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un euphémisme pour dire il faut éradiquer les "gremlins" ,c'est pas demain la veille !
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Et Bruxelles ne peut décider que si Washington est d'accord
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nanard87
« « Nos dirigeants (?) ne peuvent plus rien décider à part peut-être la santé et la défense , pour combien de temps ? » »
Mais si, mais si ! Nos dirigeants peuvent décider ce que les Bruxellocrates ont décidé. Y compris santé et peut-être un peu moins défense. (Et encore !...)
« « Réfléchissez bien avant de voter , » »
Quelque soit « l’heureux » z’élu, ce sera quelqu’un aux ordres de Bruxelles. Donc , que ce soit A ou B, rien de changera.
Et comme Bruxelles n’est pas un organe élu par les citoyens mais une maffia illégitime qui s’est emparé du pouvoir, la seule possibilité de changement est de sortir de l’E.U., et de proposer aux autres pays européens un Marché Commun Européen démocratique, composé d’élus des Pays qui retrouveraient leur souveraineté, (les pays) , en concurrence avec Bruxelles.
Qui plus est, les élections présidentielles en France ne sont qu’une illusion , une éphémère parodie de démocratie, dont le marionnettiste est un groupement de la Presse, la finance , et une partie du patronat. Ce qui a clairement été démontré en 2017.
Votez en 2022 ne fera que conforter les Bruxellocrates dans leur donjon.
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Malgré le scepticisme d'autres Etats, la France veut toujours réformer le marché européen de l'électricité, a insisté le ministre de l'Economie Bruno Le Maire dans un entretien à l'AFP, défendant la nécessité de "tempérer la logique de marché" pour le consommateur final.
"Il y a une nécessité à agir pour protéger les consommateurs" d'une hausse des prix qui sera "durable", a souligné le ministre, qui présente lundi à ses homologues européens les propositions concrètes françaises, lors d'une réunion de l'Eurogroupe.
La semaine passée, lors d'un sommet européen extraordinaire sur l'énergie à Luxembourg organisé dans le contexte de la flambée des prix, l'idée française d'une réforme du marché de l'électricité avait été accueillie fraîchement par les ministres européens de l'Energie.
Onze pays (Allemagne, Autriche, Luxembourg, Danemark, Estonie, Finlande, Irlande, Lettonie, Pays-Bas, Belgique, Suède) s'étaient ainsi positionnés contre toute réforme, jugeant que la crise actuelle dépend de "facteurs mondiaux" conjoncturels.
La Commission européenne avait, elle, jugé "efficace" le système actuel dit de "tarification marginale", où le prix de la dernière unité de production d'électricité qui démarre en Europe (souvent une centrale à gaz) fixe le prix de marché, estimant qu'il encourage le développement des renouvelables, au coût de production faible.
Si la France "ne veut pas revenir" sur le fonctionnement du marché de gros, entend rassurer Bruno Le Maire, elle souhaite aménager le marché de détail pour les particuliers et les entreprises.
La France propose trois mesures, dont la première porte sur la création d'un mécanisme de "stabilisateur automatique" du prix de l'électricité, qui "permette de transférer les gains" que peut faire un producteur lorsque le prix l'énergie est élevé sur le marché vers le fournisseur, puis que le fournisseur "répercute ensuite ces gains vers le consommateur, particulier ou entreprise", explique le ministre.
La France soutient également la mise en place de contrats de long terme bas carbone pour les entreprises, et l'obligation d'offrir aux consommateurs une offre à prix stable.
© 2021 AFP
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