CAC 40: regain d'inquiétudes autour de la crise énergétique

Quand Arcelor ferme des usines on nous dit que cela serait très bien parce-que c'est le sens du partage de l'UE. Mais je ne comprends pas alors pourquoi offrir l'usine aux Espagnols ou au Mold...Cela ne fera qu'activer les vols de jets d'affaires si honnis par nos blancs zécolos et nos rosettes écologistettes. Il serait beaucoup plus indiqué de les confier à Monaco, dont la seule industrie est un bétonnage intensif sur une petite surface, alors qu'on peut envoyer un petit cercle d' états-major de ces usines à Monte-Carlo et on aura rétabli l'égalité européenne sans perdre les usines, les ingénieurs, les ouvriers hautement spécialisés et tout et tout.

Il faudrait ne pas confondre les points de vues politiques des énarques ou des élus (quelquefois ils sont les deux...) avec les problèmes scientifiques traités par les ingénieurs. Monsieur l'actuel PDG d'EDF est diplômé d'une des trois plus grandes écoles d'ingénieurs françaises sinon peut-être doublement diplômé de deux d'entre-elles, je ne fais pas une étude ici et maintenant sur nos doubles diplômes qui forgent l'élite de l'élite. On a rappelé cet ingénieur et dirigeant chevronné pour remonter EDF. Il a pris en compte toute la situation et maintenant sans attendre tous les résultats des progrès on voudrait le déposséder de son poste tout en le rendant responsable de l'héritage mal géré par ses prédécesseurs. C'est un peu trop fort de café; les politiques ont perdu la tête et ne se rendent pas compte que pour s'exonérer de la responsabilité financière de choix restrictifs qui ont empêché un entretien normal, de choix qui visaient a supprimer l'industrie nucléaire pour complaire aux écolos allemands très écoutés en "UEland", ils racontent des non-sens que tous les ouvriers d'EDF et même le plus simple apprenti peuvent déjouer. Renvoyons dans la même cour de récréation, à l'ENA, le politiciens et certains DG d'EDF qu'ils avaient sorti de la cour politique pour leur donner un beau rôle, très mal rempli et gardons les ingénieurs de haut niveau là où leurs mérites sont indispensables. Toujours se souvenir que le temps de gestation pour les politiques est maintenant de une à plusieurs idées par jour, mais que leur mise en oeuvre n'est souvent jamais commencée. Changer de Chef à la tête d'EDF c'est retomber dans les pire politicailleries avec une glissade accélérée vers...le néant.

Le chef a toujours raison même s’il a tort et le résultat ne sait pas fait attendre :

https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Nucleaire-Macron-critique-les-propos-inacceptables-du-patron-d-EDF-1823688

Lamentable ce comportement, une fois de plus.

Hélas, ce n’est pas fini. On glisse vers les 5900 et après vers 4500 en fin d’année. Si pas de réponse cohérente de l’Europe à la gravité de cette Crise énergétique. Les industries electro- intensives à la peine :

Acier avec les filières qui en découlent.

La chimie et d’autres vont suivre…

Hé ! Les mous à la barre de la gouvernance, il serait temps de se réveiller.

"c'est incroyable la clairvoyance de nos dirigeants, ils s'aperçoivent en sept. qu'ils vont se les geler !"

Ca n'empêche pas l'UE de donner à l'Ukraine une aide de 500 millions d'euros qui sera consacrée au logement et à l'éducation des personnes déplacées ainsi qu'à l'agriculture de ce pays en guerre.

c'est incroyable la clairvoyance de nos dirigeants, ils s'aperçoivent en sept. qu'ils vont se les geler !

Bonjour les neuneux !!

Disons que les US sont très.influents à Paris. Donc toujours se méfier d.un big move en hausse ...ou en baisse sur le DOW.

Je viens de lire que la bourse d'Athènes est entièrement aux mains des US !

La bourse d'Ankara,...je l.avais appris il y a au moins 5 ans, idem !

On achète le vendredi, pour pleurer le lundi.

Les raisons de la hausse soudaine de vendredi (qui avait uniquement permis au CAC de faire du sur-place sur la semaine) étaient bien minces.

On doute un peu que l'emploi américain ait un très gros effet sur l'économie Européenne.

Par contre lorsqu'on voit Arcelor fermer des usines, cela ne constitue pas vraiment un bon indicateur.

RDV avec le CAC à 5900 points.

(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris devrait ouvrir en net repli lundi matin, à l'instar des autres places de la planète, en réaction à l'aggravation de la crise de l'énergie et à ses possibles répercussions sur l'économie européenne.

Vers 8h15, le contrat 'future' sur l'indice CAC 40 - livraison septembre - lâche 134 points à 6033,5 points, signalant un trou d'air de plus de 2% dans les premiers échanges.

Le géant du gaz russe Gazprom a indiqué vendredi soir, après la clôture des marchés européens, qu'il ne prévoyait plus de redémarrer comme prévu le gazoduc Nord Stream 1, après plusieurs jours de travaux de maintenance.

L'annonce est venue raviver le spectre d'une pénurie d'énergie en Europe, renforçant le scénario d'une entrée en récession et remettant en cause la capacité des dirigeants européens à trouver une réponse crédible à la crise.

'Les derniers développements de cette affaire sont susceptibles d'entraîner une destruction supplémentaire de la demande et de mettre les politiciens dans une situation délicate à l'approche de l'hiver', réagit-on chez RBC.

Sur le marché des changes, l'aggravation de la crise énergétique pèse lourdement sur l'euro, qui se traite désormais sous la barre de 0,99 face au dollar, une première en près de 20 ans.

Les inquiétudes entourant l'évolution de la situation avaient déjà amené Wall Street à céder du terrain vendredi soir. Le Dow Jones avait reculé de près de 1,1% et le Nasdaq Composite avait fini sur un repli de 1,3%.

Le recul des places asiatiques ce lundi n'a fait qu'ajouter à l'incertitude ambiante, puisque les marchés ne pourront pas se raccrocher à l'évolution de Wall Street, qui restera fermée aujourd'hui pour le jour férié de 'Labor Day'.

La tendance semble désormais être devenue très instable, en témoigne l'indice de volatilité VIX du CBOE, désormais bien ancré au-dessus de la barre des 25 points.

Relativement optimistes la semaine passée suite à l'annonce des pays du G7 de leur volonté de plafonner les prix du pétrole, les investisseurs sont désormais prudents quant à l'issue de la crise.

Le retour de certains investisseurs sur les Treasuries américains, qui jouissent de leur statut de valeur refuge en période de crise, illustre bien la frilosité des marchés.

Dans ces conditions, les intervenants vont se montrer très attentifs aux indicateurs économiques avant la réunion de la BCE, qui devrait relever ses taux d'au moins 50 points de base à l'issue de sa réunion de jeudi.

Ce lundi, les opérateurs se pencheront en particulier sur les indices d'activité PMI dans le secteur européen des services, ainsi que sur les derniers chiffres des ventes de détail en zone euro.

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