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L'économie britannique accuse un retard considérable par rapport aux autres pays développés, selon un rapport de l'OCDE.
Et sinon, le Brexit ça va ?
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Heureusement qu'il y a eu le Brexit ... ou pas.
Les Britanniques sont confrontés à la plus forte baisse du niveau de vie jamais enregistrée ! Parallèlement à la confirmation que le pays est entré en récession et que le PIB se contractera de 1,4 % en 2023, l'Office for Budget Responsibility (OBR) a estimé jeudi que le revenu disponible réel des ménages - une mesure du niveau de vie - devrait baisser de 4,3 % en 2022-23.
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Heureusement qu'il y a eu le Brexit ... ou pas.
Le gouvernement britannique a dévoilé jeudi un vaste plan fiscal visant à combler un trou béant dans les finances publiques et à restaurer la crédibilité économique du pays.
Le ministre des finances Jeremy Hunt, dans sa déclaration d'automne inaugurale très attendue, a présenté des réductions de dépenses et des hausses d'impôts pour un montant de 55 milliards de livres.
Ces mesures vont accroître les difficultés financières de millions de Britanniques, confrontés à la pire crise du coût de la vie depuis des décennies et à la plus longue récession qu'ait connue le pays.
GBP / USD : 1,1785 -1,03%
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Selon les données compilées par Bloomberg, Paris est désormais la plus grande bourse, en raison de la réduction de la demande post-Brexit pour les actifs britanniques, de la popularité accrue des groupes de produits de luxe français et de l'impact de la chute de la livre.
En début de semaine, la capitalisation boursière totale des sociétés cotées au Royaume-Uni était de 2 821 milliards de dollars, indique Bloomberg, contre 2 823 milliards de dollars pour la France. En 2016, avant que la Grande-Bretagne ne vote la sortie de l'Union européenne, le marché londonien valait 1 500 milliards de dollars de plus que son homologue d'outre-Manche.
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L'inflation au Royaume-Uni atteint son plus haut niveau depuis 41 ans, les prix des denrées alimentaires et de l'énergie continuant à grimper en flèche.
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Heureusement qu'il y a eu le Brexit ... ou pas.
Le Brexit est la raison ultime pour laquelle le Royaume-Uni doit faire face à un nouveau cycle d'austérité, a déclaré un ancien responsable de la fixation des taux d'intérêt à la Banque d'Angleterre.
"L'économie britannique dans son ensemble a été définitivement endommagée par le Brexit", a déclaré Michael Saunders, qui était un membre externe du comité de politique monétaire de la banque centrale, dans une interview accordée à Bloomberg TV.
"Cela a réduit considérablement la production potentielle de l'économie, érodé les investissements des entreprises", a-t-il dit, ajoutant : "Si nous n'avions pas eu le Brexit, nous ne serions probablement pas en train de parler d'un budget d'austérité cette semaine".
"La nécessité d'augmenter les impôts, de réduire les dépenses ne serait pas là, si le Brexit n'avait pas réduit autant la production potentielle de l'économie."
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Le marché immobilier britannique pourrait être au bord d'une crise majeure, certains observateurs du marché mettant en garde contre un effondrement des prix pouvant atteindre 30 %.
Les demandes de nouveaux acheteurs ont plongé en octobre à leur plus bas niveau depuis la crise financière de 2008, selon le dernier rapport des experts immobiliers de la RICS publié la semaine dernière.
Heureusement qu'il y a eu le Brexit
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Le gouvernement britannique va entamer une nouvelle ère d'austérité afin de restaurer la confiance des marchés.
M. Hunt devrait annoncer des hausses d'impôts et des réductions de dépenses totalisant entre 50 milliards de livres (58,85 milliards de dollars) et 60 milliards de livres par an, alors qu'il tente de combler un trou important dans les finances publiques du pays.
La Banque d'Angleterre a prévu que le Royaume-Uni était au début de la plus longue récession jamais enregistrée.
Heureusement qu'il y a eu le Brexit
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Le vieux modèle de croissance britannique est mort : Ce qu'une livre faible à long terme signifie pour la Grande-Bretagne
... CNBC
"Le problème est que le Royaume-Uni est très dépendant des importations, près des deux tiers des denrées alimentaires sont importées, donc une baisse de dix pour cent du taux de change effectif réel se traduit vraiment rapidement par une hausse des prix des denrées alimentaires", a déclaré Mark Blyth, professeur d'économie et d'affaires publiques à l'Université Brown.
"Le Royaume-Uni est une économie à bas salaires. Cela va faire mal".
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Royaume-Uni : la nomination de Rishi Sunak à Downing Street signe le retour de l'orthodoxie budgétaire
Les Echos
Et la £ de s'emballer jusqu'à 1,1409 $ pour fêter ça ... avant de redescendre à la cave 1,1277 live
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Pauvre Boris il ne reviendra pas, contraint de jeter l’éponge.
“Ah les ingrats,
Ah les scélérats,
Après temps d’efforts consentis
Au 10 Downing Street joli
Et ses vacances gâchées
Même pas remboursées,
Voilà notre nouveau Boris
Qui se promettait sans vice
Éconduit comme un laquais
Un vulgaire valet..”
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Les Tories britanniques cherchent une solution rapide au chaos de Truss, alors que le parti risque de disparaître.
La course à la direction vise à assurer que le gagnant bénéficie d'un large soutien.
Mais les factions pourraient surprendre et les partisans de Johnson envisagent un retour.
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Comment le Brexit a-t-il modifié les flux commerciaux entre l'UE et le Royaume-Uni ?
Le commerce du Royaume-Uni vers l'UE est en baisse de 16% par rapport aux niveaux qui auraient été attendus si le Brexit n'avait pas eu lieu, selon un nouveau rapport.
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Le 10 Downing Street, un pop-up store ?
Amie Liz
Lève ton verre
Et surtout, ne le renverse pas
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Et bien sûr la France est protégée par l'UE
Économie - Philippe Murer : "La France va tout droit vers un gouffre économique."
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Faut toujours répéter ?
17/10/2022 06:52:52
En attendant, c'est le peuple britannique qui paye. Par exemple, où sont passés les prétendus 350 millions de £ envoyées chaque semaine au budget de l’Union européenne qui devaient aller au National Health Service (NHS) ?
Les services de garde d'enfants au Royaume-Uni s'effondrent - et obligent les mères à retourner à la maison.
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17/10/2022 06:59:26
Les pièges du Brexit ne sont plus tabous dans la politique britannique
Une colonne du Telegraph, journal favorable au Brexit, dénonce l'héritage.
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**Un échec retentissant**
NON, vraiment pas, mais je l'ai déjà dit "la liberté et la souveraineté retrouvées n'ont pas de prix !
Almas, désolé de te le répéter, ton à plat-ventrisme devant notre Président t'empêche de voir ce qui se passe en France. Alors, tu te rabats, histoire de te défouler, sur la Grande-Bretagne et parfois l'Italie. Mama mia !
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Le "Festival du Brexit" ? Un échec retentissant
Lundi 17 octobre 2022
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Brexit semi échec ?
Les all. ne prêtent plus ?
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LONDRES - La livre sterling s'est renforcée contre le dollar lundi matin après que le nouveau ministre britannique des Finances, Jeremy Hunt, ait annoncé qu'il présenterait certaines parties de son plan budgétaire à moyen terme plus tard dans la session.
La livre était en hausse de 0,7 % à 1,1254 $ tôt lundi matin, prolongeant ses gains après la déclaration du Trésor britannique.
La décision fait suite à une journée dramatique de la politique britannique vendredi, qui a vu le premier ministre Liz Truss faire volte-face sur le plan fiscal et le ministre des finances Kwasi Kwarteng être limogé. Ce dernier a été rapidement remplacé par M. Hunt, qui devrait faire une déclaration plus tard dans la journée de lundi.
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