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Il faut sauver le soldat UNIPER SE...
Les contours du sauvetage se précisent.
Uniper pourrait répercuter des hausses de coûts sur ses clients - sces
20/07/2022 | 11:48
FRANCFORT, 20 juillet (Re uters) - Uniper pourrait être autorisé à répercuter une partie de la hausse des coûts du gaz sur ses clients, selon les termes d'un plan de sauvetage en cours de négociation avec le gouvernement allemand, ont déclaré mercredi des sources à Re uters.
L'Allemagne, l'un des pays les plus dépendants de la Russie pour son approvisionnement en énergie, doit faire face à l'envolée des prix du pétrole et surtout du gaz naturel depuis l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe et les sanctions occidentales contre Moscou, une situation qui met en péril la viabilité économique d'entreprises telles qu'Uniper, fournisseur d'énergie.
L'option privilégiée par Berlin est une prise de participation de l'Etat à hauteur de 30% du capital d'Uniper pour environ 5 milliards d'euros, ont dit des sources, en précisant qu'un accord pourrait être conclu dans la semaine.
Il n'a pas été immédiatement précisé dans quelle mesure Uniper pourrait être autorisé à répercuter les coûts, ni comment le gouvernement allemand pourrait protéger les ménages vulnérables d'une forte augmentation des prix.
Les modalités du plan de sauvetage sont toujours en cours de discussions et pourraient être abordées lors d'une réunion avec le chancelier Olaf Scholz vendredi, selon des personnes au fait des négociations. Ces sources ajoutent qu'Uniper fait actuellement l'objet de pourparlers entre Berlin et Helsinki, son actionnaire majoritaire étant l'entreprise publique finlandaise Fortum.
Mardi, des sources avaient indiqué que le plan de sauvetage devait être convenu d'ici le 25 juillet, date à laquelle le groupe allemand pourrait être confronté à des problèmes de financement plus importants en raison de la réduction des approvisionnements en gaz russe.
Le quotidien Handelsblatt, citant un document du ministère allemand de l'Economie, rapporte ce mercredi que la banque publique allemande KfW pourrait relever de 2 à 8 milliards d'euros la ligne de crédit accordée Uniper.
En Bourse, le titre Uniper bondit de 17,5% vers 09h30 GMT.
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De pire en pire pour le géant du Gaz Uniper.
Au bord du gouffre, Uniper puise dans les réserves de gaz de l'Allemagne
L'énergéticien n'a plus assez de trésorerie pour compenser, via les marchés, la chute des volumes de gaz russe. Mais en puisant dans ses stocks, il a stoppé net le remplissage des réserves allemandes de gaz pour l'hiver.
Les échos | 15 Juillet 2022
https:// www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/au-bord-du-gouffre-uniper-puise-dans-ses-reserves-de-gaz-1776942
On notera que la situation est réellement critique :
"Une semaine après avoir officiellement appelé l'Etat allemand à le renflouer, le premier importateur européen de gaz russe a annoncé, vendredi, qu'il n'avait plus d'autre choix que de puiser dans ses stockages pour honorer ses engagements commerciaux. « Les prix sur le marché sont trop élevés et c'est la meilleure solution pour la gestion de nos liquidités », précise aux « Echos » un porte-parole d'Unipare
La fermeture du gazoduc Nord Stream 1 pour maintenance depuis le 11 juillet a renforcé la pression sur l'énergéticien. Les prix sont passés depuis le début du mois au-dessus de 150 euros par mégawattheure, contre moins de 80 euros il y a un an. Selon les analystes de Citigroup, Uniper perdait déjà près de 30 millions d'euros par jour pour compenser, sur le marché au comptant, les volumes russes non livrés.
Les réserves baissent légèrement
Mais en puisant dans ses réserves, le groupe a stoppé net le remplissage des stockages allemands pour passer l'hiver. Alors que les volumes étaient repartis à la hausse depuis le 18 mars, « les quantités de gaz stockées et déstockées sont équivalentes », indique, vendredi, dans son rapport de situation l'Agence fédérale des réseaux. Les retraits d'Uniper ont même déjà légèrement fait reculer les réserves allemandes : vendredi elles étaient remplies à 64,5 % contre 64,6 % jeudi. "
On ménage la chèvre et le chou pour sauver Uniper...
On notera que :
"Plusieurs options de sauvetage
En visite à Berlin jeudi, le ministre finlandais chargé des participations publiques, Titty Tuppurainen, a estimé qu'une solution pourrait être trouvée dans les prochains jours. « Il y a plusieurs options sur la table mais il reste encore beaucoup de travail à faire », a-t-il précisé. Fortum est détenue majoritairement par le gouvernement finlandais et Berlin souhaiterait que la société contribue au sauvetage.
Cette dernière a déjà octroyé 8 milliards d'euros de prêts et de garanties à Uniper et elle estime que le sauvetage incombe à Berlin. Il s'agit de fait de compenser l'impossibilité faite à Uniper de répercuter la hausse des prix du gaz sur ses clients en Allemagne. Berlin ne veut cependant pas prendre d'engagements capitalistiques qui impliqueraient un soutien aux activités de l'énergéticien dans des centrales à charbon russes ou des centrales nucléaires suédoises. "
Les décisions prises de l'embargo s'avèrent de plus en plus crétines à la vue des dommages économiques causés... C'est pas mieux que chez nous...
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Le géant du gaz allemand en chute libre et c'est pas fini...
Tous les indicateurs sont en mode rechute vers des plus bas : Palmes et tubas pour la piscine du RSI.
Gaz russe : Uniper appelle l'Etat allemand à l'aide
Actualité AFP publiée le 30/06/22
https://www.abcbourse.com/marches/gaz-russe-uniper-appelle-l-etat-allemand-a-l-aide_569298
Le groupe d'énergie allemand Uniper, en grandes difficultés après les baisses de livraisons de gaz vers l'Europe décidées par Moscou, a annoncé mercredi avoir entamé des discussions pour bénéficier d'un plan de sauvetage gouvernemental.
"Uniper a entamé des discussions avec le gouvernement allemand sur d'éventuelles mesures de stabilisation", a indiqué l'entreprise dans un communiqué publié mercredi soir.
"Les affaires se sont sensiblement détériorées en raison (...) de la forte réduction des livraisons de gaz en provenance de Russie", a justifié Klaus-Dieter Maubach, le PDG du groupe, dans une déclaration transmise à l'AFP jeudi.
Plusieurs options sont sur la table, comme des "garanties" publiques sur des prêts, des "prises de participation de l'Etat" ou encore des "crédits" directs de la banque publique KfW, indique le groupe.
Le groupe a par ailleurs retiré ses prévisions de bénéfices pour l'année en cours, refusant de "donner de nouvelles perspectives".
Après cette annonce, le titre du groupe sur l'indice Mdax de la Bourse de Francfort s'effondrait, perdant 14,92% à 14,08 euros. Depuis le début de l'année, le titre a perdu environ 66% de sa valeur.
-40% des volumes promis-
Uniper est le plus gros importateur de gaz en Allemagne, et l'un des plus importants sur le marché européen.
Il souffre de la récente baisse de 60% des livraisons de gaz via Nord Stream vers l'Allemagne du groupe russe Gazprom, qui argue d'un problème technique.
Uniper ne reçoit actuellement de Gazprom "que 40 % des volumes de gaz promis par contrat", a confirmé mercredi l'entreprise.
Pour "garantir la sécurité de l'approvisionnement de ses clients", Uniper affirme se "procurer actuellement des volumes de (gaz de) substitution à des prix nettement plus élevés" qu'à l'ordinaire.
Or, le groupe affirme "ne pas pouvoir encore répercuter ces coûts supplémentaires", et donc souffrir de "charges financières importantes".
D'autant que "la durée et la portée des restrictions de l'approvisionnement en gaz russe" a rendu les perspectives financières de la société "incertaines", nécessitant le soutien de l'Etat, souligne Uniper.
Berlin a lancé en avril un programme de prêts et garanties publiques de plus de 100 milliards d'euros, destiné à aider les entreprises souffrant des effets de la guerre en Ukraine.
La première entreprise à en bénéficier a été l'ex-filiale allemande de Gazprom, Gazprom Germania, qui va bénéficier d'une ligne de crédit de 9 à 10 milliards d'euros.
Cette société, menacée de faillite, mais essentielle pour l'approvisionnement de l'Allemagne, a été nationalisée par Berlin début avril, et rebaptisée "Securing Energy for Europe".
Le pays dépendait début juin à 35% du gaz russe pour ses importations, contre 55% avant la guerre en Ukraine.
Graphiquement, ça sent les oubliettes et le cul de basse-fosse..
Depuis le 1er janvier 2022 , on fait du -65,86%.
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Ceci confirme mon analyse plus classique n étant pas chartiste. Il est urgent d attendre…..
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Tout était prévu, mais pas par tout le monde...
Le Processus baissier suit son cours et va aller à son terme.
Je vous joins mon graphe avec la profession baissière à jour : comme vous le voyez, les signaux avant coureurs étaient justes du chemin à parcourir et on n'a pas encore finir le chemin à la baisse pour combler les gaps haussiers (cartouches roses).
Sur le niveau actuellement en place, il faudra s'attendre un probable rebond technique et qui sera suivi d'une rechute vers des plus bas pour combler les gap.
On notera que l'oblique baissière rouge est désormais un rempart fort résistant à tout reprise haussière qui pourrait poindre son nez.
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Voilà qui devrait pas aider les sociétés allemandes du DAX 40 à afficher de bons résultats en d'année 2022. Il faut s'attendre potentiellement même à des profits warnings, et ce devrait être valable dans la plupart des pays d'Europe.
Les Chiffres du T1/ 2022 ont commencé à être publié en France et certains ont déjà été douchés à l'eau glacée : Faurecia hier vient vient racheter Hella, et Manitou.
ça présage rien de bon pour le DAX 40...
Consommation : En Allemagne, l’inflation à 7,3 % en un an, n’a jamais été aussi haute depuis quarante ans
Publié le 31 mars 2022
L’inflation a atteint en mars un niveau “historique” chez notre voisin d’outre-Rhin : 7,3 % en un an. Pour le tabloïd “Express”, cette hausse des prix est surtout liée à la guerre en Ukraine et à la menace que fait peser le président russe Vladimir Poutine sur les tarifs de l’énergie.
En Allemagne, un chiffre est repris ce jeudi 31 mars par presque tous les journaux : celui de l’inflation, qui, en mars, a atteint 7,3 % en un an. C’est “le plus haut taux d’inflation depuis quarante ans”, assure Express. Sur sa couverture sombre, ce tabloïd de Rhénanie-du-Nord-Westphalie affiche en jaune vif la courbe des prix, associée à la photo d’un Vladimir Poutine déterminé. “Poutine fait flamber les prix”, dit le titre, faisant un lien direct entre la guerre du Kremlin en Ukraine et le coût de la vie en Allemagne.
Si les prix étaient déjà en hausse avant le début du conflit, ceux-ci ont encore augmenté depuis que Berlin a bloqué la mise en place du gazoduc Nord Stream 2 et annoncé la mise en place de sanctions contre Moscou. “Cette hausse de l’inflation, qui a atteint 7,3 % en mars, est essentiellement due à la flambée des prix du fioul et de l’essence, conséquence de la guerre en Ukraine”, explique ainsi Jörg Krämer, le chef économiste de la Commerzbank, dans les pages du journal. Les tarifs de l’énergie ont ainsi augmenté de 40 % en un an. Et cela risque de continuer, selon lui : “L’inflation est là pour rester.”
Toute l’Europe est concernée
Une hausse des prix avait été anticipée par les économistes allemands. Mais ils n’avaient prévu qu’une augmentation avoisinant les 6,3 %, d’après Express. Or les querelles sur le paiement du gaz russe, que Vladimir Poutine veut faire payer en roubles aux Européens, n’ont pas amélioré la situation.
Le quotidien rhénan explique :
Si elle est élevée, l’inflation allemande n’est pas la plus forte d’Europe. L’Espagne, notamment, a enregistré en mars une hausse des prix de 9,8 % sur un an, du jamais vu depuis trente-sept ans. La Bulgarie, la Pologne ou encore les pays Baltes font également face à des augmentations importantes depuis plusieurs mois. En France, l’inflation est plus réduite, mais non négligeable. En mars, elle a atteint 4,5 % sur un an, d’après l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
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BASF: réduit ses activités en Russie et en Biélorussie
Actualité publiée le 27/04/22
BASF a annoncé mercredi qu'il avait décidé de mettre fin aux activités commerciales restantes de la société en Russie et en Biélorussie d'ici au début du mois de juillet.
Le géant allemand précise que cette décision ne s'applique pas aux activités de soutien à la production alimentaire, soulignant que la guerre risque de déclencher une crise alimentaire mondiale.
Cette décision est motivée par les récents développements de la guerre et du droit international, notamment le cinquième paquet de sanctions de l'UE.
Actuellement, 684 employés travaillent pour BASF en Russie et en Biélorussie.
L'entreprise a décidé de continuer à soutenir ses employés dans les deux pays jusqu'à la fin de l'année.
Des plans détaillés pour une cessation ordonnée des activités de BASF en Russie et au Belarus sont en cours d'élaboration.
En 2021, la Russie et la Biélorussie ont représenté environ 1% des ventes totales du groupe BASF.
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Çà va de mal en pire pour l'Allemagne en ce moment...
Allemagne : l'excédant commercial impacté par la hausse des importations
ÉLUCID | 21/04/2022
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On vient de combler le premier gap à la baisse et on devrait combler les autres à la baisse
• Voir le cartouche rose du haut.
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ça va voler de moins en moins haut...
BASF: Stifel dégrade sa recommandation
Actualité publiée le 13/04/22
Stifel dégrade sa recommandation sur BASF de 'achat' à 'conserver' avec un objectif de cours réduit de 83 à 63 euros, valorisation qui reflète des estimations réduites pour 2023, et le broker préférant 'rester sur la touche en raison d'incertitudes élevées'.
Dans le résumé de sa note, Stifel déclare voir un profit opérationnel ajusté pour 2022 'confortablement dans la fourchette-cible' du groupe de chimie allemand, soulignant que le premier trimestre représente déjà 38 à 42% de la perspective annuelle.
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Parmi les premier comptes trimestriels publié sur le DAX, voici BASF et comme je vous l'avais laissé entendre, le BNPA par action va souffrir.
Regardez bien les chiffres, le CA augmente fortement et le bénéfice trimestriel baisse fortement...
BASF: ventes en hausse de 19% au 1er trimestre
Actualité publiée le 12/04/22 09:52
BASF a publié hier des chiffres préliminaires au titre du premier trimestre 2022. Les ventes ont augmenté de 19 % au premier trimestre 2022 pour atteindre 23 083 millions d'euros, contre 19 400 millions d'euros un an plus tôt. Les ventes ont ainsi légèrement dépassé les estimations moyennes des analystes pour le premier trimestre 2022 (21 982 millions d'euros).
Selon BASF, cette hausse des ventes est principalement due à la hausse des prix et à des effets de change légèrement positifs.
Au premier trimestre 2022, l'EBIT avant éléments exceptionnels ressort à 2 818 millions d'euros, soit une augmentation de 21 % par rapport au trimestre de l'année précédente (T1 2021 : 2 321 millions d'euros) et donc aussi largement au-dessus du consensus des analystes pour le premier trimestre 2022 (2 431 millions d'euros).
Toutefois, le résultat net a atteint 1 221 millions d'euros, bien en deçà du chiffre du trimestre de l'année précédente (T1 2021: 1 718 millions d'euros) et largement en deçà des estimations moyennes des analystes pour le premier trimestre 2022 (1 767 millions d'euros).
Selon BASF, cette baisse s'explique par les charges de dépréciation comptabilisées par Wintershall Dea, notamment pour les prêts à Nord Stream 2.
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Un point très intéressant sur le risque lié à l'approvisionnement en énergie de l'Allemagne, problème important soulevé la semaine dernière par le PDG de BASF (voir en posts précédents)
Energie: les bonnes affaires des entreprises russes en Allemagne
(AFP) Actualité publiée le 11/04/22 08:15
Prise à la gorge par sa dépendance au gaz russe, l'Allemagne s'est découvert un autre talon d'Achille : le poids des capitaux russes dans ses raffineries de pétrole, oléoducs et autres réservoirs de gaz.
Les filiales des géants Gazprom et Rosneft sont des acteurs clés des infrastructures énergétiques du pays.
Responsables politiques et économiques allemands se retrouvent "devant les ruines" d'une coopération avec la Russie longtemps perçue comme garante d'une détente avec le régime de Vladimir Poutine, observe le magazine Spiegel.
"Ils doivent se rendre à l'évidence, poursuit l'hebdomadaire : ils n'ont pas fait appel à des agents du changement au sein de la Russie, mais peut-être à des chevaux de Troie du Kremlin".
- Réservoirs
Début avril, le gouvernement allemand a pris une décision inédite : prendre temporairement le contrôle de la filiale allemande de Gazprom, mesure radicale justifiée par un transfert opaque de la propriété de l'entreprise.
Le ministre de l'Economie a invoqué des enjeux "d'ordre public et de sécurité" nationale.
Et pour cause : détenu par Gazprom, le réservoir de Rehden (nord-ouest), en Basse-Saxe, représente à lui seul environ 20% de la capacité totale de stockage de gaz de l'Allemagne.
D'une capacité de 4 milliards de mètres cubes de gaz, il est présenté comme le plus grand d'Europe. Appartenant jusqu'en 2015 au groupe allemand BASF, il avait été cédé à la société Astora, filiale de Gazprom
Le groupe russe est soupçonné d'avoir délibérément maintenu son stockage à un faible niveau pendant l'été précédant l'invasion de l'Ukraine. Le réservoir de Rehden n'est plus rempli qu'à 0,5%.
Astora possède d'autres installations de stockage à Jemgum, à la frontière avec les Pays-Bas, et à Haidach, en Autriche.
Gazprom Germania détenait aussi une participation dans un important stockage en cavité saline, non loin de Hambourg.
- Réseaux de distribution
Gascade, l'un des plus importants opérateurs de réseaux de distribution de gaz en Allemagne, est également détenu à 50,03% par Gazprom-Germanisa
L'entreprise décrit son réseau de 3.200 kilomètres de gazoducs comme "la plaque tournante du transport européen du gaz naturel". Ses tuyaux baptisés Eugal, Midal, Stegal ou Weda transportent la matière première vers les métropoles allemandes.
Sur son site internet, la société affirme agir de manière indépendante : "l'activité de transport de Gascade n'est pas soumise à l'influence du groupe Gazprom ou à celle de tout autre actionnaire."
D'autres liaisons importantes comme le gazoduc nord-européen NEL et le gazoduc Opal de la mer Baltique appartiennent à l'entreprise Wiga transports, dans lequel Gazprom Germania détient une participation de 49,98%.
Le reste de Gascade et de Wiga Transport est détenu par le groupe allemand Wintershall Dea - dont l'oligarque russe Mikhail Fridman, désormais sous sanctions occidentales, est propriétaire à un tiers.
Avec une part de marché d'environ 20%, Wingas, filiale à 100% de Gazprom-Germania, joue un rôle de premier plan dans la distribution de gaz, notamment aux services publics municipaux allemands, à des entreprises industrielles et des centrales électriques.
La tutelle de l'Etat allemand sur les filiales de Gazprom est prévue jusqu'au 30 septembre. Durant cette période, le gouvernement devra choisir entre nationalisation et vente à un nouveau propriétaire.
- Raffineries
La filiale Rosneft Allemagne du géant pétrolier russe revendique assurer un quart de toutes les importations allemandes de pétrole brut.
L'entreprise est propriétaire majoritaire de la raffinerie PCK de Schwedt, à l'est de Berlin. Ce site peut traiter environ 11,6 millions de tonnes de pétrole brut par an, ce qui correspond à environ 11% de la consommation totale de pétrole de l'Allemagne.
Rosneft veut racheter la participation de 37,5% que possède le groupe anglo-néerlandais Shell dans la raffinerie faisant passer ses part à 92%.
L'Office fédéral des cartels avait approuvé cette transaction quelques jours avant le déclenchement de la guerre. Le ministère de l'Economie examine actuellement si l'achat peut encore être arrêté.
Rosneft Allemagne détient également 24% et près de 29 % des actions des grandes raffineries Miro et Bayernoil dans le sud de l'Allemagne.
Comme Gazprom dans le secteur du gaz, Rosneft est également l'un des plus importants distributeurs et logisticiens pour le pétrole. Selon le quotidien Handelsblatt, les sociétés du groupe fournissent 4.000 clients majeurs en Allemagne..
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Suivant la règle établie : Baisse du BNPA 2022 = HAUSSE du PER = BAISSE de l'ACTION
Quand on commence à parler de programme de plan d'aides de plusieurs milliards d'euros aux entreprises touchées par les conséquences de la guerre en Ukraine pour accompagner les entreprises, (voir mon ARTICLE EN PRECEDENT)
... juste 8 jours après la fin du trimestre T1 / 2022 et donc avant les publications trimestrielles, c'est que quelqu'un a tiré le signal d'urgence parce qu'on s'apprête à annoncer de mauvaises nouvelles notamment en terme de
• hausses des intrants et MP,
• pénurie et problème d'approvisionnement des chaînes de production,
• baisse de rendement de production,
• hausse des couts de main de main d'oeuvre unitaire par produit sorti des ateliers,
• dégradation des marges comptables
• hausse des cout de logistique transport et approvisionnement
et dont des prévisions de bénéfice net 2022 attendues en baisse sensible , = Baisse du BNPA 2022 = HAUSSE du PER = BAISSE de l'ACTION
Comme je vous l'avais encore précisé en analyse graphique ci-dessous, on était mal sur le DAX 40 et ça se confirme.
Vous pourrez relire mes post concernant les évolutions du DAX 30 ou DAX 40, on va évoluer sur un nouvel équilibre industriel qui était sensé enrayer la chute de Bayer, mais ça devrait pas suffit...
Car on avait pas prévu que tout le reste de l'industrie allemande pourrait souffrir.
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Comme vous l'avait annoncé, ça va mal en Allemagne et comme ça sent le vent du boulet : on commence à envisager de sortir de l'artillerie lourde au niveau des finances...
L'Allemagne annonce un important plan d'aide aux entreprises
Actualité publiée le 08/04/22 14:59
Le gouvernement allemand a présenté vendredi un programme d'aides de plusieurs milliards d'euros aux entreprises touchées par les conséquences de la guerre en Ukraine, notamment à cause des coûts de l'énergie et des pénuries de matériaux.
"Cette guerre a des répercussions sur l'Allemagne, et le gouvernement considère qu'il est de sa responsabilité de limiter les dommages sur l'économie", a déclaré, lors d'une conférence de presse, le ministre des Finances Christian Lindner.
Ce "bouclier de protection" contient notamment une enveloppe de 100 milliards d'euros de prêts garantis par l'Etat et 7 milliards d'euros de prêts publics à taux réduit, a détaillé le ministère de l'Economie.
Berlin prévoit aussi d'accorder des aides directes pouvant aller jusqu'à "5 milliards d'euros", pour alléger la facture énergétique des entreprises, a ajouté M. Lindner.
Enfin, le plan ouvre la voie à des "aides en capital" accordées par l'Etat pour les entreprises les plus en difficultés. "Il s'agit d'un programme d'amortissement économique", a commenté M. Lindner.
La guerre en Ukraine frappe en effet de plein fouet le puissant secteur industriel allemand, notamment à cause du coût de l'énergie, qui a flambé depuis l'invasion russe.
Les industriels allemands, qui dépendent fortement du commerce international, sont aussi touchés par les perturbations sur les chaînes d'approvisionnement, et par les sanctions prises contre la Russie.
Le plan présenté vendredi s'inspire des programmes d'aides aux entreprises débloqués ces dernières années contre les effets de la pandémie de Covid-19, et qui ont porté sur 134 milliards d'euros depuis 2020 pour l'Allemagne.
Un coût que ne devraient toutefois pas atteindre les répercussions de la guerre en Ukraine, selon M. Lindner : "la situation économique actuelle est différente de celle de la pandémie" car la "croissance économique et la situation sur le marché du travail sont stables", a-t-il commenté.
Les aides aux entreprises s'ajoutent aux milliards d'euros débloqués fin mars pour soutenir les ménages face à la hausse du prix du chauffage et des carburants, via notamment des aides directes et des réductions de taxe.
L'ensemble de ces dépenses feront l'objet d'une rallonge au budget fédéral 2022, qui prévoit déjà 99,7 milliards d'euros de nouvelles dettes, a déjà prévenu le gouvernement sans préciser le montant supplémentaire à budgéter
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De lourdes menaces pèsent sur l'industrie allemande et donc sur le Dax puisque comme on l'a décortiqué en Précédent, l'industrie allemande est largement présente sur le nouveau DAX 40.
Certaines activité de la chimie, secteur industriel important pour l'Allemangne dépendent entièrement de la fourniture en gaz russe actuellement comme l'a souligné le PDG de BASF dans ce qui suit...
Le géant allemand de la chimie BASF met en garde contre un "effondrement total" si l'approvisionnement en gaz russe est coupé
PAR TYLER DURDEN
JEUDI 31 mars 2022 - 16:29
Le PDG de la multinationale allemande basf SE, le plus grand producteur de produits chimiques au monde, a averti que la limitation ou l'arrêt des importations d'énergie en provenance de Russie mettrait en doute l'existence continue des petites et moyennes entreprises énergétiques, et entraînerait probablement l'Allemagne dans son plus " crise économique « catastrophique » remontant à la fin de la Seconde Guerre mondiale .
Le PDG de la société, Martin Brudermuller, a prononcé ces mots dans une interview avec le journal Frankfurter Allgemeine juste avant que les responsables allemands ne donnent en milieu de semaine un "avertissement précoce" aux industries et à la population d'éventuelles pénuries de gaz naturel, alors que la Russie semble prête à s'en tenir fermement à la récente déclaration de Poutine selon laquelle les «pays hostiles» doivent régler les paiements énergétiques en roubles, liés à la crise ukrainienne et aux sanctions occidentales qui en résultent.
Selon Bloomberg , il a estimé que si "l'Allemagne pourrait être indépendante du gaz russe dans quatre à cinq ans" , il n'en reste pas moins que "les importations de GNL ne peuvent pas être augmentées assez rapidement pour remplacer tous les flux de gaz russe à court terme".
Mais entre-temps, Brudermuller a décrit que "ce n'est pas suffisant que nous baissions tous le chauffage de 2 degrés maintenant" étant donné que "la Russie couvre 55% de la consommation allemande de gaz naturel". Il a souligné que si le gaz russe disparaissait du jour au lendemain, "beaucoup de choses s'effondreraient ici" - étant donné que " nous aurions des taux de chômage élevés et de nombreuses entreprises feraient faillite. Cela entraînerait des dommages irréversibles". Il a poursuivi :
"Pour le dire franchement : cela pourrait plonger l'économie allemande dans sa pire crise depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et détruire notre prospérité. Pour de nombreuses petites et moyennes entreprises en particulier, cela pourrait signifier la fin. Nous ne pouvons pas risque ça !"
Le terrible avertissement d'un désastre à venir dans le cas où le gaz russe serait coupé est venu en réponse à la question de savoir s'il est possible d'abandonner l'énergie russe.
Affirmant que ce problème n'est pas "noir et blanc" - et que l'économie allemande est au bord de la catastrophe, le PDG de basf a déclaré que si cette impasse continue de s'aggraver, elle "ouvrira les yeux de beaucoup des deux côtés" ...
Ci-dessous la question posée par le journal, et la réponse de Brudermuller :
Et si, par exemple, la demande de Poutine de paiement en roubles conduisait à un arrêt immédiat de l'approvisionnement en gaz ?
"Un arrêt de livraison pendant une courte période ouvrirait peut-être les yeux de beaucoup - des deux côtés. Cela montrerait clairement l'ampleur des conséquences . Mais si nous n'obtenons plus de gaz russe pendant une longue période, alors nous avons vraiment un problème ici en Allemagne. Chez basf, nous devrions réduire ou arrêter complètement la production sur notre plus grand site à Ludwigshafen si l'approvisionnement tombait de manière significative et permanente en dessous de 50 % de nos besoins maximum en gaz naturel. Le ministre Habeck a déjà activé la première niveau d'alerte du plan d'urgence gaz.
Des sources distinctes estiment que rien qu'à Ludwigshafen, ce scénario conduirait immédiatement au licenciement éventuel de quelque 40 000 employés, ou au moins au chômage partiel.
Il a averti plus loin dans l'interview que de nombreux Allemands sous-estiment actuellement grandement les conséquences de ce que la Russie fermerait les robinets signifierait... rien de moins qu'une crise historique :
"Beaucoup ont des idées fausses. Je le remarque dans de nombreuses conversations que j'ai. Les gens ne font souvent aucun lien entre un boycott et leur propre travail. Comme si notre économie et notre prospérité étaient gravées dans le marbre ."
Il a expliqué que la hausse des prix a déjà un impact énorme sur l'approvisionnement alimentaire étant donné qu'à ce stade, basf a été contraint de réduire la production d'ammoniac pour la production d'engrais.
Brudermuller a qualifié cela « de catastrophe et nous le ressentirons encore plus clairement l'année prochaine que celle-ci » . Parce que la plupart des engrais dont les agriculteurs ont besoin cette année ont déjà été achetés. En 2023, il y aura une pénurie, et puis les pays pauvres en particulier, par exemple en Afrique, ne pourront plus se permettre d'acheter des denrées alimentaires de base. » Dans une déclaration et un avertissement très alarmants, il a ajouté : "Il y a un risque de famine".
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Ma conclusion très intéressante sur les évolutions sectorielles au passage du DAX 30 vers le DAX 40
Pondération sectorielle du Dax 40 actuelle (Mars 2022) : Synthèse de mon analyse en précédents posts de ce jour (à lire au dessous).
Comme vous pourrez le voir, on comprend beaucoup les faiblesses actuelles du DAX 4à sous cet éclairage de représentativité sectorielle décortiqué qui n'est par ailleurs disponible nul par ailleurs.
Synthèse par secteur des évolutions depuis le 3 septembre 2021 (ex DAX 30) à ce jour 31 Mars 2022.
• Construction mécanique, transports, logistique. | +5,94%
• Chimie, pharmacie, biotechnologie et technique médicale | = +3,79 %
• Alimentation et boissons ( SECTEUR RENTRANT) | = 0,50%
• Commerce et consommation | = -0,04%
• Energie et matières premières | = -0,57%
– Immobilier (SECTEUR SORTANT) = - 1,1%
• Autres | = -1,40%
• Finance | = -1,88 %
• Technologie | = -4,33%
En conclusion :
On constate donc que ce qui pèse actuellement sur le DAX 30, c'est le renforcement industriel du DAX 40 avec les secteurs :
• Construction mécanique, transports, logistique. | +5,94%
• Chimie, pharmacie, biotechnologie et technique médicale | = +3,79 %
C'est en droite ligne avec le recentrage local de production en Europe. L'Allemagne et la finance allemande ont misé sur cet aspect, c'est indéniablement démontré ici. Mais ça fait peser un risque industriel important sur le DAX 40 puisque ces 2 secteurs regroupent actuellement 53,53% de la pondération de l'indice et ils sont pleinement exposé au risque haussier des MP, des intrants, de l'énergie. un bien mauvais cocktail foncier pour l'heure...
Le secteur Immobilier allemand ne dispose plus de société cotée au DAX 40 alors qu'il représentait 1,1% du Dax 30.
Le secteur Alimentation et boissons rentre en piste lui à +0,50%
Les secteurs suivants sont en perte de vitesse dans la représentativité boursière de l'économie allemande :
• Technologie | = -4,33%
• Finance | = -1,88 %
• Autres | = -1,40%
• Energie et matières premières | = -0,57%
• Commerce et consommation | = -0,04%
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Pondération sectorielle du Dax 40 actuelle (Mars 2022) pour
+ SECTEUR Construction mécanique, transports, logistique.
+ SECTEUR Autres
+ SECTEUR Technologie
Le secteur automobile en perte de vitesse avec le scandale des logiciels anti-pollution truqués de Volkswagen éclabousse le secteur automobile en proie comme en France à des pénuries d'approvisionnement. Il a été lourdement renforcé. De plus il va être impact par la hausses des Intrants et du coup de l'énergie.
On a ajouté un allié de poids à ce secteur en perte de vitesse en la personne morale d'Airbus qui prends directement la Tête du compartiment avec 5,67%. On a aussi diverfié le secteur avec l'automobile de Luxe Porsche (Niche sectoriel) et le constructeur de camion "Daimler Truck"
Le secteur Autres est en perte de vitesse avec la baisse sensible de "Delivery Hero".
Le secteur "Alimentation et boissons " a été ajouté (Incidence : 0,5%) et le secteur "Immobilier" est sorti de l'indice (Incidence : 1,1% du DAX 30)
Le Secteur "Technologies" est en pertes de vitesse de plus de -4%. c'est lui qui est actuellement le point faible du DAX 40.
Flux sectoriel
+ Alimentation et boissons ( SECTEUR RENTRANT)
– Immobilier (SECTEUR SORTANT)
• Construction mécanique, transports, logistique. | 22,94%
- Airbus | 5,67%
- Mercedes-Benz Group (ex Daimler) | 4,51%
- Deutsche Post | 3,59%
- BMW | 3,14%
- Volkswagen Vz | 2,14%
- Daimler Truck | 1,41%
- MTU Aero Engines | 0,73%
- Continental | 0,88%
- Porsche Vz | 0,88%
• Alimentation et boissons | = 0,50%
- HelloFresh | 0,50%
• Autre | = 1,40%
- Delivery Hero | 0,70%
- HeidelbergCement | 0,70%
• Technologie | 22,57%
- SAP | 7,88%
- Siemens | 6,76%
- Deutsche Telekom | 5,27%
- Infineon | 2,66%
Pondération sectorielle du Dax 30 au 3 septembre 2021 :
• Construction mécanique, transports, logistique. | 17 %
- Mercedes-Benz Group (ex Daimler) | 5,4%
- Volkswagen | 3,5%
- BMW | 2,3%
- Continental | 1,1%
- Deutsche Post | 3,8%
- MTU Aero Engines | 0,9%
Les nouveaux entrants du DAX 40
- Porsche
- Airbus
- Daimler Truck
•Autres | = 2,80%
- Delivery Hero | 1,4%
- HeidelbergCement | 0,9%
• Technologie | 26,90%
- SAP | 9,3 %
- Siemens | 9,2%
- Deutsche Telekom | 4,6%
- Infineon | 3,8%
Nouveau secteur faisant son retour :
• Alimentation et boissons
- HelloFresh
Ancien secteur Sortant :
• Immobilier = 1,1%
- Deutsche Worhen 1,1%
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Pondération sectorielle du Dax 40 actuelle (Mars 2022) pour
+ SECTEUR Energie et matières premières
+ SECTEUR Finance
+ SECTEUR Commerce et consommation
Siemens Energy entré récemment, est sorti au passage au DAX 40%, car il avait perdu 1.3 de sa valeur et n'a convaincu. C'est une grande victime de l'effet entrée /sortie.
Adidas, seule valeur "Commerce et consommation" a été étoffé de Puma et Zalando car elle perdait depuis ses derniers plus hauts environ 1/3 de valeur. Le secteur repose désormais sur 3 titres et la perte est compensée.
Le secteur finance malgré l'arrivée de Hannover Rück perd du terrain
Curieusement le secteur "Energie et matières premières" perd du terrain et recule en poids suite notemant à la sortie de Siemens Energy
• Energie et matières premières | = 3,53%
- E.ON | 1,80%
- RWE | 1,72%
• Finance | = 14,32%
- Allianz | 5,74%
- Deutsche Bank | 1,59%
- Deutsche Börse | 1,96%
- Hannover Rück | 1,21%
- Münchener Rück | 2,21%
- Vonovia | 1,61%
• Commerce et consommation | = 4,36%
- Adidas | 2,76%
- Puma | 0,77%
- Zalando | 0,83%
Pondération sectorielle du Dax 30 au 3 septembre 2021 :
• Energie et matières premières.| = 4,1%
- E.ON 1,9%
- RWE 1,7%
Les sortants à la création du DAX 40
- Siemens Energy 0,5%
• Finance | = 16,20%
- Allianz 7,7%
- Deutsche Bank 1,9%
- Deutsche Börse 2,2%
- Münchener Rück 3,8%
- Vonovia 2,6%
Les nouveaux entrants du DAX 40
- Hannover Rück
• Commerce et consommation | = 4,4%
- Adidas 4,4%
Les nouveaux entrants du DAX 40
- Puma
- Zalando
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Pondération sectorielle du Dax 40 actuelle (Mars 2022) : SECTEUR Chimie, pharmacie, biotechnologie et technique médicale
Les 4 nouveaux entrants viennent compenser la perte d'importance boursière du poids lourd Bayer (ex N°1 du DAX 30) en grande difficulté actuelle. BASF chute dans son sillage.
Le secteur vient de se trouver un nouveau poids lourd qui rentre directement à hauteur de 4,07% : Siemens Healthineers.
• Chimie, pharmacie, biotechnologie et technique médicale | 30,39%
- Linde PLC | 9,70%
- Siemens Healthineers | 4,07%
- Bayer | 3,95%
- BASF | 3,20%
- Sartorius | 1,84%
- Merck KGaA | 1,61%
- Fresenius | 1,20%
- Fresenius Medical Care | 1,15%
- Symrise | 0,96%
- Brenntag | 0,74%
- Henkel Vz | 0,70%
- Qiagen | 0,66%
- Covestro | 0,59%
Pondération sectorielle du Dax 30 au 3 septembre 2021 :
• Chimie, pharmacie, biotechnologie et technique médicale | = 26,60%
- Linde PLC 10,1%
- BASF 5,6%
- Bayer 4,6%
- Fresenius 1,3%
- Fresenius Medical Care 1,1%
- Henkel 1,4%
- Merck KGaA 1,6%
- Covestro 0,9%
Les nouveaux entrants du DAX 40
- Qiagen
- Sartorius
- Brenntag
- Siemens Healthineers
- Symrise
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