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Un de ces jours, les US vont les mettre au pas...!
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Ce sont aussi des élus à la cour des comptes, non ?
Ils ont mis le temps...!
Ici, on sait tous ceci depuis bien longtemps !
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Bidouille
« « C'est certainement une bande de clowns ..//.. , nous allons laisser quoi à nos enfants ? » »
Un pays sous tutelle du FMI, (qui a déjà averti récemment la France) avec le même traitement qu’a subi la Grèce.
Les même coupes à la tronçonneuse dans les budgets du social (santé, retraites, chomage...), et ponctions dans notre épargne. (comme ce fut fait à Chypre).
Ce qui explique que les z’élites veulent passer à la monnaie numérique qui sera plus facile et rapide à ponctionner.
Pour l’instant, sachons que chacun d’entre nous est endetté , par la grâce de l’état, : chiffres 2022 = 43 060 € de dette publique par habitant. En plus de nos emprunts personnels.
Et la France en est arrivée à devoir emprunter pour ne régler QUE les intérêts de la dette.
Sans pouvoir commencer à rembourser la dette en elle-même.
Donc, on peut craindre que nos enfants ne viennent au monde avec une dette par individu de 60 000 euros chacun !
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Moscovici qui fut ministre du pognon sous hollande.
L’un des plus mauvais depuis Vercingtorix..
Quant à la Cour des Comptes, elle a la possibilité de déposer plainte pour défaut de gestion, mais elle ne le fait que très rarement.
Faut pas nuire aux copains, tout en faisant croire au petit peuple que l’exécutif est surveillé.
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Comme chaque année la cour des comptes vient nous faire son cinéma. Ils sont payés pour ça. Parfois bien grassement et ils participent au déficit abyssal des comptes publics. Ce n'est pas P Moscovici qui pourra le contredire...
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Le Premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, s'est dit mercredi "préoccupé" par la dégradation des finances publiques en France, estimant "élevée" la prévision de croissance de 1% du gouvernement pour 2023 en dépit d'une conjoncture morose.
"Les perspectives pour 2023 sont encore plus dégradées" qu'en 2022, année marquée par la guerre en Ukraine et le choc énergétique, a-t-il déclaré en présentant ses voeux pour la nouvelle année.
"Nos niveaux de dette et de déficit sont très élevés" et "le contexte de financement de la dette s'est dégradé" avec l'envolée des taux d'intérêt, a-t-il constaté.
"L'année 2022 n'a pas été l'année de sortie du +quoi qu'il en coûte+", a-t-il poursuivi, en référence aux dépenses massives initiées durant la crise sanitaire, prolongées par des milliards d'aides aux ménages et aux entreprises pour affronter l'inflation et la crise énergétique.
"Cette situation dégradée me préoccupe", une inquiétude se situant à un niveau "assez élevé", a affirmé l'ancien ministre de l'Economie.
Dans ce contexte, la prévision de croissance du gouvernement - 1% pour 2023 après une prévision à 2,7% l'année précédente -, "reste élevée", supérieure au consensus des économistes, même si, selon M. Moscovici, "les indicateurs avancés ne sont pas aussi négatifs qu'anticipé".
Pour faire baisser durablement la dette publique (supérieure à 110% du PIB) et le déficit public (attendu à 5% du PIB fin 2022), le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a annoncé en janvier l'organisation dès cette année d'examens annuels de la dépense publique.
Le gouvernement espère faire repasser le déficit public sous la limite européenne des 3% du PIB en 2027, avec une dette relativement stable à cet horizon.
Cet exercice de revues annuelles est "indispensable", a souligné M. Moscovici devant les journalistes, alors que la France est l'un des pays de la zone euro dont "la situation de finances publiques est parmi les plus dégradées" et l'une des championnes en matière de dépenses publiques (environ 57% du PIB).
Pour le patron de la Cour des comptes, "la trajectoire (...) apparaît encore trop peu ambitieuse", avec une dette qui sera "quasi au niveau de 2022".
"Ce n'est pas conforme à l'évolution des partenaires européens" qui seront autour de 3% de PIB de déficit public dès 2025, a-t-il ajouté, déplorant ces "divergences".
© 2023 AFP
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