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L'Allemagne inaugure son premier terminal méthanier pour tourner la pa

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moicmoi moicmoi
18/12/2022 13:14:03
0

Dubaisan
« « Les négociations entre les énergéticiens ..//.. patinent…//.. ne veulent baisser leurs prix...? Comme c'est étonnant....
» »

Je dirais même plus : c’est ….étonnamment surprenant. Very abrancadabresquement surprenant dans toute sa surprenantitude. (Non non, je ne me moque de personne.)

Quoi que ….imaginons que je sois producteur de salades, et avec un esprit vachement mercantile, voire pourri. La grande mode écolo veut que nous mangions des kilos de salade à chaque repas.
La demande explose.
Ce que voyant, je pratique la valse à 1 000 temps des étiquettes. M’en fout, même très cher, la demande persiste, et moi je fais gonfler mon matelas.

C’est l’image - fiction que l’on peut coller aux énergies fossiles. (j'ai de l'imagination, hein ...)

Et, prochainement, ce sera idem pour les terres rares, le lithium, le tritium, …et tous les trucs en «… iums » nécessaires pour la fabrication d’éoliennes, panneaux solaires, et batteries de stockage.

L’indépendance énergétique, disiez-vous ?

N'oubliez pas d'éteindre la lumière en sortant. L'abondance, c'est fini.

(Des fois, j'me demande si....)

  
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moicmoi moicmoi
18/12/2022 12:53:00
0

lecout
« « ce sont les allemands qui ont organisé le sabotage du nucléaire français
» »

Je ne pense pas. Les allemands ne sont que des porte-drapeaux. Le prédateur, c’est Greenpeace – organisme non gouvernemental , fiancé par ?..... l’ONU. Et l’ONU c’est tout simplement les ricains. Et les ricains, en matière d’entourloupes, magouilles, faux scénari, manipulations, ..ils savent faire. (quand on gratte le vernis, on trouve ce qu'il y a en sous-couche)

Ne pas perdre de vue que les ricains, dès 1945, voulaient être les seuls maîtres du nucléaire. Tant civil que militaire.

Et, de plus, ils sont gros producteurs de pétrole et de gaz de chistes.
Et leurs manipulations (Greenpeace, Ukraine, E.U.) ( E.U. = Départment américain) , etc…) sont Ajd payantes puisqu’ils nous vendent du pétrole et gaz au prix qui leur convient, pour remplacer les produits russes.. C à D cher.

« « Les lobies en tous genres sont très actifs et infiltrés. » »

Et beaucoup plus qu’on ne pourrait le penser. Les verts ont investi tous les organismes décisionnels en France. Jusqu'au PR, depuis miterrand.

A Bruxelles, ils tiennent bureau permanent. Et dernièrement, on a appris que, soi-disant- ils payent des canons (à boire mais pas boum-boum) à tout le monde le vendredi, au point de….
(On peut même imaginer qu’ils payent l’herbe qui fait rigoler, vu les prises de décisions des bruxellocrates.)

Ils vont même, paraît-il, jusqu’à écrire les textes des « recommandations »européennes (injonctions aux états-membres) , que les députés européens adoptent sans en changer la moindre virgule.

  
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Dubaisan Dubaisan
18/12/2022 12:31:52
0

Les négociations entre les énergéticiens allemands --RWE et Uniper en tête-- et les principaux fournisseurs mondiaux, comme le Qatar, les Etats-Unis ou le Canada, patinent.

Personne, ni le Quatar, ni les "amis" ne veulent baisser leurs prix...? Comme c'est étonnant....

  
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lecout lecout
18/12/2022 09:57:40
1
De plus ce sont les allemands qui ont organisé le sabotage du nucléaire français voir le brillante démonstration de Bigot sur cnews. Les lobies en tous genres sont très actifs et infiltrés.
  
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papygaga papygaga
17/12/2022 22:33:00
2

"Mais il est à remarquer que les dirigeants politicons soit-disant acquis à la cause verte ne font pas plus de commentaires, eux non plus...Silence radio de mise."

A vrai dire, je crains qu'il ne soient plus occupés à compter les billets "tombés" d'une valise, qu'à régler les problèmes du monde....

la capacité de traitement sur un tel boat est moindre qu'une usine de traitement terrestre, toute la différence entre une maison en dure et une tente.

il faut reconnaître que l'effet d'annonce est pas mal pour leur petit gadget car il faut bien contenter la plèbe et obtenir une victoire politique.

  
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moicmoi moicmoi
17/12/2022 21:55:27
1

Les navires qui transportent le GNL (qui vient de quelle région du monde ? dans quelles conditions d’extraction « propres » ?), propulsés par une énergie la plus polluante qui existe.

Et ce GNL transporté, produit de l’électricité à 3 fois O % de CO2 ? Ou plus propre encore ?

C’est curieux, mais là, pour le coup, les écolos anti-nucl., on ne les entend pas. Muets comme des carpes variété « ventre en l’air ».
Sans doute de peur de mettre en lumière la connerie de leur déontologie verte (éoliennes, solaire…) qui ne peut fonctionner qu’avec l’apport d’autres sources à raison de 100 % de production « autre ». Donc, actuellement, acheminée par méthanier « propre ».

Mais il est à remarquer que les dirigeants politicons soit-disant acquis à la cause verte ne font pas plus de commentaires, eux non plus.

Silence radio de mise.

  
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foncille foncille
17/12/2022 18:49:16
1

Et soudain le gazoduc POPOF explose , pas grave puisqu'il ne sert à rien !

  
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foncille foncille
17/12/2022 18:49:10
0
Le ministre allemand de l'Economie et du Climat Robert Habeck,  le chancelier allemand Olaf Scholz et le ministre allemand des Finances Christian Lindner devant le bateau FSRU (Unité flottante de stockage et de regazéification) Hoegh Esperanza amarré à Wilhelmshaven le 17 décembre 2022
Le ministre allemand de l'Economie et du Climat Robert Habeck, le chancelier allemand Olaf Scholz et le ministre allemand des Finances Christian Lindner devant le bateau FSRU (Unité flottante de stockage et de regazéification) "Hoegh Esperanza" amarré à Wilhelmshaven le 17 décembre 2022 (POOL/AFP/Michael Sohn)

Quand les bateaux remplacent les pipelines: l'Allemagne a inauguré samedi son premier terminal de gaz liquéfié, destiné à éviter les pénuries et à remplacer les livraisons russes, stoppées par la guerre en Ukraine. Mais l'approvisionnement à court terme demeure incertain.

"C'est un bon jour pour notre pays", s'est réjouit le chancelier Olaf Scholz, vêtu d'une veste jaune fluo, sur le pont d'un bateau, à quelques mètres du terminal de Wilhelmshaven, au bord de la mer du Nord.

Le bateau FSRU (unité flottante de stockage et de regazéification) Hoegh Esperanza amarré à Wilhelmshaven le 17 décembre 2022
Le bateau FSRU (unité flottante de stockage et de regazéification) "Hoegh Esperanza" amarré à Wilhelmshaven le 17 décembre 2022 (POOL/AFP/Michael Sohn)

Le navire FSRU (unité flottante de stockage et de regazéification) "Hoegh Esperanza", amarré depuis jeudi à environ 300 mètres de là, a fait sonner sa sirène à l'approche du bateau où avaient pris place le chef de l'Etat, accompagné de plusieurs ministres, édiles locaux et journalistes, dans un temps froid et brumeux.

Cet imposant bâtiment naval bleu et rouge long de 300 mètres, encombré de tuyaux, a été chargé avec suffisamment de gaz nigérian pour la consommation annuelle de "50.000 foyers" et commencera ses livraisons le 22 décembre.

Cinq terminaux flottants ouvriront ces prochains mois, après des chantiers menés au pas de charge grâce aux milliards d'euros débloqués par Berlin.

"Nous nous rendons indépendant des pipelines russes", s'est félicité M. Scholz. Ces installations fourniront un tiers des besoins en gaz du pays, éloignant --pour le moment-- les scénarios catastrophes de pénuries massives encore évoqués il y a quelques mois.

- Contrats -

Les terminaux GNL (Gaz naturel liquéfié) flottants permettent d'importer du gaz naturel par voie maritime, sous forme liquide. Ils sont composés d'une plateforme d'amarrage et d'un bateau dit FSRU, où le GNL est livré, stocké et regazéifié, avant d'être envoyé dans le réseau.

A la différence d'autres pays européens, l'Allemagne ne disposait d'aucun terminal sur son sol, préférant la ressource peu chère arrivant des pipelines russes, dont elle dépendait à 55% de ses importations.

Tout a changé avec la guerre en Ukraine et la fin des livraisons du russe Gazprom. Les importations de gaz liquéfié vers l'Allemagne, via les ports belges, néerlandais et français, ont bondi.

Pour éviter un coût du transport prohibitif, le pays a décidé de lancer sur son propre sol plusieurs chantiers de terminaux.

Mais l'Allemagne n'a toujours pas signé de contrats gaziers significatifs pour remplir ces terminaux dans l'immédiat. "La capacité d'importation sera là. Mais ce qui m'inquiète, ce sont les livraisons", s'alarme auprès de l'AFP Johan Lilliestam, chercheur à l'université de Postdam.

Un contrat entre l'entreprise américaine ConocoPhillips et le Qatar a été signé pour le terminal de Wilhelmshaven. Mais la livraison de gaz ne débutera qu'à partir de 2026.

Le navire FSRU (Unité flottante de stockage et de regazéification) Hoegh Esperanza, le 17 décembre 2022 à  Wilhelmshaven, en Allemagne
Le navire FSRU (Unité flottante de stockage et de regazéification) "Hoegh Esperanza", le 17 décembre 2022 à Wilhelmshaven, en Allemagne (AFP/Axel Heimken)

Les négociations entre les énergéticiens allemands --RWE et Uniper en tête-- et les principaux fournisseurs mondiaux, comme le Qatar, les Etats-Unis ou le Canada, patinent.

Les producteurs cherchent des contrats longs, pour rentabiliser leurs investissements tandis que Berlin veut du court terme afin de se passer progressivement des énergies fossiles.

Les organisations écologistes craignent déjà que ces projets GNL ne mettent en danger les objectifs climatiques du gouvernement. Une dizaine de militants écologistes ont manifesté à Wilhelmshaven samedi matin, avec des pancartes demandant la "fin du gaz", a constaté l'AFP.

- Coupures -

"Si nous voulons fournir pour du long terme du gaz liquéfié vers l'Allemagne, il faudra conclure des contrats sur de longues périodes", a admis samedi Holger Kreetz, directeur opérationnel de Uniper, qui gère le terminal de Wilhelmshaven, interrogé par l'AFP.

Sans contrat significatif, l'Allemagne est en effet exposée à la volatilité des marchés spot de court terme pour se fournir.

Les prix ont certes baissé depuis l'été. Mais le marché pourrait se tendre dès 2023, en raison de la reprise de la demande en Chine, qui abandonne peu à la peu la politique "zéro Covid".

Et l'hiver actuel en Allemagne, particulièrement froid, pourrait vider les cuves plus rapidement que prévu.

"On ne peut pas exclure des coupures pour l'hiver prochain", estime Andreas Schroeder, expert pour l'institut londonien ICIS.

Les autorités allemandes appellent donc la population à poursuivre ses efforts pour économiser la ressource.

"Nous sommes loin d'être sortis d'affaires", a martelé samedi le ministre allemand de l'Economie Robert Habeck, également à Wilhelmshaven. L'objectif de Berlin est d'économiser 20% de gaz cet hiver, contre 13% actuellement.

© 2022 AFP

  
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