Grève à la SNCF: les départs de Noël perturbés, le Nouvel An en suspen

Un jour il faudra bien qu’on admette qu’il faut payer le prix.

La SNCF vend des billets à des prix qui ne correspondent pas à la réalité du prix de revient. En plus elle offre des promos…. Du coup l’Etat régulièrement doit mettre la main à la poche, c’est à dire dans la poche des contribuables qui, pour beaucoup, ne prennent pas le train.

Air France vend des billets à des prix qui ne correspondent pas à la réalité du prix de revient. Elle plus elle offre des promos… Du coup l’Etat régulièrement doit mettre la main à la poche, c’est à dire dans la poche des contribuables qui, pour beaucoup, ne prennent pas l’avion.

Le distributeur de carburant vend….etc, etc…

Le distributeur de gaz vend….etc, etc…

Le producteur d’électricité vend…etc, etc…

Solidarité ou suicide assisté ?

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grève levée

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je ne parle pas de l’arnaque pour les remboursements de billet.

grosse usine à gaz.

en réel un billet de 78€ on te rembourse 63€ manque 15€.

tout est fait pour décourager les gens à se faire rembourser.

les 15€ ne sont pas perdus pour tout le monde

c’est notre talbin.

Message complété le 23/12/2022 11:11:04 par son auteur.

mais foutez moi ça dehors.
on a pas besoin de controleurs , le poinçonneur des lilas a été supprimé depuis longtemps à la ratp, on peut très bien faire la même chose à la sncf.

Message complété le 23/12/2022 11:15:56 par son auteur.

ça gagne combien un contrôleur?
les primes?
les billets gratuits pour la famille?
ça part à quel âge à la retraite?
à combien de % du salaire?

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Attention, je ne suis pas lié à la SNCF, sous quelque forme que ce soit.

Article écrit et diffusé par AFP.
Qui n’a jamais mis les pieds dans un train, en lieu et place du conducteur, voire d’un contrôleur.

Article commenté par le porte-parole du gouvernement Olivier Véran
Qui n’a jamais mis les pieds dans un train, en lieu et place du conducteur, voire d’un contrôleur.

Article commenté par les médias (BFM-BUSINESS) en tête de gondole, en déshérence intellectuels.

Article commenté par la bien-pensante, éprise de moraline qui n’ont jamais mis les pieds, pendant au moins une semaine en lieu et place des conducteurs et contrôleurs de train.

La politique économique pour faire de la SNCF, un gros boulet pour les citoyens, depuis des années, aujourd’hui et demain, le fille rouge, le « saucissonnage » à outrance.

La SNCF, existait comme entité unique, à part entière. Une croyance débile, la concurrence nous est vendues comme un miracle permanent. J’attends de voir les trains fonctionner sur l’eau, on ne sait jamais.

Qui n’a jamais été à la place des roulants, avec tout ce que cela implique de contraintes, si demain, on doit faire une réunion de travail avec tous les services du saucissonnage impliquez dans la responsabilité d’un train...

À la SNCF, les autorités ont créé, une entité spécifique indépendante pour chaque spécialisées de compétences.

Exemple ; un train en panne, donc, prise en charge du personnel pour continuer le service, il commande un transport pour le conducteur, un autre pour le contrôleur, et un autre pour les passagers, du même point de départ pour la même destination, en lieu et place d’un seul et unique transporteur, merci aux responsables pour vos compétences, résultat frais et factures, multipliée par trois pour le même trajet, pas belle la vie.

Çà, OLIVIER VERAN, AFP, les MEDIAS, je ne les entends pas critiquez les factures. Voila le niveau d’absurdités.

Message complété le 23/12/2022 11:17:52 par son auteur.

Dans mon Exemple ; un train en panne. Et le « saucissonnage », on retrouve les mêmes débilités pour les infrastructures de la SNCF. Pour une usine à gaz, on ne fait pas mieux. Dans le genre mille-feuille administrative. Les Jeux olympiques du saucissonnage administratif. On retrouve le même modèle économique dans le parc nucléaire. Le chemin et long pour tous déglinguer.

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Il suffit de regarder les catégories qui ont obtenu les revalorisation de salaires les plus élevées en 2022.

Les contrôleurs aériens alors qu'ils ont déja des rémunération stratosphériques si on les rapporte à leur niveau de formation, leur temps de travail et à la capacité qu'il y aurait à automatiser une grande partie de leur activité.

Les personnels du secteur de l'énergie, qui continuent à bénéficier, comble de paradoxe, d'une fourniture d'énergie à coût très réduit et sans limite de quantité.

Ces avantages représentent des milliers d'euros par an pour chaque bénéficiaire alors que les Français qui ont le moins de moyens doivent se contenter d'un chèque de quelques centaines d'euros.

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il va falloir commencer a envisager de modifier la loi .. les Français cotisent pour un service public qui ne l est plus . ce qui provoque cet abandon devrait être pénalisé. et j ose devrait être licencie ....

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quand un monopole de service public permet de prendre en otage les Français qui cotisent pour ce service ( dette sncf ) il faut privatiser

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Comme toujours à la SNCF la direction sous la pression de l'état va acheter la fin de la grève. Et cela se retrouvera dans le prix des billets qui a explosé durant les dernières années. Le tout sans aucune garantie que cela ne se reproduise aux prochains grands départs. L'état faible mènera le pays à sa perte.

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Alors que de nombreux voyageurs resteront à quai dès ce vendredi et tout au long du weekend de Noël, la SNCF a fait de nouvelles propositions pour éviter que la grève des contrôleurs ne se prolonge jusqu'au Nouvel An.

Au cours d'une réunion avec les syndicats jeudi soir, la direction du groupe a proposé "des mesures complémentaires fortes en faveur de la reconnaissance du métier de chef de bord, de la création de postes, et de la progression de leurs carrières", a indiqué la SNCF dans un communiqué.

Les syndicats ont jusqu'à vendredi 12H pour se prononcer sur ce nouvel accord.

Près de la moitié des contrôleurs seront en grève ce week-end, provoquant l'annulation d'un train sur trois vendredi, et de deux trains sur cinq samedi et dimanche, surtout des TGV.

Certains axes seront plus touchés que d'autres comme l'axe Atlantique ou l'axe Nord, avec seulement un TGV sur deux.

Cette grève est cependant atypique : elle est menée par un collectif informel de chefs de bord organisé sur Facebook et rejetant toute appartenance syndicale.

Cette situation met les représentants mal à l'aise: les fédérations CGT-Cheminots et SUD-Rail ont déposé des préavis pour le collectif mais n'appellent pas à la grève.

- Remboursement à 200% -

Les nouvelles propositions de la direction comprennent notamment la création d'une "ligne métier ASCT" (chef de bord), qui réunit tous les contrôleurs sous la même casquette, a indiqué une source syndicale à l'AFP.

160 emplois supplémentaires devraient être créés dès 2023, et 40 emplois de plus "dans les trains sensibles". La prime spécifique des contrôleurs passerait par ailleurs de 600 à 720 euros bruts annuels.

Le gouvernement avait mis la pression sur la SNCF jeudi, demandant la fin de cette grève des contrôleurs qui pourrait pénaliser environ 200.000 vacanciers.

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a demandé aux grévistes "d'entendre la demande légitime des Français de pouvoir retrouver leur famille dans de bonnes conditions".

A situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle : les clients de la SNCF ont commencé à recevoir des courriels leur proposant un remboursement à 200% en bons d'achat, qu'ils aient pu voyager ou non.

Entre échanges et annulations, quelques places étaient encore disponibles jeudi soir sur les principaux trajets.

Mais les trains supprimés ou complets ont poussé de nombreux voyageurs à se tourner vers les autocars, le covoiturage, ou tout simplement leur voiture.

- Bus et bouchons -

Flixbus dit à l'AFP qu'il transporterait 115.000 passagers de vendredi à lundi, 10 à 15% de plus qu'en 2019.

"Je voulais prendre un train pour aller à Orléans mais c'était beaucoup trop cher. J'ai hésité à prendre un Blablacar mais c'était le même prix que le bus, alors j'ai réservé un bus", expliquait à l'AFP Valentine, croisée jeudi à la gare routière de Bordeaux.

Le loueur de voitures Ucar a décidé de surfer sur la grève pour proposer ses voitures pour le weekend, au prix d'un billet annulé.

Selon Bison Futé, la journée de vendredi risquait déjà d'être compliquée sur la route en Ile-de-France : le service d'information routière conseillant de quitter la région avant 10H, avec un pic de bouchons attendu entre 15H et 18H.

Il était déjà compliqué de se déplacer jeudi soir en Île-de-France, avec un niveau exceptionnel de près de 500 kilomètres de bouchons mesurés à 18H dans la région.

D'autres voyageurs ont adapté leurs jours de trajet en train.

"J'ai décidé de partir un jour avant, en posant un congé, et de décaler aussi mon retour, en faisant du télétravail", explique Xavier, qui rejoint Bayonne depuis Paris.

Air France, touchée aussi par un appel à la grève de deux syndicats d'hôtesses et stewards jusqu'au 2 janvier, a pour sa part indiqué qu'elle assurerait tous ses vols vendredi et samedi.

© 2022 AFP

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