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Le professeur qui veut faire honte aux entreprises restant en Russie

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gars d'ain gars d'ain
28/03/2022 19:52:19
0

Le meilleur arrive...

Ce jour, le G7 a refusé de payer ce qu'il doit en roubles et la Russie a dit qu'elle refusait de livrer Gratuitement...


Donc faut s'attendre à "Pas de bras, pas chocolat"...

  
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fipuaa fipuaa
28/03/2022 14:23:24
3

l'OTAN est clairement abandonné, la preuve en est que l'Allemagne est en train de créer sa propre armée, elle qui pourtant au travers de la voix du nain de jardin ne jurait que par la protection de l'OTAN!!

pendant ce temps la France ferme ses portes vend ses entreprises et s'est endetté comme aucun autre (merci la bête)

  
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Dubaisan Dubaisan
28/03/2022 12:51:00
3

"Mais l'objectif de l'OTAN n'a jamais été d'attaquer la Chine."

L'OTAN peut-être pas mais les USA eux ont clairement cet objectif et s'ils se lancent l'OTAN, l'AUKUS, le QUAD etc...devront suivre.

Ici, en Chine, on ne se fait plus aucune illusion; On sait que ça arrivera;

Quand? on ne le sait pas, mais l'APL (L' Armée chinoise) s'y prépare et suit à la culotte tous les mouvements des USA ou de leurs alliés proches (anglais et australiens surtout). L'essentiel pour les gouvernants chinois étant de ne pas céder aux injonctions US tout en évitant au maximum les provocations et l'amorce de conflits ouverts qui pourraient rapidement dégénérer en guerre totale.

Juste pour info, parce que cela n'est que très rarement reporté dans les médias occidentaux, les États-Unis ont organisé plus de 100 exercices militaires à grande échelle près de la Chine en 2021, pratiquant et validant plusieurs nouveaux concepts de guerre visant le pays.

Les États-Unis et les Philippines ont lancé encore ce lundi matin des exercices conjoints qui sont sensés être "les plus importants de leur histoire".

Figer et faire durer un maximum cette guerre en Ukraine n'a pour but que d' affaiblir la Russie afin que celle-ci ne soit pas plus en mesure d'aider la Chine quand les USA et le reste, s'en prendront à la Chine;

Mais je peux dire que si cela doit arriver, la réaction chinoise sera extrêmement violente: il n'y aura plus ni USA, ni Australie, ni Angleterre, ni Europe de l'Ouest; Et tous ces pays deviendront à terme chinois.

N'oubliez jamais, que les services secrets chinois ont récupéré Snowden à Hong Kong et l'ont transféré en Chine au nez et à la barbe de l'équipe américaine (environ une cinquantaine d'agents des forces spéciales de la CIA), équipe qui dans cette violente opération y a laissé un paquet de plumes (6 morts chez eux...).

  
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danbalao danbalao
28/03/2022 09:43:42
0

Bin moi je pense que au moment ou on nous bassine avec les critères ESG la on a une vrai problématique ESG :

On doit mettre en balance les intérêts économiques de ces groupes et la dimension ESG à priori tellement importante désormais

Et dans celle ci deux axes contradictoires : l'emploi des employés russes et expats d'une part et indiscutablement que l'on veuille ou non un soutien direct ou indirect à Poutine d'autre part.

Il faut faire un choix ! De plus quand on parle des intérets de la France en affirmant que partir fait le jeu des concurrents quels qu' ils soient , que c'est se faire rouler dans la farine etc on oublie la dimension communication et réseaux sociaux actuelle.

Il faudrait mesurer le poids de l'activité en Russie par rapport à l'image de marque perdue/gagnée partout ailleurs. Ceux qui oublient ca sont ancrés dans l'économie du 20 eme siècle et passent complètement à coté des nouveaux leviers de communication.

Et quand on va reconstruire l'Ukraine, (Et ca se chiffera en milliards d'euros , vu qu'il y aura probablement un plan marshall Ukraine) si Auchan reste en Russie il y a peu de chances que Bouygues soit choisi. Eh oui il faut réfléchir global et un peu long terme ....

Louer deux ou trois conseiller en com et stratégie de l'équipe Zelinski ferait le plus grand bien à nos fleurons francais et autres économistes distingués, car eux ils ont tout compris des enjeux de la com moderne.

  
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nanard87 nanard87
28/03/2022 09:24:40
1
Quelle entreprise française figure t-elle dans cet article ?
  
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cigale11210 cigale11210
28/03/2022 09:06:51
2
L idée n est pas d apporter du réconfort à la population russe et de leur permettre de continuer à être complaisants L idée est de les mettre mal à l aise, d augmenter leur stress,afin qu ils remettent en question leur dirigeants…… Est cela…………ANTI FRANCE……………..?
  
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fipuaa fipuaa
28/03/2022 09:06:44
2

quel lavage de cerveau permanent des foules !

ça devient tellement gros que les moutons et mougeons vont peut être enfin ouvrir les yeux car c'est en touchant le fond qu'on est capable enfin de rebondir

c'est triste d'être obligé d'en passer par là....

le monde ne sera plus jamais le même

  
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sid777 sid777
28/03/2022 09:05:45
1
Vive la Sainte Russie, l'otan est l'empire du mensonge, ceux qui vendent leur âme auront ce qu'ils méritent
  
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JCLAUDIO JCLAUDIO
28/03/2022 08:28:20
4
tout cela participe de la manipulation des masses....propagande anti-russe et aussi anti -entreprise Française....ETC ETC ce professeur ,certainement à la solde d'intérets américains,ferait mieux de fermer sa gueule.....
  
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MMManson MMManson
28/03/2022 08:17:59
1

Je ne crois pas... être anti-France, c'est la mode ces derniers temps

  
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BAWA50 BAWA50
28/03/2022 07:50:07
0
Le logo des supermarchés français Auchan sur un centre commercial à Moscou, en Russie, le 24 mars 2022
Le logo des supermarchés français Auchan sur un centre commercial à Moscou, en Russie, le 24 mars 2022 (AFP/NATALIA KOLESNIKOVA)

Jeffrey Sonnenfeld a lancé après l'invasion de l'Ukraine une liste des entreprises choisissant de quitter la Russie, ou d'y rester, à la disposition de tous les consommateurs et investisseurs.

Professeur spécialisé dans la responsabilité sociale des entreprises à l'université américaine de Yale, il a l'habitude de discuter avec les grands patrons.

Il a choisi de monter au créneau après l'attaque de la Russie car il n'y a pas de "juste milieu" possible face à Moscou, explique-t-il dans un entretien à l'AFP.

- Pourquoi avoir lancé cette liste?

Juste après le début de la guerre, une douzaine d'entreprises ont pris l'initiative de couper les ponts avec la Russie, et ce n'était pas celles qui font habituellement les premiers pas en matière de droits humains ou de questions sociétales: les compagnies pétrolières (BP, Shell, Exxon), les sociétés de services aux entreprises (McKinsey, Deloitte et des grands cabinets juridiques), et des géants de la tech (Apple, Oracle, Twitter, Amazon).

Une femme marche devant un magasin Leroy Merlin  à Moscou, en Russie, le 24 mars 2022
Une femme marche devant un magasin Leroy Merlin à Moscou, en Russie, le 24 mars 2022 (AFP/NATALIA KOLESNIKOVA)

Mais on a rapidement vu aussi une flopée d'imposteurs, d'entreprises qui, avec une équipe intelligente de relations publiques, tentaient de s'en tirer avec des messages trompeurs. J'ai mis en place une petite équipe sans idéologie ou affiliation à l'une de ces entreprises pour évaluer objectivement ce que ces compagnies faisaient.

C'était à l'origine une liste en deux catégories, les entreprises qui restent et celles qui partent. Mais on a rapidement réalisé que ce n'était pas suffisant car certaines entreprises diffusaient des messages très vagues et ambigus. On a maintenant cinq catégories, depuis les entreprises se retirant complètement (de Russie) jusqu'à celles qui persistent.

- Qu'est-ce qui a poussé les entreprises à agir?

Pour certaines des sociétés ayant bougé en premier, on peut dire qu'elles agissaient dans leur propre intérêt, parce qu'elles étaient par exemple trop impliquées avec des oligarques et voulaient éviter que leur réputation soit entachée.

Une femme marche sur un pont dans le centre de Moscou, en Russie, le 23 mars 2022
Une femme marche sur un pont dans le centre de Moscou, en Russie, le 23 mars 2022 (AFP/-)

Certaines entreprises ayant fait face ces dernières années à des controverses (comme les compagnes pétrolières avec le changement climatique ou les compagnies de la tech avec la protection des données privées) ont utilisé cette opportunité pour montrer qu'elles pouvaient parfois choisir le bon côté.

Et dans certaines entreprises, les employés eux-mêmes se sont révoltés. La génération Z se tient vraiment à certains principes et estime que là où elle achète, là où elle investit et là où elle travaille, a de l'importance. Au sein des grands cabinets de conseil, il y avait vraiment une certaine colère à l'idée de servir le diable.

- Certaines entreprises restant en Russie font valoir qu'elles agissent pour le bien de leurs employés ou pour des raisons humanitaires. N'est-ce pas justifié?

Que des entreprises tentent de justifier leur présence en Russie par des raisons humanitaires ou pour soi-disant prendre soin de leurs employés, c'est révoltant. Cela relève de la pure cupidité. On doit les tenir pour responsables et leur faire honte.

Des compagnies comme Nestlé et Mondelez ont assuré pendant des semaines qu'elles produisaient des produits essentiels. Sur la liste de ces soi-disant produits essentiels il y a les barres KitKat, le chocolat Nesquik, les cookies Oreo (...).

Surtout, (ce positionnement) sape tout l'objectif des sanctions économiques et du retrait volontaire des entreprises. L'idée n'est pas d'apporter du réconfort à la population russe et de leur permettre de continuer à être complaisants. L'idée est de les mettre mal à l'aise, d'augmenter leur stress, afin qu'ils remettent en question leurs dirigeants.

Certains cherchent à être compréhensifs en disant "la population russe n'a accès qu'à de l'information filtrée". Mais les Russes eux-mêmes le savent (...). A eux de remettre en doute ce qu'on leur dit. S'ils ne le font pas, c'est qu'ils sont volontairement ignorants.

Les Ukrainiens, eux, n'ont pas ce luxe. On leur a jeté une dure réalité à la figure. Les Russes enfreignent des cessez-le-feu, des hôpitaux pour enfants sont bombardés. Il n'y a pas de "juste milieu" ici.

Tous les jours, des entreprises nous font savoir qu'elles sont furieuses (d'être classées dans la liste comme des compagnies opérant encore en Russie). Elles nous font suivre les menaces qu'elles reçoivent de groupes de hackers comme Anonymous. Mais ce n'est pas notre problème, c'est un choix qu'elles ont fait. Et s'il y a des réactions négatives, elles n'ont qu'à changer leur position.

© 2022 AFP

  
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