Sur la base du tarif moyen que vous évoquez.
Les pertes en transport et distribution étant de 10% cela donne un kWh rendu chez le client à 0.076€ HT.Soit environ 0.101 € TTC à comparer au tarif bleu EDF est à 0.1740 € TTC.
Les producteurs disposent donc d'une marge confortable.
Niveau capacités il faut par contre rester conscient des ordres de grandeur.
Un projet de 66 MW compte-tenu du facteur de charge du solaire et de la disponibilité de l'installation contribuera à hauteur de 1/10000° de la production nationale.
Vu le volume de mise aux enchères, il faudra des siècles pour arriver à 100% de renouvelable comme l'imaginent certains.
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Le gouvernement français a attribué 339 MW de nouvelle capacité photovoltaïque au sol lors de sa dernière vente aux enchères solaires, soit moins de la moitié de la capacité de 700 MW proposée.
Au total, 38 projets ont obtenu un tarif moyen de 68,51 € par mégawattheure, soit une augmentation de près de 10 € par rapport au prix moyen de 58,84 €/MWh accordé par le gouvernement français à 71 projets lors de son enchère de décembre 2021.
Q Energy France, anciennement la division française de RES, a dominé l'enchère en volume avec un seul projet de 66 MW.
Vous pouvez constater que le prix des enchères remonte de 10 € par rapport aux dernières enchères ?
C'est à cause de la hausse des prix des matières premières.
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EDF a gagné l'appel d'offre pour la centrale nucléaire de HINKLEY en Angleterre avec un prix de 108 €/MW.
A Flamanville le coût de production d'électricité par MWH est de 118 €/MWH.
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@moicmoi
"Le coût de l’électricité nucléaire revient à 49,50€ le MWh ".
Lorsque on avance une valeur d'une telle précision on doit savoir, d'où elle sort et surtout ce qu'elle contient, ou pas.
L'intégralité des frais de fonctionnement et des frais financiers de la filière.
L'électricité achetée au prix fort du fait de l'arrêt de 29 réacteurs sur 56.
Les décennies de travaux à prévoir pour le démantèlement.
Le stockage des déchets.
Sont dans les 49, ou dans les décimales?
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MCM un peu de sérieux s'il te plaît.
Les dernières enchères éoliens étaient à 60 €.
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MAXIMILIAN
« « Aujourd'hui sans les éoliennes le cours de l'électricité serait d'au moins 600 €. » »
Mais oui mon lapin.
En plein délire !
Encore une connerie sortie de ta cervelle, sans aucune base.
Et bien sûr, complètement faux .
Et pour commencer, tes 600 € correspondent à quoi . 1 litre ? , 1 M3 ? 1 Kw/h ?Comme quoi tu racontes n’importe quoi. Tu n’es absolument pas crédible.
Le coût de l’électricité nucléaire revient à 49,50€ le MWh .
Le coût moyen de production de l’électricité pour l'éolien onshore (terrestre) s’établit à 82€ le MWh, selon l’avis commun de la CRE et de la Cour des Comptes. L’éolien offshore (en mer) produit en revanche une électricité moins bon marché. Les résultats d’appels d’offres pour la construction des parcs éoliens au Tréport et à Noirmoutier permettent d’estimer ces coûts à 180€ le MWh.
Source : (entre autres)
https://prix-elec.com/energie/production
Mais on peut aussi aller sur le site de RTE, pour sortir un peu de tes sites de fournisseurs éoliens . Volontairement mensongers par omission de faire apparaître les énormes subventions et aides que NOUS leur versons.
Et encore consulter les rapports de la Cour des Comptes .
160 milliards de subventions prévues pour les 20 prochaines années (sans compter le frais annexes et surcoûts supportés par EDF) et sans compter les centaines de milliards d’euros déjà versés. (pour 2 % de production par intermittence actuellement )
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fukushima etait construire au niveau zero de la mer, je pense que la lecona été retenue
Si batir au niveau zero est un réel danger pour les habitation, alors pour les centrales...
Apres il existe des projets de CN sous la mer dont le projet Fleblue de mémoire a été
annulé mais encore à l'etude aujourd'hui. C'est des micro- centrales. A voir
Je ne pense pas que les seules solutions soient celles que vous répétez de la télé, a savoir photovoltaique et l'eolien.
Si changement de climat, secheresses, pénuries d'eau, manque d'irrigation, etc... soit une réalite durable,
alors ce n'est pas les éoliennes et le photovolt. qui vont nous sortir du bois.
Il faut chercher ailleurs, notemment à l'instar de l'Arabie saoudite, les États-Unis, les Émirats arabes unis, l'Espagne et le Koweït qui dessalent l'eau, peuvent boire, arroser, se laver et ... vivre normalement
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"Il n'y a pas que les fleuves pour refroidir les centrales puisque certaines refroidissent à l'eau de mer"
C'était le choix fait à Fukushima et on a vu le résultat.
Lors de la tempête de 1999 la centrale nucléaire du Blayais a été inondée, incident nucléaire classé au niveau 2.
Refroidir à l'eau de mer n'est donc pas une solution dénuée d'inconvénients.
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tous les fleuves ne sont pas a sec
Il n'y a pas que les fleuves pour refroidir les centrales puisque certaines refroidissent à l'eau de mer
On arrive bien aujourd'hui a dessaler l'eau de mer ET produire de l'électricité par l'electronucléaire :
"Le dessalement nucléaire est une solution bas carbone utilisant la chaleur et l’électricité d’un réacteur nucléaire. Les techniques de dessalement peuvent être combinées à différents types de centrales nucléaires pour produire simultanément de l’eau et de l’électricité
Ensuite le "comment faire " c'est aux spécialistes a repondre et trouver des solutions" Source IAEA
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Le problème du nucléaire c'est qu'il faut de l'eau.
La Loire est à sec en ce moment.
Comment faire pour refroidir toutes les centrales nucléaires sur la Loire ?
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Aujourd'hui sans les éoliennes, sans les rétrocessions aux producteurs individuels de photovoltaiques,
sans les subventions diverses, sans les milliards investis non rentabilisables dans les éoliennes,
en fonctionnant au nucléaire le MWH serait à moins de 40€
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Aujourd'hui sans les éoliennes le cours de l'électricité serait d'au moins 600 €.
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Bon, CMA-CGM reprend le service, la question qui se pose, pour les navires mixtes reliant les îles outre-mer, la métropole, la Corse, voir le Maghreb, l’Europe sur des navires mixte donc, des vacanciers avec des véhicules électriques. Prévoir les mêmes conséquences humaines dramatiques à venir. Personne, ne pourra nier le risque avéré.
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« a annoncé l’interdiction de charger et de transporter des véhicules électriques et hybrides à bord de ses navires. Cette décision fait suite à un grand nombre d’incidents ayant entrainé des incendies dans des cargos. .. // .. L'incendie et le naufrage du transporteur de voitures rouliers Felicity Ace [18] en mars 2022, avec la perte de quelque 4 000 véhicules, ont encore mis en lumière les risques associés aux véhicules électriques, et aux batteries au lithium en particulier »
En tout cas, les merdias n’en ont pas fait leurs choux gras, comme il le font avec le nucléaire. Ce n'est pourtant pas un fait ultra mineur , cette annonce.
Ah si ! Une fois ! Un bus qui a crâmé à Paris.
Y aurait-il des pressions et/ou menaces sur leur financement exercées par le puissant lobby des moulinettes ?
Heu....ne devrait-on pas plutôt parler de trahison énergétique ?
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Transition énergétique, arnaque ou progrès économiques.
Transition énergétique,
Passage progressif et programmé du modèle énergétique actuel, fondé essentiellement sur des énergies non renouvelables, à un bouquet énergétique conforme aux critères du développement durable.
TRANSPORT. Interdiction du transport des véhicules électriques par CMA CGM
CMA CGM, le leader mondial du transport maritime, a annoncé l’interdiction de charger et de transporter des véhicules électriques et hybrides à bord de ses navires. Cette décision fait suite à un grand nombre d’incidents ayant entrainé des incendies dans des cargos. Elle remet en question la possibilité d’une transition vers l’automobile électrique dans la Guyane et autres territoires isolés.
https://www.franceguyane.fr/actualite/economie-consommation/interdiction-du-transport-des-vehicules-electriques-par-cma-cgm-504276.php
EXTRAIT traduction non garantie.
Allianz Global Corporate & Specialty article en anglais
https://www.agcs.allianz.com/news-and-insights/expert-risk-articles/shipping-safety-22-losses.html
Les batteries lithium-ion ont de plus en plus d'impact sur la sécurité des transports, avec un certain nombre d'incendies. Ce problème soulève des questions sur la conception et les capacités de lutte contre les incendies des navires rouliers transportant des véhicules électriques (VE), ainsi que sur la déclaration, l'arrimage et l'emballage des cargaisons de conteneurs de batteries.
L'incendie et le naufrage du transporteur de voitures rouliers Felicity Ace [18] en mars 2022, avec la perte de quelque 4 000 véhicules, ont encore mis en lumière les risques associés aux véhicules électriques, et aux batteries au lithium en particulier. Étant donné que le navire a coulé, la cause exacte de l'incendie pourrait ne jamais être connue. Cependant, on pense que la présence de batteries lithium-ion à bord a aggravé les conditions.
"Les batteries lithium-ion sont un problème connu pour l'industrie du transport maritime et l'industrie logistique au sens large, où il y a eu un certain nombre de quasi-accidents dans les ports et pendant le transport", explique Régis Broudin, responsable mondial des sinistres maritimes chez AGCS. "Les batteries ne sont pas seulement une cause potentielle d'incendie, elles aggravent également le problème, car les incendies de batterie sont très difficiles à éteindre et ont le potentiel de se rallumer, des jours ou des semaines plus tard."
Une banque de recherche émergente dans les industries de la construction automobile et du transport maritime indique un risque d'incendie accru sur les transporteurs de voitures et les navires rouliers à partir de véhicules électriques. Des tests effectués par les clubs P&I [19] ont montré que les systèmes de gicleurs d'eau des navires ne suffisent pas à eux seuls à éteindre un incendie de véhicule électrique.
Message complété le 10/08/2022 14:21:29 par son auteur.
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