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Le budget 2022 dévoilé mercredi, déjà attaqué sur l'envol des dépenses

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cool13 cool13
22/09/2021 11:39:26
0

Le budget 2022, identique au passée, présent et future.
Un pays, en mode de gouvernance, Kleptocratie et commandement divin ?.


Le jour, ou la France arrêtera d'emprunter, pour payer, ce quel doit chaque jour.
Oui, le budget sera à l’équilibre. Le jour, où les poules auront des dents.
Si, la France arrête d’emprunter aujourd’hui tous s’écroulent.
Poka-yoke et baka-yoke ?
Le poka-yoke est un « anti-erreur » : il permet d'éviter une erreur.
Le cas typique est le code couleur :
le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton rouge.
Le baka-yoke est « l'anti-idiot » (baka 馬鹿 signifie « idiot » en japonais).


le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton rouge
https://www.youtube.com/watch?v=I6M-MgJfh54

  
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era era
22/09/2021 10:49:55
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Les dépenses publiques ne créent pas d'emploi ; elles les détruisent.

Parce que les dépenses publiques sont uniquement financées par l'impôt et les taxes, c'est à dire par les prélèvements obligatoires.

Qui paie l'impôt et les taxes ? les entreprises qui sont donc obligées de freiner sur les marges, l'investissement, les salaires, les emplois. Et les particuliers qui freinent sur la consommation, l'achat de biens durables, les services.

Pour résumer : la croissance économique à moyen et long termes est d’autant plus faible que le taux d’endettement d’un pays est élevé.

  
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cigale11210 cigale11210
22/09/2021 10:12:16
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Hum………! Banqueroute simple Ou Banqueroute frauduleuse ………expliquez svp …gang lois
  
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j.tavern j.tavern
22/09/2021 09:45:43
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Ssi les dépenses 2021 de Mr Macron et son gvt créent des emplois ou maintiennent voire réduisent le taux de chômage disons en dessous de 8% alors pkoi pas? L'austérité est une solution économique mais tjrs la meilleure les preuves ne sont plus à faire, non?.
  
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glanglois glanglois
22/09/2021 09:25:09
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Amateurisme , mensonge et malhonnêteté c'est ce que l'on peu retenir de Macron et sa bande de picsous ..Par contre refuse d'annoncer l'endettement de la France 1950 milliards à l'arrivé de Macron et de la république de la marche arrière aujourd'hui nous dépassons allégrement les 4000 milliards d'euros . La Banqueroute de notre pays est bien réelle et l'on peu même dire c'est la banqueroute de LREM .....
  
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glanglois glanglois
22/09/2021 09:24:31
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Bruno Le Maire à Saint-Germain-en-Laye le 16 septembre 2021 (AFP/Archives/Eric PIERMONT)

Les dépenses de l'Etat qui s'envolent malgré la fin affichée du "quoi qu'il en coûte": le gouvernement dévoile mercredi son projet de budget pour 2022, qui fait déjà grincer des dents l'opposition à sept mois de l'élection présidentielle.

Ce n'est pas une surprise, le dernier budget d'un quinquennat n'est jamais le plus ambitieux sur la maîtrise des dépenses, alors qu'il est traditionnellement amendé après les élections présidentielle et législatives.

Le projet de loi de finances 2022, que le gouvernement présente mercredi en conseil des ministres, ne fait pas exception à la règle, même si le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a défendu la "responsabilité" et le "sérieux" financier de l'exécutif.


Emmanuel Macron et Bruno Le Maire aux Rencontres de l'U2P, qui représente les travailleurs indépendants. le 16 septembre 2021 à Paris (POOL/AFP/Archives/Christophe PETIT TESSON)

Pas question de se voir accuser d'"insincérité" comme le gouvernement Valls pour le dernier budget du quinquennat de François Hollande.

Mais il est peu probable que le Haut conseil des finances publiques, qui doit rendre public mercredi matin son avis sur ce texte, donne son blanc-seing sans tousser.

Ce dernier budget du quinquennat d'Emmanuel Macron prévoit en effet un coquet gonflement de l'enveloppe allouée aux ministères. En juillet, Bruno Le Maire avait avancé le chiffre de près de 11 milliards d'euros supplémentaires.

Sauf que depuis, les annonces de dépenses pleuvent, de la part d'Emmanuel Macron ou de son Premier ministre (plan pour les indépendants, coup de pouce à MaPrimeRénov, Beauvau de la sécurité, transports publics, etc), dont certaines ne sont pas encore prises en compte dans ces 11 milliards d'euros.

On attend toujours en particulier deux gros morceaux: le plan d'investissement, de l'ordre de 30 milliards d'euros sur plusieurs années, pour financer l'innovation et les filières d'avenir, et le revenu d'engagement pour les jeunes, dernière grande mesure sociale du quinquennat, qui pourrait avoisiner les 2 milliards d'euros par an, selon le ministère du Travail.


Olivier Dussopt à l'Assemblée nationale le 6 juillet 2021 (AFP/Archives/Bertrand GUAY)

In fine, on devrait atterrir plutôt "autour de 16 ou 17 milliards d'euros" de dépenses supplémentaires, estime le député LREM Laurent Saint-Martin, rapporteur général du Budget à l'Assemblée. Une hausse très importante, mais pour "des dépenses d'investissement", défend-il, écartant tout "dérapage".

- "Irresponsable" ? -

"Ce n'est pas open bar", veut aussi rassurer le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt, défendant un "retour à la normale" tout en tenant les "engagements" pris par le président de la République sur la justice, l'armée, l'éducation ou la recherche.

Bercy promet de consacrer à la réduction du déficit une partie des meilleures recettes attendues grâce à une croissance dynamique cette année (+6%, puis +4% en 2022 selon le gouvernement).

Mais sans surprise, le gouvernement n'a annoncé à ce stade aucune mesure d'économie.

Le déficit devrait ainsi être ramené de 8,4% du PIB cette année à 4,8% l'an prochain, pour une dette qui atteindrait encore un niveau record de 114% du PIB en 2022, après 116% en 2021.

"2022 n'est toujours pas un budget normal, ni même de normalisation au regard de toutes les dépenses nouvelles qui s'annoncent, même si elles peuvent être justifiées sur le plan économique", estime Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas. "La question c'est: quel sera le financement en face?".


Eric Woerth à l'université d'été LR à La Baule le 28 août 2021 (AFP/Archives/Sebastien SALOM-GOMIS)

A droite, on attaque déjà une "euphorie dépensière" à sept mois de l'élection présidentielle, selon les mots d'Eric Woerth, le président LR de la commission des Finances à l'Assemblée nationale, dans Le Figaro.

Xavier Bertrand a lui aussi fustigé dimanche une attitude "absolument irresponsable", quand Valérie Pécresse répète à l'envi qu'Emmanuel Macron "crame la caisse".

A gauche, le député LFI Alexis Corbière dénonce "un président en campagne avec des moyens publics".

"L'exécutif se trouve confronté à une difficulté: depuis près de deux ans, la politique a été celle du quoi qu'il en coûte. C'est très difficile d'en sortir, de dire qu'il faut limiter les dépenses publiques. Et c'est d'autant plus compliqué que l'élection (présidentielle) approche", analyse Charlotte de Montpellier, économiste à la banque ING.

© 2021 AFP

  
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