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La chasse au loup désormais interdite dans toute l'Espagne, au grand d

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hellforthem hellforthem
23/09/2021 13:22:24
2

Les vautours fauves faut leur faire survoler les EHPAD 😮😮😮

Message complété le 23/09/2021 13:23:12 par son auteur.


... surtout quand j'y serais bien sûr !

  
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Dubaisan Dubaisan
23/09/2021 12:37:12
5

On pourrait créer un "pass écolo", qui permettrait a nos khmers verts de supporter les ours et les loups par une taxe spécialement dédiée a leur sauvegarde et leur expansion Cette taxe qui servirait a indemniser fortement tous les éleveurs sinistrés, serait, bien sur, payée uniquement par nos chers écolos qui pourraient donc mesurer pleinement le coût de leurs actes et savourer leur efficience.

Non, je vas créer un drone chasseur d'ours et de loups qui dès qu'il en repère un près d'un troupeau leur fonce dessus en rase-mottes sur fond musical d' "Apocalypse now", en émettant des sons dignes a les terroriser et enfin leur lâcher dessus des boules explosives et puantes en forme de vache ou de mouton.

Si au bout de 100 ans loups et ours ne deviennent pas végétariens, faudra revoir l' application...

  
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Anjou49 Anjou49
23/09/2021 11:36:41
3

Quelqu’un serait-il en mesure de me démontrer l’utilité écologique, économique ou autres de la réintroduction de l’ours et du loup qui avaient quasi totalement disparu depuis un siècle ?

Quand aux problèmes des éleveurs ? Mais on s’en fou disent les citadins bien pensant. Z’ont qu’à mettre des barrières électrifiées un peu partout, doubler ou tripler le nombre de patous autour de leurs troupeaux, embaucher pléthore de bergers et de bergères.

Et puis de toutes les façons l’Etat les indemnise alors de quoi se plaignent-ils ? De plus l’argent coule à flots, c’est vrai qu’on a les moyens…

Je crois que nous sommes en pleine crise de romantisme « nature et découverte ». Retour au jardin d’Eden. Hymne à la culture bio, aux produits naturels, aux désherbages manuels mais tout en continuant nos déplacements touristiques tous azimuts. Les contractions ne nous gênent guère.

A ce propos, des éleveurs de vaches laitières convertis, avec la bénédiction de leur Ministère, au lait bio ne trouvent plus de déboucher au motif de surproduction par rapport à une clientèle insuffisante… Du coup leur lait bio est déclassé et payé au prix du lait non bio. (Chez Lactalis 20% du lait bio est déclassé. Dixit Christophe Piednoël directeur relation Lactalis)

C’est-t-y pas qu’on marcherait sur la tête ?

Mais si le peuple veut du loup et de l’ours dans le décor, il n’y a plus rien à dire : Vox populi, vox Deï.


Message complété le 23/09/2021 11:49:16 par son auteur.

La population de vautours fauves a augmenté de plus de 50% depuis 2012.avec plus de 7000 couples d’oiseaux cela commence à poser des problèmes dans les Pyrénées. Plusieurs exemples d’attaques sur des animaux vivants alors que naturellement ce sont uniquement des charognards. Mais des charognes d’animaux il n’y en a pas assez pour le nombre sans cesse croissant de ces oiseaux.
Voir un article intéressant de la République des Pyrénées.
Si jamais ils s’en prenaient aux ours ou aux loups quel dilemme pour nos écolos…

  
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hellforthem hellforthem
23/09/2021 10:51:43
0

Y'aurait bien la solution qu'avait trouvé mon oncle dans sa jeunesse quand il fut berger par là bas : garder et surveiller son troupeau à temps plein... Mais ça c'était avant...

  
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era era
23/09/2021 09:46:31
1
Si on aime les animaux sauvages, on défend le loup. Si on aime les éleveurs, on abat le loup. C'est donc un problème impossible à résoudre. Sauf si le gouvernement n'a qu'à décidé de verbaliser chaque loup surpris en train d'attaquer un mouton ; succès garanti. Comme le rappel à la loi des fri pouilles qui sont jugés après leur quinzième agression dans les banlieues.
  
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era era
23/09/2021 09:46:30
0

Un loup ibérique près du vilalge de Puebla de Sanabria, en Espagne, le 28 juillet 2021 (AFP/PIERRE-PHILIPPE MARCOU)

"Il y a toujours eu des loups, mais à présent, ils nous dévorent". Depuis mercredi, chasser le loup est interdit dans toute l'Espagne, une décision qui en ravit certains, mais en désole d'autres, comme dans la Sierra de la Culebra, paradis à la fois du loup ibérique et de l'élevage extensif.

Le 4x4 s'avance sur un chemin de terre accidenté, la bergère en descend et, d'un pas robuste, se dirige vers un petit fossé. "C'est là", dit Ana Vega, éleveuse à Ungilde, pointant le sol.

De la carcasse du veau tué deux jours plus tôt, il ne reste rien. "Ils ont tout emporté".

Dans la Sierra de la Culebra, une zone de quelque 70.000 hectares située dans la Castille-et-Léon (nord-ouest de l'Espagne), les loups sont partout, sur les panneaux ou les T-shirts dans les magasins de souvenirs. On en parle au singulier, comme dans un conte.

"Ici, ça a toujours été le paradis des loups", confirme Carlos Zamora derrière ses jumelles, à l'affût d'un spécimen dans le soleil rasant de l'aube.


Un loup près du village de Puebla de Sanabria, en Espagne, le 28 juillet 2021 (AFP/PIERRE-PHILIPPE MARCOU)

L'agent forestier explique qu'il y a environ huit meutes d'une dizaine de canidés dans la zone, plus quelques spécimens errants, un chiffre qui, selon lui, n'a pas changé depuis une vingtaine d'années.

"Il y a trois acteurs dans la tragédie du loup: les éleveurs, les écologistes et les chasseurs. Chacun a sa solution", analyse Carlos Zamora. A cela s'ajoutent les touristes, "qui viennent d'Europe pour le voir comme on va voir le lion en Afrique".

- Uniformisation -

Jusqu'ici, les régions au nord du fleuve Duero traitaient le loup comme une espèce cynégétique, ce qui permettait d'en abattre un certain pourcentage, à l'instar de la Cantabrie, où a été décrétée fin juillet l'élimination en 2021 de 34 loups (20% de la population).

Mais afin d'unifier les règles dans le pays, le gouvernement de gauche de Pedro Sánchez a interdit sa chasse dans toute la péninsule, comme c'est déjà le cas en France ou en Italie. Publié mardi au Journal officiel, le décret est entré en vigueur mercredi.


Rosy Gonzalez, une agricultrice, et son chien près du village de Puebla de Sanabria, en Espagne, le 28 juillet 2021 (AFP/PIERRE-PHILIPPE MARCOU)

"Lorsqu'il s'agit d'une espèce rare comme le loup ibérique, la responsabilité de sa conservation doit reposer sur tout le territoire", affirme à l'AFP le secrétaire d'Etat à l'Environnement, Hugo Morán.

Mais la décision a provoqué l'ire de la Cantabrie, des Asturies, de la Galice et de la Castille-et-Léon, régions qui concentrent l'immense majorité de la population de loups et qui promettent de déposer un recours en justice.

Pendant que les écologistes saluent "cette avancée importante", des associations d'éleveurs, comme l'Union des paysans de Castille-et-Léon (UCCL), jugent "incompréhensible que des régions sans loups imposent leur écologisme radical".

- "Concurrence déloyale" -

Ana Vega se souvient de l'époque où les villageois se faisaient justice eux-mêmes quand un mouton était tué par un loup: "s'ils l'attrapaient, ils le tuaient".

Son téléphone regorge de clichés macabres de ses bêtes dévorées, certaines sanglantes où le tronc de l'animal est à moitié déchiqueté.

"Je ne dis pas qu'on doit tous les tuer, mais on doit tous pouvoir vivre", poursuit-elle, réclamant des aides.

Car l'élevage extensif, où les bêtes paissent à l'air libre, implique de lourds investissements face aux prédateurs.

Il faut nourrir et vacciner les anges-gardiens du troupeau, une quinzaine de mastiffs: des chiens géants aussi hauts que des poneys, qui engloutissent des kilos de croquettes.

Ana a aussi payé de sa poche les tracteurs pour arracher les herbes hautes, où les loups aiment se cacher, sur vingt hectares de pâturages.


Un loup dans la Sierra de la Culebra, dans le centre de l'Espagne, le 28 juillet 2021 (AFP/PIERRE-PHILIPPE MARCOU)

Les 450 moutons de José Castedo broutent, eux, dans des zones sécurisées par des enclos électriques.

"Des exploitations comme celle-ci, il y en a peu", signale l'éleveur de 62 ans, plus dépité que fier, qui reste circonspect sur la nouvelle législation, notamment en ce qui concerne le montant de l'indemnité en cas d'attaque de loup et les délais de paiment.

Il évoque la "concurrence déloyale" d'autres régions, où "on s'occupe deux heures par jour des moutons avec une barrière d'un mètre de haut".

Sans les chiffrer, le ministère de la Transition promet des "ressources financières": "l'éleveur qui vit avec des grands carnivores exige un traitement particulier", assure Hugo Morán.

Mais cette cohabitation peut s'avérer un mariage heureux, voire une aubaine, comme pour les éleveurs Rosi González et son mari Alberto, qui en ont fait un argument commercial avec leur marque de viande "Paître avec les loups" (pastandoconlobos), dont le logo mêle les profils d'un mouton et d'un loup.

© 2021 AFP

  
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