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L'Asie peine à se défaire de son addiction au charbon malgré l'urgence

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manuborelli manuborelli
18/10/2021 15:21:45
0

je remets le lien 🤣👍

https://www.dailymotion.com/video/x84w718

dès fois il faut lire c’est compliqué et dès fois il suffit d’écouter 😁

il a raison christian 👍

Message complété le 18/10/2021 15:35:47 par son auteur.

émissions de co2 et mortalité infantile

chine 6.8 tonnes / mortalité infantile 250 000 enfants/an (tous les chinois ont l’électricité)
inde 1.7 tonne / mortalité infantile 1.2 million enfants/an (280 millions d’indiens n’ont toujours pas l’électricité)

les indiens viennent d’ouvrir 100 mines à charbon

Message complété le 18/10/2021 15:43:05 par son auteur.

pour les liens : napoléon disait qu’il vaut mieux un petit dessin qu’un grand discours 👍😁

  
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syjo syjo
18/10/2021 15:05:28
0

quand il fera chaud on aura plus besoin de se chauffer.

  
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Dubaisan Dubaisan
18/10/2021 14:24:28
1

"....ça se payera au prix fort la transition énergétique nous coûtera très cher."

Sur le plan social, ça ne va pas toucher que les ouvriers. regardez déjà chez Renault , PSA ect... tous les chercheurs, ingénieurs et techniciens "moteurs thermiques" n'ont plus qu'à se reconvertir dare dare ou se chercher du boulot ailleurs...

A l'école Centrale de Nantes ou la formation doctorale et post doctorale dans ces domaines était son atout incontestable, que va devenir la filière, que vont t'ils faire des bancs d'essais pour moteurs thermiques ultra modernes (à quelques dizaines de millions d'euros le banc...) qui permettaient des analyses de la combustion, des phénomènes de pollution, proposait des réglages d'une finesse quasi-moléculaire... Ou vont t'ils retrouver les financements de tous les grands motoristes du monde entier qui leur confiaient leur nouveaux modèles avant leur mise sur le marché...?

La casse va être monumentale dans de nombreux secteurs....

  
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jfblodi jfblodi
18/10/2021 11:54:27
0
Peut être que l'Asie ne peut pas se permettre d'avoir la dette abyssale de la France, ne vous inquiéter pas après les élections ça se payera au prix fort la transition énergétique nous coûtera très cher.
  
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jfblodi jfblodi
18/10/2021 11:50:16
0
Peut être que l'Asie ne peut pas se permettre d'avoir la dette abyssale de la France, ne vous inquiéter pas après les élections ça de payera au prix fort la .
  
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hellforthem hellforthem
18/10/2021 11:16:39
0

RRhhôô ces méchants asiatiques qui font rien que d'embêter greta et le giec et qui les écoutent même pô... c'est pô bien

  
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BAWA50 BAWA50
18/10/2021 10:25:24
0

La centrale à charbon de Suralaya, en Indonésie, le 21 septembre 2021 (AFP/BAY ISMOYO)

La grande centrale à charbon de Suralaya en Indonésie et ses épaisses fumées toxiques illustrent les difficultés auxquelles font face les pays d'Asie, aux économies encore fortement dépendantes des énergies fossiles pour réaliser une transition énergétique indispensable pour sauver le climat.

L'Asie-Pacifique compte pour les trois quarts de la consommation globale de charbon, alors même que la région est particulièrement exposée à l'impact du changement climatique avec des niveaux de pollution mortels en Inde ou des vagues de chaleur extrêmes et des feux de forêts en Australie.

Les promesses de la Chine et d'autres pays de parvenir à la neutralité carbone suscitent l'espoir d'un futur plus propre, mais la région est engagée dans une transition vers les énergies renouvelables bien trop lente, selon les observateurs.

"Nous avançons beaucoup plus lentement que l'impact du changement climatique. Nous manquons de temps", note Tata Mustasya de Greenpeace Indonésie.


L'effet de serre (AFP/Gal ROMA)

Le changement est particulièrement ardu dans la région, l'un des derniers bastions du charbon, l'énergie la plus polluante. Cinq pays d'Asie - la Chine, l'Inde, le Japon, l'Indonésie et le Vietnam - représentent 80% des projets de nouvelles centrales à charbon dans le monde, selon un rapport de Carbon Tracker.

Or les promesses récentes d'arrêter la construction et le financement de nouvelles centrales ne devraient pas affecter les nombreux projets déjà en cours.

La centrale à charbon géante de Suralaya, sur l'île indonésienne de Java, l'une des plus grande d'Asie du Sud-Est, illustre ce défi.

L'Indonésie vise la neutralité carbone en 2060 et veut cesser de construire de nouvelles centrales au charbon dès 2023. Mais le projet d'expansion pour 3,5 milliards de dollars de cette centrale n'est pas remis en cause.

- Difficultés respiratoires -

Le charbon contribue à une grande part des émissions de carbone dans le monde, ce qui en fait une menace majeure pour la limitation de la hausse des températures autour de 1,5 degrés, objectif des Accords de Paris de 2015.


Des habitants de Cilegon, en Indonésie, inspectent des poussières suspectées de provenir de la centrale à charbon voisine, le 22 février 2021 (AFP/RONALD SIAGIAN)

Et il a aussi un lourd impact sur la santé publique.

Dans un village à l'ombre de la centrale de Suralaya, la poussière de charbon s'accumule souvent sur les maisons et les habitants se plaignent de maux divers.

"La toux et des difficultés à respirer sont des problèmes signalés dans la région", explique Misnan Arullah, membre d'une association locale qui mène campagne contre la pollution.

"Les gens se plaignent d'irritations aux yeux quand ils travaillent dans les champs".

Edi Suriana a perdu sa belle-soeur en 2010 d'une maladie des poumons.

"Elle a été exposée à la poussière de charbon quand elle travaillait à son étal", dit-il à l'AFP. "Son magasin était 20 à 50 mètres de l'endroit où on déversait les cendres" de la centrale.

Sans avoir de confirmation formelle des médecins, la famille pense qu'elle a été victime de la pollution.

- Eaux toxiques -

Suwiro, un pêcheur de la région, accuse lui la centrale d'avoir provoqué une baisse du nombre et de la qualité des poissons ces dernières années.


Suwiro, un pêcheur de Cilegon en Indonésie, le 21 septembre 2021 (AFP/BAY ISMOYO)

"Je pouvais attraper 100 kilos de poisson chaque fois que je sortais en mer".

"Mais depuis que la zone est devenue si polluée, nous sommes contents quand nous prenons 10 kilos", dit le sexagénaire, qui comme de nombreux Indonésiens ne porte qu'un nom.

L'extension de la centrale de Suralaya bénéficie d'1,9 milliard de dollars de financements publics sud-coréens et du soutien du géant de l'électricité KEPCO, selon l'ONG Solutions pour notre climat (SFOC), et cela malgré l'engagement de Séoul de ne plus financer de centrales à charbon à l'étranger.

Un porte-parole de KEPCO à précisé à l'AFP que le projet, prévu pour 2024 et qui devrait fonctionner pendant des décennies, n'était pas concerné par l'interdiction puisque en cours.

Les gouvernements "se sont engagés à ne plus creuser le trou, mais n'ont pas vraiment de plan pour savoir comment en sortir", remarque Sejong Youn, de l'ONG sud-coréenne SFOC.

- "Offrir des solutions" -

La Chine, plus gros producteur d'émissions au monde, vise la neutralité carbone en 2060, et a annoncé le mois dernier qu'elle cesserait de financer des centrales au charbon à l'étranger, sans précisions sur le sort des projets en cours.

Mais près de 60% de son économie est alimentée par les énergies fossiles et les autorités viennent de demander aux mines de renforcer leur production face à une crise énergétique.


La centrale électrique à charbon de Suralaya, en Indonésie, le 22 septembre 2021 (AFP/RONALD SIAGIAN)

Le Japon a aussi promis de renforcer les contrôles sur les financements des centrales à l'étranger mais sans y renoncer complètement.

Les pays en développement réclament plus d'aide pour baisser leurs émissions alors que les pays riches n'ont pas tenu un engagement d'apporter 100 milliards de dollars par an à la transition énergétique.

A l'approche du sommet pour le climat de la COP26, l'Inde, deuxième plus gros consommateur de charbon au monde, demande plus de financements pour développer les énergies renouvelables et faire face au changement climatique.

New Delhi a jusqu'à présent refusé de fixer une échéance pour parvenir à la neutralité carbone et veut poursuivre ses investissements dans les mines de charbon.

Pour avancer, les pays développés doivent adopter une approche constructive avec les pays plus pauvres, estime Carlos Fernandez Alvarez, analyste senior pour l'Agence internationale de l'Energie (AIE).

"Il ne s'agit pas juste de dire +fermez vos centrales à charbon+, il faut offrir des solutions. Il faut des politiques, des financements, des technologies", dit-il à l'AFP.


Près de la centrale thermique de Wujing, près de Shanghai en Chine, le 28 septembre 2021 (AFP/Archives/Hector RETAMAL)

Malgré les difficultés, il y a des signes positifs, comme les annonces de nombreuses institutions financières en Asie de mettre fin aux investissements dans le charbon.

La Chine prévoit d'augmenter la part des énergies non-fossiles dans sa consommation de 16% à présent à 20% en 2025.

Et l'Inde s'est engagée à quadrupler sa capacité en énergies renouvelables d'ici 2030, selon des rapports de l'AIE.

Mais les militants appellent à des mesures plus rapides.

"Des catastrophes naturelles liées au climat se produisent partout dès à présent en Asie", plaide Tata Mustasya de Greenpeace.

burs-sr/lto/lgo/roc

© 2021 AFP

  
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