Laissez moi vous dire - Page 4

J'attendrai car l'oiseau qui s'enfuit

vient chercher l'oubli dans son nid

04/04/2023 05:40:27

Les restrictions de production de l'OPEP+ ont conduit la plupart des analystes à revoir à la hausse leurs prévisions de prix du pétrole Brent, qui devrait avoisiner les 100 dollars le baril d'ici à la fin de l'année.

J'attendrai

Le jour et la nuit

J'attendrai toujours

"M.O.G.A. Make Oil Great Again". Bloomberg

Plutôt verte...

Les 1.16 million de barils en moins par jour sont de quelle couleur ?

TroudnezTroudnez 26/02/2023 17:07:32

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Bataille gagnée en rebond sur la dent basse de la fourchette d' Andrews. Les 87 usd en première intention (latéralisation sur le pivot de la médiane).

Objectif 'final" : report de la hauteur du triangle, soit...le ciel. https://ibb.co/6sBJwXW

Le brut à 100 $s pourrait bientôt devenir la nouvelle norme, prédit Paul Sankey, analyste de premier plan dans le domaine de l'énergie.

L'unité Low Carbon d'Exxon Mobil Corp (XOM.N) a le potentiel de générer des centaines de milliards de dollars au fil du temps et de surpasser les activités pétrolières et gazières traditionnelles de l'entreprise, a déclaré Dan Ammann, cadre supérieur, à l'agence Reuters.

Les restrictions de production de l'OPEP+ ont conduit la plupart des analystes à revoir à la hausse leurs prévisions de prix du pétrole Brent, qui devrait avoisiner les 100 dollars le baril d'ici à la fin de l'année. Goldman Sachs a relevé ses prévisions pour le Brent à 95 dollars le baril d'ici la fin de l'année, et à 100 dollars pour 2024.

Le pétrole grimpe de 8 % après que l'OPEP+ a surpris le marché en réduisant sa production

Plus de 1,1 million de barils par jour de réduction sont promis.

Le pétrole a bondi à l'ouverture de la semaine après que l'OPEP+ a annoncé de manière inattendue des réductions de la production de pétrole brut qui menacent de resserrer le marché, de donner une nouvelle impulsion inflationniste à l'économie mondiale et d'irriter la Maison Blanche.

Le prix du baril de West Texas Intermediate a grimpé de 8 %, soit la plus forte hausse en un jour depuis plus d'un an, et s'échangeait à 79,60 dollars à 9 h 44 (heure de Singapour), tandis que sur les marchés plus larges, le dollar grimpait avec les rendements du Trésor.

Selon Wood Mackenzie, la Chine représentera près de 40 % de l'augmentation de la demande mondiale de pétrole en 2023

Dans un article de Reuters sur ... le pétrole si si :)

Goldman Sachs Group Inc, l'une des banques les plus optimistes sur les perspectives pétrolières, a revu ses prévisions à la baisse, les inquiétudes sur le secteur bancaire et le risque de récession l'emportant sur l'augmentation de la demande chinoise.

Les analystes de la banque prévoient désormais que le Brent atteindra 94 dollars le baril pour les 12 mois à venir, et 97 dollars le baril au second semestre 2024, contre 100 dollars le baril précédemment.

L'EIA indique que les marchés mondiaux du pétrole sont confrontés à un excédent, la production russe déjouant les pronostics d'effondrement, tandis que la demande de carburant reprend lentement.

"L'offre mondiale de pétrole devrait largement dépasser la demande au cours du premier semestre de l'année", a déclaré l'agence, qui conseille les principales économies.

"Une grande partie de la surabondance de l'offre est due à l'abondance des barils russes qui s'empressent d'être réacheminés vers de nouvelles destinations.

Les prix du pétrole ont chuté de plus de 5 dollars le baril mercredi, atteignant leur niveau le plus bas depuis plus d'un an, l'inquiétude suscitée par le Credit Suisse ayant effrayé les marchés mondiaux et annulé les espoirs d'une reprise de la demande de pétrole de la part de la Chine.

Les premiers signes d'un retour à la stabilité des marchés se sont évanouis après que le principal investisseur de Credit Suisse a déclaré qu'il ne pouvait pas fournir à la banque suisse une aide financière supplémentaire, ce qui a fait chuter ses actions et d'autres actions européennes.

"Peu importe la nature de votre actif à risque, à ce stade, les gens se débranchent de différents instruments", a déclaré Robert Yawger, directeur des contrats à terme sur l'énergie chez Mizuho à New York.

L'OPEP a encore relevé mardi ses prévisions de croissance de la demande chinoise de pétrole en 2023 en raison de l'assouplissement des restrictions COVID-19 du pays, bien qu'elle ait laissé le total mondial stable, citant les risques potentiels de baisse de la croissance mondiale.

La demande mondiale de pétrole en 2023 augmentera de 2,32 millions de barils par jour (bpj), soit 2,3 %, a déclaré l'Organisation des pays exportateurs de pétrole dans un rapport mensuel. Ce chiffre est inchangé par rapport aux prévisions du mois dernier.

Alors que l'accélération de la demande chinoise pourrait soutenir le marché pétrolier, les prix du brut ont chuté cette semaine, l'effondrement de la Silicon Valley Bank ayant suscité des craintes quant à une nouvelle crise financière. L'OPEP a souligné les risques potentiels de baisse de l'économie mondiale liés à la hausse des taux d'intérêt.

Les commentaires du PDG de Saudi Aramco, Amin Nasser, sur la demande de pétrole brut de la Chine ont apporté un certain soutien.

"Si l'on tient compte de l'ouverture de la Chine, de l'augmentation des carburants pour avions et d'une capacité de réserve très limitée, nous parlons de 2 millions de barils, donc comme je l'ai dit, nous sommes prudemment optimistes à court et à moyen terme et le marché restera étroitement équilibré", a-t-il déclaré.

Le géant pétrolier saoudien Aramco, contrôlé par l'État, a enregistré un bénéfice net record de 161,1 milliards de dollars pour l'année 2022, soit une hausse de 46,5 % par rapport à l'année précédente.

"Il s'agit probablement du revenu net le plus élevé jamais enregistré dans le monde des entreprises", a déclaré le PDG d'Aramco, Amin Nasser, lors d'une conférence téléphonique sur les résultats qui s'est tenue dimanche.

Les raffineries françaises suffiront à répondre aux besoins en gazole du pays en 2035 en raison de la baisse attendue de la consommation de carburants, a estimé jeudi l'Ufip EM (Union française des industries pétrolières énergies et mobilités).

Les importations représentent aujourd'hui environ la moitié de la consommation française de gazole, ce qui s'est traduit par de fortes hausses de prix depuis le début de la guerre en Ukraine, il y a près d'un an, dans la perspective d'un embargo sur les produits pétroliers russes finalement mis en oeuvre début février dans l'Union européenne.

Le gazole représente près des trois quarts de la consommation française de carburants routiers.

Le pétrole chute de plus de 3 % en raison des prévisions de hausse des taux d'intérêt aux États-Unis et de la vigueur du dollar américain