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Almas
« « Chers amis francophobes, vous pouvez continuer à cracher sur la France…. » »
Tes amis francophobes ne crachent pas sur la France, mais sur les guignols incapables, et parfois traîtres à la Patrie, qui sont sensés la gérer, depuis plusieurs décennies.
Nuance ! qui me semble d’importance.
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....et pour les francophobes XXL .
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C’est un peu une Matriochka
La croissance économique de la France est calculée à partir de l’évolution du PIB.
Le PIB est l’indicateur économique qui permet de mesurer la production économique intérieure réalisée par un Etat donc de quantifier la production de richesse, sur une période donnée, généralement un an ou un trimestre, grâce aux agents économiques résidant dans le pays concerné.
Calcul du PIB = sommes des valeurs ajoutées + TVA + droits et taxes sur les importations - subventions sur les produits.
Valeur ajoutée (VA) = Prix de vente d'un produit ou d'un service - coût de production du produit ou du service.
=> Si le coût de production est impacté par l’inflation (hausse des coûts de l’énergie, des matières premières, des salaires, des coûts de transport etc.) la VA, le PIB donc la croissance sont impactés par l’inflation et aujourd’hui avec des taux d’inflation entre 7 et 9% pas qu’un peu…
=> Dès lors comment expliquer une faible croissance de 0.5% au T2 comme celle de la France ?
Les entreprises, dans un monde internationalement concurrentiel, sont obligées de réduire leurs marges pour conserver leurs clients et leurs parts de marchés et même parfois cela ne suffit pas ; Elles sont donc obligées de recourir à l’emprunt pour financer de nouveaux développements ou d’investir ou même dans le pire des cas pour financer leurs dépenses courantes.
Résultat : Elles s’appauvrissent ; Les recettes fiscales ne suivent plus ; l’Etat déjà « en faillite », doit lui aussi, recourir à l’emprunt pour payer son fonctionnement courant, ses dépenses sociales (chômage, Urssaf, AF…) et ses propres investissements.
Cette spirale de l’endettement qu’il faut rembourser, pèse et appauvrit au final sur tous les français.
Tant que l’on ne comprendra pas cette mécanique basique, on s’enfoncera un peu plus.
L’augmentation du ratio de la dette n’est pas une bonne nouvelle pour la France. C’est une très mauvaise nouvelle. Une bonne nouvelle serait sa baisse.
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Almas
« « Chers amis francophobes, nous sommes au regret de devoir vous informer que les immatriculations de voitures neuves en France ont progressé de 3,79% » »
Donc, si je décortique ton message, et puisque tu regrettes que les immatriculations de voitures neuves en France ont progressé de 3,79% (ce qui est mieux , et réjouissant, qu’une régression des ventes à mon avis), tu serais un francophobes XXL ?
Ce qui m’étonne de la part d’un amoureux de macron. Ou alors, tout comme lui, tu détestes l’industrie Française ? Et tu préfèrerais la voir rachetée par les U.S. ?
Tu ne serais pas un peu binaire, des fois ? (je ne sais pas si le terme « trinaire » existe. Mais on peut l’inventer.)
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Encore faut-il que cette croissance ne soit pas artificiellement liée à l'inflation.
Je ne sais pas comment ils calculent exactement l'inflation, mais si pour eux une baguette de pain qui passe de 1 euro à 1,10 euro c'est 10% de croissance ça ne m'étonne pas qu'ils parlent de 2,3% de croissance ....
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"l''Insee évalue l'acquis de croissance (la croissance qu'on obtiendrait si l'économie stagnait pour le reste de l'année) à 2,5% pour l'année 2022."
Ca m'a bien fait rire!
C'est vrai que Lourdes , c'est en France, pays où tous les miracles sont permis.
Dans le temps, avec rien, Jésus multipliait les petits pains, c'est complètement ringard;
Aujourd'hui l'Insee fait bien mieux, toujours avec rien, elle multiplie le taux de croissance!!!
Grève de plaisanterie, et pas besoin d'être francophobe pour en faire le constat, il y a quand même un big problème entre notre taux de croissance et notre endettement (que la Cour des Comptes chaque année ne manque jamais d'épingler...). Ne pas le voir , ou refuser de le voir en est un autre qui n'arrange pas le premier.
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On peut réduire la dette en réduisant les rejets de CO2.
Moins d'inondation c'est moins de destructions.
Par exemple tous les camions qui vont de Nice à Paris ou l'inverse on les met sur des trains de marchandises.
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PIB en hausse de 0,5% au T2 après un -0,2% au T1, qui fait une croissance moyenne au forceps de 0,15% depuis le 01/01/2022 , mais une hausse du ratio de la dette de 1,9% sur les seuls 3 derniers mois.
Il est là le problème. La croissance française n’est due qu’à la hausse de son endettement qui lui s’accroît de façon quasi exponentielle.
Mais tout va bien….
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Un écran de fumée, des statistiques arrangées. Les problèmes qui se profile sont bien plus important.
Quand on met la tête dans le sable, pour ignorer les problèmes, on montre ses fesses…
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Vu l'augmentation vertigineuse de la dette en France (+3% pour le seul premier trimestre) toute comparaison avec les autres pays Européens concernant la croissance ou l'inflation est totalement dénuée de sens.
Bruno Le Maire peut toujours claironner avec ses 2.5% de croissance.
Pas surprenant dans un tel contexte que le 49/3 soit envisagé avant même l'ouverture de la session d'automne pour faire passer le budget en force.
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Les paysans Bretons sont obligés d'embaucher des Roumains pour travailler dans les champs.
Pour garder leurs ouvriers, les agriculteurs les logent.
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Inflation ?
Une vraie chance pour faire baisser le taux de chômage. Pourquoi ?
Mais simplement mécaniquement, je m’explique :
Les revenus d’un majorité de salariés ne suivant pas l’inflation, un certain nombre de ces mêmes salariés devront postuler à un deuxième emploi…
CQFD
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"l'Allemagne. est le pays le plus pauvre d'Europe car, on vend beaucoup, certes, mais...à crédit !!"
De quoi se plaint il Horst?
Nous en France on achète tout le chômage, les retraites, les soins hospitaliers, les vacances, le pétrole, le gaz...même l'argent pour payer nos dettes etc...mais à crédit !!!
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Que le taux de chômage soit à 10 ou même 7%, il est de 7 à 10 fois plus élevé que dans certains états européens., parfois même sans beaucoup de ressources.
Anglo- normandes, Andorre, Monaco,...Suisse, Pays Bas et même la " grande " Allemagne, dont l.un de ses porte paroles sur youtube vient de déclarer, l'Allemagne. est le pays le plus pauvre d'Europe car, on vend beaucoup,certes, mais...à crédit !!
Vidéo de Horst Luening, you tube, ancien ingénieur en aéronautique.
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Oui mais, "Rapporté aux 102.500 emplois créés dans le privé lors du même trimestre, "on aurait pu s'attendre à une baisse du chômage",
Même pas une baisse du chômage! et dire que ça va remonter à toute allure à la fin de l'année...
Bon il reste encore 3 semaines de vacances....
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Un taux de chômage stable, un taux d'emploi qui bat des records: le marché du travail confirme sa bonne santé lors du deuxième trimestre 2022, malgré un contexte économique morose et les inquiétudes nées d'une inflation au plus haut depuis 37 ans.
Selon les chiffres du chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) publiés vendredi par l'Insee, le chômage se stabilise à 7,4% de la population active en France (hors Mayotte), soit 2,3 millions de personnes, contre 7,3% au premier trimestre 2022.
Le nombre de chômeurs égale ainsi son niveau du quatrième trimestre de l'année 2021, et reste inférieur de 0,8 point à son niveau d'avant-crise, fin 2019.
"Depuis la sortie du plus dur de la crise sanitaire, l'emploi est très dynamique", relève auprès de l'AFP Sylvain Larrieu, chef de la division synthèse conjoncturelle du marché du travail de l'Insee.
Rapporté aux 102.500 emplois créés dans le privé lors du même trimestre, "on aurait pu s'attendre à une baisse du chômage", note cependant Eric Heyer, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).
D'autres indicateurs attestent la bonne santé du marché du travail: le taux d'emploi de la population (de 15 à 64 ans) se stabilise à 68% (+1 point par rapport au 2e trimestre 2021), du jamais vu depuis 1975 et les premières mesures effectuées par l'Insee.
Il atteint même son plus haut niveau historique chez les 50-64 ans (66%, +0,5 point sur un an).
Le taux d'activité (qui calcule le rapport entre nombre d'actifs et population générale) atteint les 73,5% (+0,1 point). C'est surtout chez les jeunes (15-24 ans) qu'il augmente: +1,1 point à 42,5%.
Pour Eric Heyer, ce taux d'activité indique que, à la suite de la crise sanitaire, "plus de personnes s'inscrivent sur le marché du travail, à l'opposé du phénomène observé aux Etats-Unis où il y aurait une grande démission".
- Qualité de l'emploi -
C'est en clin d'œil à la journée internationale de la jeunesse qu'Olivier Dussopt, ministre du Travail a salué sur Twitter le "plus fort taux d'emploi et d'activité des jeunes depuis 1990", tout en rappelant l'"objectif emploi et formation pour tous".
Le développement des contrats en apprentissage explique en partie ces chiffres, selon Eric Heyer: "Les jeunes, pendant leur scolarité, intègrent ainsi le taux d'emploi".
Le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) augmente de 1,3 point lors du deuxième trimestre, à 17,8%. Mais "comme il avait beaucoup baissé en 2021, il reste inférieur à son niveau d'avant-crise", de 3,7 points, indique Sylvain Larrieu, de l'Insee.
Dans les autres catégories d'âge, le taux de chômage est quasi stable chez les 25-49 ans (+0,1 point, à 6,7%), et il diminue de 0,3 point chez les plus de 50 ans (à 5,2%).
Dans le détail, le taux de chômage de longue durée (au moins un an) est en très légère baisse, à 2,1% de la population active (-0,1 point) et demeure inférieur de 0,3 point par rapport à son niveau d'il y a un an.
Quant à la part du sous-emploi (personnes au chômage partiel ou à temps partiel et souhaitant travailler plus), elle diminue de 0,1 point sur le trimestre, à 4,6% des personnes en emploi, son plus bas niveau depuis 1992.
"La qualité de l'emploi s'améliore", déclare Eric Heyer.
La définition du chômage par le BIT ne prend pas en compte le "halo autour du chômage", soit les chômeurs qui ont envie de travailler mais sont indisponibles pour reprendre un emploi ou pas en recherche active. Cette catégorie comprend 1,9 million de personnes au 2e trimestre (+0,1 point).
Le président Emmanuel Macron s'est fixé pour objectif d'atteindre le plein emploi à l'horizon 2027, ce qui correspond selon les économistes à un taux de chômage autour de 5%.
Pour cela, le gouvernement mise sur trois réformes: l'assurance chômage, la transformation de Pôle emploi en "France Travail" et l'attribution du RSA sous condition d'avoir une activité.
© 2022 AFP
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