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Dans les rayons des supermarchés, l'inflation est déjà bien présente

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Ptitchat72 Ptitchat72
29/04/2022 19:58:57
0

@Moicmoi :

je m'en fout de la genèse préhistorique

la question de l'oeuf ou la poule est la même que : qui sont les fautifs ? médias ou consommateur ?

toi tu choisis les médias..

et moi, totalement le consommateur ... nous !


D'ailleurs on peut toujours parler "inflation" de partout ..

les gnous s'en battent pour le moment.. ça fonce et va tout droit un gnou. un gnou en faite, c'est con..

la réflexion viendra avec les pleurs. mais plus tard, trop tard !

leur priorité n'est pas là pour pour le moment..

faut se faire plaisir et manger au maximum le semblant de liberté.. même à crédit.

----------------

29/04/2022 | 15:49
ETATS-UNIS: LES DÉPENSES DES MÉNAGES DÉPASSENT LES ATTENTES EN MARS, L'INFLATION S'ENVOLE

WASHINGTON (Reuters) - Les dépenses des ménages américains ont augmenté plus que prévu en mars, dans un contexte de forte demande pour les services, tandis que l'inflation mensuelle a connu sa plus forte hausse depuis 2005.

  
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fipuaa fipuaa
29/04/2022 18:30:24
0

c'est super que l'inflation soit présente ça prouve qu'il est encore ouvert avec des produits dedans mais ça ne va pas durer car ce n'est pas ce qui est prévu par le guide je vous le rappelle !!

ce qui est prévu par le guide n'a en rien changé

ce qui est prévu depuis des lustres est la pénurie puis la famine puis les émeutes qui pourront enfin justifier le but du guide le graal du guide : la loi martiale amenant contrôle et asservissement, la dictature quoi avec le crédit social!

c'est pour cela que le camp du bien (lol) fait durer la guerre en ukraine qui sert d'excuse à la peur, toujours elle , la même que certains ont éprouvé pour la grippe et qui a conduit à des trucs de fous pseudo peur pour pseudo pénurie qui amènera le chaos puis le contrôle

si Poutine gagne très vite le NOM va avoir du mal à justifier les pénuries, tout est dans le timing pour arriver à amener les moutons dans l'enclos. Au moindre hic le premier mouton loupe l'entrée et fuit emmenant le troupeau là où ils ne veulent pas

  
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moicmoi moicmoi
29/04/2022 18:09:20
0

Ptitchat72
« « @Moicmoi : qui était là le premier.. l'oeuf ou la poule ?
» »

Des bactéries – organismes unicellulaires – qui se sont assemblées pour former un organisme pluricellulaire, différent selon les assemblages.
Et la question se pose pour tous les organismes vivants ( animaux végétaux, etc....)

Un peu le principe des alliages métalliques.

Les premières formes de vie sont apparues dans les océans, pour en sortir vers environ -420 à -450 millions d’années.
Comme dirait l’autre, c’est de l’histoire ancienne. Et ça fait un bout de temps que l'on se pose la question.


  
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damirov damirov
29/04/2022 15:51:30
0

Céréales , tournesol, colza, on ne peut pas être quasi autosuffisant en France avec le vaste territoire disponible ?

  
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Ptitchat72 Ptitchat72
29/04/2022 15:11:22
2

@Moicmoi : qui était là le premier.. l'oeuf ou la poule ?

les médias relatent des faits et/ou informent d'un avenir proche ....

constat ou prévention ?


Pourquoi dit-on que le peuple n'est qu'un troupeau de moutons ? (même si je pense que c'est plus par rapport à la tonte donc impôts)..

dans les derniers évenements, il serait surement plus judicieux de dire gnous pour le coup... il faut passer l'obstacle sans réfléchir et tant pis pour celui qui se fera bouffer. (pour le coup, très représentatif de ce que nous sommes devenus)..


L'humain étant devenu très con (pour soit disant l'animal le plus intelligent de la planète)..

il suffit de peu pour influencer la bête.

la peur du manque de quelque chose est centrale.. et il faut peu de chose pour instaurer le chaos parfois.

la panique arrivant et dérivant très vite vers l'instabilité, le désordre ==> provoque émeutes et pillages à minima.

la plupart des bêtes étant fortement atteintes qu'elles seraient capable de tuer un congénère pour un pot de Nutella, un smartphone ou un vêtement... c'est dire !


Alors...qui est le plus fautif dans l'histoire ?... le média (l'informateur) ou le téléspectateur (l'informé) ? o_O

  
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moicmoi moicmoi
29/04/2022 14:37:54
5

Dans les rayons de ma supérette, dernièrement, plus une goutte d’huile de tournesol. Le gérant étant obligé de rationner les achats d’huile avec affichage en rayon.

Perso, je me pose des questions (c’est pas nouveau) : est-ce que les médias ne sont pas pour quelque chose dans les pénuries de ci ou de ça ?

En faisant les gros titres de risque de pénurie d’huile de cuisine, de carburant à la pompe, de céréales, de pâtes, de chocolat, et que sais-je encore, ….ils ne poussent pas les consommateurs à acheter massivement les denrées citées beaucoup plus que de raison ?

Informer, c’est une chose, mais provoquer des situations de sur-achat, de panique, de manipulations en tous genres, de situations de spéculations sur des denrées alimentaires, c’est autre chose.
Et à mon avis, c’est condamnable.

Le boulot de journaliste ne demande pas un peu de réflexion et d’analyse ?
Le pouvoir de nuisance de la presse.

Finalement : est-ce que ce n'est pas elle qui crée les pénuries ? Voire pire ?

  
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jean77440 jean77440
29/04/2022 14:08:16
1
De plus Edouard Leclerc et d'autre l'ont signalé les centrales bloquent les produits afin de spéculer
  
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jean77440 jean77440
29/04/2022 14:08:14
1
Dans les rayonnages des grandes surfaces de France, des bénévoles de l'association de consommateurs Familles Rurales relèvent méthodiquement les prix des produits et l'inflation de nombre d'entre eux est sensible
Dans les rayonnages des grandes surfaces de France, des bénévoles de l'association de consommateurs Familles Rurales relèvent méthodiquement les prix des produits et l'inflation de nombre d'entre eux est sensible (AFP/Archives/DAMIEN MEYER)

"Ah, le kilo de couscous premier prix est à 1,29 euro! Il y a un an, c'était 0,96": dans les rayonnages des grandes surfaces de France, des bénévoles de l'association de consommateurs Familles Rurales relèvent méthodiquement les prix des produits, et l'inflation de nombre d'entre eux est sensible.

En une année, c'est dans ce magasin 34% d'augmentation pour la semoule premier prix ou 12% pour les pâtes de la marque de la grande surface... "Par contre, le riz n'a pas bougé", note Catherine Cahuzac.

Cette énergique retraitée, ingénieure dans le secteur de l'énergie, écume sans chariot ni cabas les rayonnages d'un gigantesque hypermarché du Val-de-Marne, en région parisienne. "Je viens dans ce centre commercial de temps en temps pour les vêtements, mais pour l'alimentaire, c'est bien trop grand pour moi", explique-t-elle jeudi.

Pour la deuxième fois de la semaine, elle va passer plusieurs heures dans le magasin, son téléphone à la main - "il faut penser à bien le recharger avant de venir..." - et une seule préoccupation: trouver le bon prix à reporter dans une application développée par Familles Rurales.

Comme une centaine de "veilleurs" bénévoles de l'association, elle recense ainsi une fois par trimestre les prix pratiqués par les grandes surfaces près de chez elle.

Objectif, pour l'association: calculer le budget que devra consacrer une famille type (deux adultes, un adolescent et un enfant) à son alimentation, pour se nourrir dans le respect du plan national nutrition santé. C'est-à-dire en mangeant sainement, dans le respect de la saisonnalité, de l'environnement et de la santé.

Lors de son dernier observatoire des prix en janvier, l'association avait calculé que le budget alimentation moyen nécessaire pour nourrir cette famille type était au minimum de 450 euros par mois en variant moins les produits, de 696 euros en consommant des produits premiers prix, 765 euros avec des produits de marques nationales (comme Panzani, Danone par exemple) et pouvait grimper jusqu'à 1.148 euros pour du tout bio.

L'exercice est un peu fastidieux pour la bénévole d'Antony. Mais il donne des informations précieuses sur l'inflation dans les rayonnages.

Le recensement en cours montre une flambée des produits à base de blé, notamment sur les premiers prix et les marques de distributeurs, des gammes où la matière première agricole pèse la plus large part du coût total de production.

- Nouvelles hausses en vue -

"On observe l'inflation attendue", explique à l'AFP la directrice du département consommation de Familles Rurales, Nadia Ziane. "Le pouvoir d'achat est aujourd'hui très altéré pour les familles d'autant que tous les essentiels ont augmenté, pas que le blé, également l'énergie ou le carburant".

Entre reprise de la consommation post-confinements, hausse des coûts logistiques, des matières premières, offensive russe en Ukraine, le monde entier fait face depuis des mois à une hausse des prix généralisée. La France ne fait pas exception, malgré de nombreuses mesures décidées par le gouvernement pour endiguer le phénomène.

Familles Rurales invite les consommateurs à acheter moins de produits qui ont flambé, comme les pâtes, et plus de produits également intéressants nutritionnellement mais moins cher, comme les lentilles
Familles Rurales invite les consommateurs à acheter moins de produits qui ont flambé, comme les pâtes, et plus de produits "également intéressants nutritionnellement" mais moins cher, comme les lentilles (AFP/Archives/Thierry ZOCCOLAN)

Familles Rurales invite les consommateurs à acheter moins de produits qui ont flambé, comme les pâtes, et plus de produits "également intéressants nutritionnellement" mais moins cher, comme les lentilles.

Mais pas d'alternative pour les fruits et légumes, alors que leur importance "en fait en proportion le budget alimentaire le plus cher", note Nadia Ziane. En début d'année, Familles Rurales avait tiré la sonnette d'alarme sur la flambée de leurs prix, de près de 10% en deux ans, et elle pourrait se poursuivre.

L'association demande que le chèque alimentaire promis par Emmanuel Macron lors de sa campagne porte "sur les produits qui sont valorisés dans le plan national nutrition santé".

La mesure est en tout cas attendue, car l'inflation sur les denrées alimentaires devrait encore s'aggraver: les négociations annuelles entre le secteur agroalimentaire et la grande distribution n'ont pas suffi à répercuter les coûts de production, et les différents acteurs discutent à nouveau de hausses de prix, qui pourraient s'observer en rayons à la rentrée.

© 2022 AFP

  
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