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URSULA VON DER LEYEN veut taxer les supers profits des producteurs d'énergie renouvelable.
Le problème c'est que NEOEN et VOLTALIA ont perdu de l'argent au S1 2022.
On fait comment maintenant ?😳😳😳😳😳😳
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Sachant qu'il y a toujours du vent à un endroit de l'Union Européenne, je propose que 50 % de la production d'électricité à partir de l'éolien soit revendu aux pays qui manquent d'électricité.
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Il faudrait supprimer le système des enchères éolien ou solaire qui favorise les multinationales.
On sait très bien que les 7 premières années les entreprises perdent de l'argent.
Seul les entreprises qui ont les reins solides peuvent se permettre de prendre les enchères les plus basses.
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https://www.edf-oa.fr/content/contrat-de-compl%C3%A9ment-de-r%C3%A9mun%C3%A9ration-e17
Cette nouvelle loi risque de faire monter le prix de l'électricité verte.
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MAXIMILIAN
« « EDF achète l'électricité des parcs éoliens .. // .. Je vais te dire pourquoi ? Parce que l'éolien lui rapporte trop d'argent ! » »
Merci du tuyau, mais figure-toi que je ne suis pas complètement idiot comme tu sembles le croire, bien que inculte car non planté béat devant les films télé, que je sais lire divers ouvrages, y compris scientifiques, (non pas une seule source comme toi) et que suis capable de réfléchir. Il me reste au moins encore 1 neurone en bon état fonctionnement
EDF est OBLIGE de racheter l’éolien, nuance ! Et de lui donner priorité d’injection sur ses réseaux (obligé par l’état et Bruxelles) , au détriment de sa propre production.(ce qui pèse énormément sur ses comptes et nos impôts) .
Je dénonce cette arnaque, ce scandale d’état, car l’état et Bruxelles méprisent complètement les lois de la concurrence qu’ils imposent au secteur marchand. 80 % des revenus des sociétés vertes sont des aides et subventions ! Et le foutu soit disant Marché de l’électricité est une ineptie. C’est l’action des lobbies verts qui n’ont aucune culture économique.
Autrement dit, l’état verse des milliards à quelques individus voraces et sans scrupules . aidés en cela par les banques qui prêtent des fortunes sur ce placement sans risque aucun. Par ex : Valorem (J.Y. Grandidier, pas un smicard celui-là) avec un apport de 3.9 millions, (même pas sûr que c'était son pognon perso) a obtenu un prêt bancaire de 409 millions !
A noter que tous sont soit des financiers étrangers qui savent flairer les bonnes opportunités de sources de profits faciles , abondants et garantis par les états, soit des gens très proches du Pouvoir.
On se fait tous baiser, y compris toi.
JEAN BERNARD LEVY, comme bien d’autres gros patrons ((total, engie, familles Peugeot, Hallay, Pâris Moratoglou, Neoen, etc …) pas plus idiots que ça, l’ont bien compris et se sont engouffrés dans cette brèche. Ils ont amassés des milliards en qqs années. Sur notre dos.
Oú tu as raison , c’est de dire l’éolien est un bon placement (très justement dénommé l’or vert), car quoi qu’il arrive, l’état (c’est-à-dire NOUS) paye casch.
Figure-toi que, pas plus con que ça, je fais des A/R juteux sur ce secteur.(ça me rembourse un peu de mes impôts)
Oú j’ai raison , c’est de dénoncer l’arnaque de grande ampleur : des centaines de milliards versés aux copains par le Pouvoir. Je ne suis rien d’autre qu’un lanceur d’alerte.
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MCM bonsoir.
EDF achète l'électricité des parcs éoliens 60 € /MWH.
EDF revend l'électricité des parcs éoliens 500 €/MW en moyenne en ce moment.
Est-ce que tu n'es pas étonné de ne jamais entendre JEAN BERNARD LEVY critiquer l'éolien ?
Je vais te dire pourquoi ?
Parce que l'éolien lui rapporte trop d'argent !
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LBWB
« « quelle horreur. J'aimerai bien connaitre l'empreinte CO2 de ces fondations .. // de panneaux serait moins couteux et plus proches des lieux de consommation. Mais c'est vrai on ne pourrait plus vous faire payer les couts et taxes d'acheminements. » »
Pour la petite histoire : le CO2 est nécessaire pour nourrir les plantes , (sous le nom barbare de photosynthèse , bien qu’il n’ait rien à voir avec mon appareil photo), ce qui comprend les plantes fourragères , alimentaires humaines , et autres (médicinales, ombrages, bois de construction, (sans chênes, pas de N.D de paris), etc , ) .
C'est le CO2 qui donne à notre cerveau le signal d'inspirer de l'air pour oxygénation et transport par le sang.
Dans les périodes géologiques du Crétacé , le « poids » du CO2 était nettement plus abondant que de nos jours,(recrudescence du volcanisme et incendies de forêts,) et que les végétaux étaient gigantesques. (ce qui a permis d’enfanter le charbon et le pétrole).
il sert de crème solaire contre les rayons ultra-bleus du soleil, ll maintient par un subtile mélange les conditions de vie sur la planète Terre, (sans tout cela, la température estimée serait en permanence à -30C°) , et donc, sans CO2, et le fameux "bouclier thermique", il n’y aurait pas de vie possible sur Terre.
Mais, pour les moulinettes, Y'a pas que le béton : armatures acier, métaux conducteurs, terres rares (se renseigner sur les conditions de travail des enfants dans les mines, en Afrique ou ailleurs), transports, chemins d’accès aux chantiers, travaux de gros-œuvre et autres, quid du recyclage : dépollution, remise à l’état naturel des terrains, monopolisation des terrains cultivables (c’est plus gratifiant de voir tourner une moulinette pour alimenter sa télé (quand il y a du vent) que d’avoir une tartine de pain beurrée sur votre table), sachant que pour atteindre l’objectif « vert » il faudra 5 à 10 fois plus de moulinettes. Et donc, 5 à 10 fois plus de moyens de remplacement entretenus prêts à démarrer dans la minute qui suit, (pilotable qu’y disent) pour etc etc
Sinon, on fait comment ? ….. les jours et nuits sans vent et/ou soleil., ? On pédale ?
« « Couvrez les toits de France et de Navarre de panneaux serait moins couteux et plus proches des lieux de consommation. » »
Sauf que : des millions de dizaines ou centaines de lignes à construire pour acheminer le courant « vert », entre lieux de production et lignes de transport, ça représente combien de millions d’euros et entretien (et CO2) en investissement (aux frais du contribuable, faut-il le rappeler ?) au final ? En plus du coût des moulinettes !
Quant aux impôts et taxes , ne te fais pas de souci pour cela : à bercy nous avons des magiciens pour en inventer. C’est le numéro 1 de leur feuille de route, de leur instruction.
Si leur objectif était de diminuer les taxes, aujourd’hui nous ne paierons pas le prix du Diesel plus de 1 euro le litre.
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Petite précision méga importante : « produire 400 TWh par an » ne veut pas dire « produire 400 TWh utiles à la communauté ».
Bien au contraire, EDF ( c. à d. NOUS) est obligée de racheter toute la production , qu’il y en ait besoin ou pas ! Et de balancer le surplus en terre.
Et ce, au profit de sociétés étrangères, la France ne fabricant pas , et n’étant même pas assembleur.
Et les profits des producteurs verts (sociétés étrangères eux aussi) sont issus de nos impôts à hauteur de 80 %
C’est une arnaque, et on se fait empapaouter en grand. Un vrai scandale d'état !
Dans ce dossier, l’Europe, si prompte et pointilleuse à condamner et refuser des fusions-acquisitions entre entreprises privées européennes au nom de la concurrence, et/ou subventions des états membres, enfreint toutes les règles de la concurrence qu’elle a elle même édictées, en OBLIGEANT les états à promouvoir l’éolien. (à se demander si il n’y aurait pas une histoire de pots-de-vin et de pression de lobbies, ce dont je suis persuadé.)
On tient là l’une des motivations du projet de nationalisation de EDF . ça , et tenir les copains à macron à l'écart des pertes et gros chèques à allonger.
Il en ira autrement pour le contribuable.
On se réveille quand ? Il est déjà bien tard.
Enfin,....si vous aimez bien ça....ne changeons rien.
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Tout ceci est beau sur le papier.
Mais que faire avec les antis éoliennes ?
Les associations comme VENT DE COLÈRE nous font perdre du temps et de l'argent en frais d'avocats !
Ils balancent des recours sur recours à l'arrivée certains projets mettent 10 années avant d'aboutir.
2) Que faire contre les prefets qui interdisent ou arrêtent la production de certains parcs éoliens ?
On vous autorise à produire, puis on ordonne l'arrêt de votre parc éolien sous prétexte que votre parc éolien fait 92 décibels de bruit au lieu de 90 décibels.
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Le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, que le gouvernement veut faire adopter à l'automne pour rattraper le grand retard de la France dans l'éolien et le solaire, est accueilli avec une satisfaction prudente par la filière mais suscite des inquiétudes chez certains défenseurs de l'environnement.
Au menu du texte de 20 articles: des mesures transitoires pendant 48 mois pour simplifier les procédures (allégement des obligations d'évaluation environnementale ou extension du vote du public par voie électronique), la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers), une mutualisation des débats par façade maritime pour l'éolien en mer.
Le texte encourage encore le "partage de la valeur" des projets renouvelables auprès des riverains, qui y seraient ainsi plus favorables.
Le Conseil d'Etat et le Conseil national de la transition écologique viennent d'être saisis sur ce texte, qui devrait être présenté au Conseil des ministres mi-septembre.
"La France accuse un retard", par rapport à ses voisins européens, reconnaît le texte dans son exposé des motifs, mettant en cause des lourdeurs administratives et juridiques.
Il faut ainsi 10 ans pour développer un parc éolien en mer, deux fois plus longtemps qu'ailleurs. La France vient seulement de produire des électrons en provenance de son premier parc marin, au large de Saint-Nazaire.
Le pays hôte de l'accord de Paris contre le réchauffement climatique est généralement en retard sur son plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre et Emmanuel Macron a annoncé en février une hausse des objectifs sur les renouvelables.
La France veut multiplier par dix les capacités solaires pour dépasser les 100 GW et déployer 50 parcs éoliens marins pour atteindre 40 GW d'ici 2050. Le doublement de la capacité éolienne terrestre à 40 GW sera en revanche plus lent que prévu, en 10 ans au lieu de 30.
"Il y a beaucoup de bonnes idées" dans le projet de loi, salue Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables (SER).
"Sur les mesures de simplification on est évidemment très favorable, notamment sur l’éolien en mer": "ça peut raccourcir beaucoup les délais de développement des projets", note-t-il.
Mais il reste prudent: "Beaucoup de choses vont se décider dans les décrets".
- "Indéfendable" -
L'accueil est en revanche beaucoup plus négatif à la Ligue de protection des oiseaux (LPO), qui regrette un projet "purement sectoriel" qui "oublie complètement les enjeux de biodiversité".
"Comment peut-on aller mettre de l’éolien dans les sites naturels protégés, les sites Natura 2000, les couloirs de migration ?", s'agace Yves Verilhac, directeur général de la LPO.
"L’IPBES (les experts biodiversité de l'ONU) dit que l’artificialisation des milieux est la première cause d’effondrement de la biodiversité. Or là qu’est-ce qu’on propose? D’aller mettre des panneaux photovoltaïques plein champ dans des secteurs où c’était impossible avant, en dérogeant à la loi montagne, à la loi littoral etc."
"Les meilleurs alliés des énergies renouvelables, comme la LPO, décrochent. C’est indéfendable", juge M. Verilhac.
Certaines mesures soulèvent aussi des problèmes juridiques, comme la possibilité de "relever plus facilement les seuils de soumission à évaluation environnementale systématique", inscrite dans le texte. L'idée est d'exempter les petits projets de cette procédure longue et coûteuse.
Une mesure qui irait à l'encontre du principe de "non-régression", qui découle de la loi de 2016 sur la biodiversité. Ce principe dispose que la protection de l'environnement "ne peut faire l'objet que d'une amélioration constante".
Le projet de loi "le neutralise en expliquant que c'est un principe symbolique, décoratif, et qu’on ne pourra plus s’en prévaloir devant un juge", explique l'avocat Arnaud Gossement.
"C’est la première fois de l’histoire du droit de l’environnement que le législateur serait amené à neutraliser un principe général du droit qu’il vient de créer (...) c'est très dangereux parce que ça crée un précédent", estime-t-il.
Selon l'avocat, il est possible de simplifier les études d'impact sans pour autant détricoter ce principe du droit environnemental, par exemple en allégeant l'étude ou en mutualisant les frais.
Un débat que devront trancher les parlementaires, en octobre si le calendrier gouvernemental est maintenu.
© 2022 AFP
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