44 point de pourcentage, pp), suivis des biens industriels hors énergie (+0,65 pp) et de l'alimentation, alcool et tabac et des services (chacun +0,43 pp).
'Des tensions inflationnistes existent en Europe, mais elles sont nettement plus faibles qu'aux Etats-Unis', estiment ainsi les équipes d'Oddo BHF.

Aux Etats-Unis, les opérateurs ont pris connaissance de l'indice de confiance des consommateurs du Michigan, qui avait fortement chuté en août (vers 70,3) avec la vague du variant Delta et ressort à 71 contre 72 anticipé.

Dans l'actualité des valeurs françaises, le 'luxe' retrouve des couleurs et les hausses de +2% de Kering puis de LVMH et Hermès empêchent encore le CAC d'enfoncer les 6.600.

Renault Group annonce que des négociations en vue de conclure un accord social triennal (2022-2024) pour préparer son avenir en France, se sont ouvertes entre les organisations syndicales représentatives et la direction.

Carmat annonce avoir reçu l'accord final du comité de protection des patients (CPP Ile-de-France XI) pour l'utilisation de la version commerciale la plus récente de son coeur artificiel Aeson dans l'étude EFICAS en France.

Enfin, Wendel (+4%) a annoncé vendredi qu'IHS Holding, l'une de ses sociétés en portefeuille, avait déposé une demande en vue d'une introduction en Bourse aux Etats-Unis.


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Message complété le 17/09/2021 17:41:43 par son auteur.

tout ses analystes et autres que des sournois !!!