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D'habitude je rentrais en France, une fois par an, pour 15 jours/3 semaines; je regardais un peu la télé et donc payais la redevance pour le temps que j'étais en France.
Là, ça fait 3 ans que je ne suis pas revenu en France, mais je paie toujours la redevance alors que je ne peux rien regarder...comme je paie des impôts locaux sans pouvoir profiter de ma maison....
Dans certains pays, on appelle ça du "racket".
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Je propose que les citoyens français fasse comme eux la grève en ne regardant plus pendant 1 semaine au moins le service public. Réponse du berger à la bergère. Le vote contre le service public c est l Audimat et si il chute très fortement après leur grève ce seras un vote contre le service public et cette redevance.
Je vis en Belgique, nous on regarde gratuitement France 2 mais vu le niveau je ne regarde plus la TV. Il n y as pas de redevance TV en Belgique. Et s ils ne sont pas bons = licenciements
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il suffit juste de ne pas cocher la case !
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Quand on connaît le salaire des journaleux , présentateurs , animateurs et toute la small de directeurs et teuses ….De tels salaires sont-ils justifiés ?
Alors que bien des journaleux ne sont que des perroquets qui récitent la leçon de l’AFP. Qu’ils ne se donnent même pas la peine de vérifier leurs infos.
La fin de la redevance TV, si elle n’est pas « compensée » sur un autre plan , ne serait que justice pour ceux qui ne vont jamais sur les chaînes ou radios du groupe France Télévision.
Que l’état mette un péage pour ceux qui veulent « sauver le service public », comme le font beaucoup d’autres plate-formes.
Ce jour là, nos « serviteurs publics », au vu du faible nombre de « consommateurs », seront sûrement moins arrogants et moins exigeants.
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L’humour ou l’humeur du jour ?
L’argent de l’état, c’est le pognon des citoyens, qui dilapide le pognon de citoyens, c’est l’État ?
Je lance un avis de recherche, pour un bon gestionnaire, on doit en trouver, non ?
Le cinéma français tué par l’argent public
https://fr.irefeurope.org/publications/articles/article/le-cinema-francais-tue-par-l-argent-public/
17 sept. 2019 Le cinéma français produirait trop de mauvais films, trop de mauvaises réalisations, trop de mauvais acteurs... Eric Neuhoff, critique cinéma au Figaro et au "Masque et la plume", montre dans le pamphlet "(très) Cher cinéma français" que le cinéma français, c'était mieux avant.
https://www.youtube.com/watch?v=0_C5Le28mjc
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fermons tous les mérdias subventionnés oui
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Les antennes des radios et chaînes de télé de l'audiovisuel public sont perturbées mardi par un mouvement de grève contre la suppression de la redevance voulue par le gouvernement dès cet automne, dans un contexte plus large de craintes pour leur avenir.
En raison de cette grève, la musique a tourné à plein sur France info, France Inter ou encore France Culture en lieu et place des traditionnelles matinales, tandis que France 2 a proposé des rediffusions d'extraits de Télématin.
Des bandeaux annonçaient également la perturbation des antennes des chaînes d'info France 24 et franceinfo et du site internet de cette dernière.
Les salariés de France Télévisions et Radio France, mais aussi de France Médias Monde (France 24, RFI, MCD), Arte et l'Ina étaient appelés à cesser le travail mardi par une intersyndicale CGT-CFDT-FO-SNJ-SUD-UNSA-CGC-CFTC.
Un rassemblement est prévu à midi à Montparnasse à Paris, pour un défilé en direction de l'Assemblée nationale, et d'autres actions sont prévues ailleurs en France.
A Saint-Etienne, près d'une trentaine de salariés en grève de France 3 Loire et de France Bleu Saint-Etienne Loire, soit la quasi-totalité de l'effectif de ces deux locales, ont ainsi participé à un rassemblement devant leurs locaux mardi matin.
A l'origine du mouvement, la volonté de l'exécutif de supprimer la redevance dès cet automne, au profit d'un budget courant sur plusieurs années.
Cette mesure a été proposée pendant la campagne présidentielle par le président Emmanuel Macron, au titre du pouvoir d'achat. Mais pour les syndicats et les grévistes, elle menace le financement et l'indépendance de l'audiovisuel public.
D'un montant de 138 euros en métropole et 88 euros outre-mer, la redevance ne concerne que les foyers qui détiennent un téléviseur: les autres ne la payent pas, même s'ils regardent des programmes sur ordinateur, tablette ou smartphone.
Cette ressource est devenue d'autant plus stratégique depuis la suppression de la publicité en soirée puis dans les programmes pour enfants, sur les chaînes du service public.
- Fusion? -
La suppression de la redevance entraînera un manque à gagner de plus de 3 milliards d'euros que l'Etat promet de compenser auprès des diffuseurs publics.
Mais les grévistes jugent que le budget de l'audiovisuel public "ne peut être décidé par le gouvernement et soumis aux aléas du vote des lois de finances annuelles".
"Il doit disposer d'une ressource affectée, garantissant au mieux son indépendance économique et politique tant en termes d'information que de diversité culturelle", selon un tract syndical.
Dans un rapport publié lundi par la Fondation Jean-Jaurès, l'économiste engagée à gauche Julia Cagé a proposé d'instaurer un nouveau mécanisme de redevance, inspiré des pays nordiques. Il s'agirait d'un impôt spécifiquement dédié au financement de l'audiovisuel public, mais variable selon les revenus des foyers.
La fin de la redevance est inscrite dans le paquet de mesures sur le pouvoir d'achat, qui doit être présenté le 6 juillet en Conseil des ministres, pour un examen dans la foulée par les députés puis les sénateurs.
Mais le résultat des élections législatives de juin et l'affaiblissement de la majorité LREM rendent les débats plus incertains.
Au-delà de la seule question de la redevance, les grévistes s'inquiètent pour l'avenir de l'audiovisuel public depuis qu'un rapport sénatorial LR publié le 8 juin a lancé l'idée d'une grande fusion entre France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI et France 24) et l'Ina.
"C'est un sujet dans l'air depuis plusieurs années. Ce débat aura lieu", a affirmé la nouvelle ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, dans le journal Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Une fois fixées "les priorités de fond (...), nous discuterons de l'organisation. Et verrons si cela doit se faire par une fusion ou par des modalités plus souples permettant de développer les synergies", a-t-elle ajouté.
© 2022 AFP
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