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Tout ceci me rappelle le discours de C Lagarde un an plus tôt. Les politiques quoi! Les rois du Bla-Bla-bla.
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« …la prévision de croissance surévaluée »
Tu dis ça au doigt mouillé ? 😊
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Vous êtes trop forts, les gars ! Capables de juger si le budget du pays est réalisable ou pas sur les seules données dont vous disposez. Moi, je dis chapeau bas ! 😊
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Heu ... C'est celui qui disait mettre l'economie .RU à genoux ?
il est autant crédible que Tapie quand il disait qu'il allait remettre à flot les entreprises qu'il "achetait" à 1Franc et qu'il se battait pour les employés....
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Heureusement que nous n’avons pas de mémoire.
Qui se souviendra de cette prédiction de 3% pour 2024 ? Vous, moi ? Non nous serons passés à autre chose.
C’est qu’ils nous connaissent bien tous ces politiques…
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tirelire19
« « Le budget prévisionnel 2023 de la France actuellement soumis par le gouvernement à l' assemblée nationale est caduque, les objectifs sont irréalisables. » »
D’accord à 100 %.
Un budget prévisionnel d’entreprise , ou d’association, se doit d’être réaliste et sincère. (*) C’est une obligation imposée par les politicons , mais non applicable à eux même.
(*) les actions non finançables, ou non viables, ou rejetées par l’ A.G. ne sont pas engagées ou pas menées à leur fin..(chez moi, 45 ans de bénévolat au sein d'assos 1901, ça laisse des traces.)
« « Les oppositions sont encore moins crédibles en cause leurs dépenses nettement supérieures non financées » »
Et il faut noter que, pas plus que la majorité, ou ceux en place, que l’opposition , JAMAIS ils ne réclament des economies sur le fonctionnement . Et surtout pas sur le train de vie de l’état : Nb de parlementaires, re-casages (recyclage) des « rejetés », suppression des avantages offerts aux anciens z'élites, licenciement définitifs des « chèvres » et des condamnés (voire mis en examen) pour « indélicatesses », production d’un casier judiciaire B2 vierge pour postuler, baisse des salaires et dotations des parlementaires, alignement des régimes « parlementaires » sur le commun des mortels, ….
« « sans compter une inflation qui va accélérer, des faillites de PME, une chute de la consommation, une reprise de la hausse du chômage, une hausse des taux d' intérêt, un krach de l' immobilier etc.. » »
Tout ceci, ils le savent, mais ils le taisent pour ne pas affoler la populace (et pour continuer à profiter du système,), ....qui finira par s’en rendre compte.
Des fois, je me demande si on ne nous prend pas pour des enfants de canards sauvages.
A propos des z'élites qui ont été poussés dehors : combien d'entre eux ont fait, depuis, des étincelles dans le privé ? Par ex Fillon, Montebourg, Fleur Pellerin ....Leurs entreprises ont prospéré de 10, 50, 100 % par an ?
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Le budget prévisionnel 2023 de la France actuellement soumis par le gouvernement à l' assemblée nationale est caduque, les objectifs sont irréalisables.
Les oppositions sont encore moins crédibles en cause leurs dépenses nettement supérieures non financées sans compter une inflation qui va accélérer, des faillites de PME, une chute de la consommation, une reprise de la hausse du chômage, une hausse des taux d' intérêt, un krach de l' immobilier etc..
Que voulez vous, il faut être optimiste sans être réaliste
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Et pourquoi pas une inflation entre 7 et 8 % à la fin de l'hiver.
Le discours de Monsieur Le Maire peut paraître trompeur mais il est surtout destiné à calmer les futures ardeurs de ceux qui pourraient être prêts à manifester à nouveau dans la rue.
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Ce qu’il oublie de dire, ce zèbre mal rayé, c’est qu’il faut s’attendre à énormément de faillites de PME, et à une période de récession, donc moins de rentrées fiscales.
Et pas d’économies à l’avenant de la part de l’état sur son fonctionnement. (sauf à rogner sur le social, sur nous et/ou sur notre épargne)
Donc, il peut ranger sa boule de cristal et ses mensonges tout au fond d’un placard.
Quant à l’inflation, elle est essentiellement le fait de « l’extérieur », et donc, sans réel pouvoir d’agir de nos gouvernants.
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La fin des remises sur l' essence, la hausse du prix du gaz de 15% le 1er janvier, la hausse de l' électricité de 15 % le 1er février sans compter toutes les hausses annexes dûes au réajustement des discussions entre producteurs et distributeurs sur les prix, l' explosion de l' inflation des produits laitiers, la hausse du prix du tabac, etc....
Ça va peser !
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Bonjour à toutes et à tous,
Bonjour Tirelire,
Il y a toujours une part de vérité ailleurs.
Vous verrez, si ça marche ce sera grâce à nous! Si ça échoue ce sera la faute aux autres.
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Le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire a déroulé jeudi ses objectifs en matière d'inflation, affirmant vouloir la ramener à 5% début 2023, 4% fin 2023 et 2% courant 2024 mais prévenant qu'en cas de crise "tout pourrait voler en éclats".
"Sur l'inflation je vous donne des objectifs et ce ne sont que des objectifs, pas des prévisions, nos objectifs seraient de ramener l'inflation à 5% début de l'année 2023 puis 4 à la fin de l'année 2023 puis 2 dans le courant de l'année 2024", a-t-il déclaré lors d'un débat consacré à la protection des entreprises organisé par le cabinet ARC.
"Je ne sais pas si nous les atteindrons, il suffit que la crise dégénère en Ukraine pour que tous ces chiffres volent en éclat, il suffit qu'il y ait une crise majeure en Chine pour que tous ces chiffres volent en éclats j'en ai conscience, donc je les donne avec beaucoup de prudence", a-t-il ajouté.
La hausse des prix à la consommation en France a ralenti à 5,6% sur un an en septembre, contre 5,9% en août, selon l'Insee qui doit publier la semaine prochaine sa première estimation pour le mois d'octobre.
L'institut statistique prévoyait toutefois dans sa note de conjoncture pour le dernier trimestre un rebond de l'inflation à la fin de l'année après une stabilisation en octobre.
Bruno Le Maire a insisté sur la nécessité de "rassurer" les Français sur l'inflation, ajoutant que ses objectifs constituaient son "plan de bataille" car "tout est supportable sauf l'inflation".
Selon lui, la hausse des prix est "génératrice d'angoisses" pour les ménages. "Ce n'est pas simplement une difficulté économique, c'est une difficulté sociale, une difficulté politique, les gens se sentent pris à la gorge (...) et c'est comme ça que démarrent les crises politiques", a-t-il martelé.
© 2022 AFP
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