La réforme des retraites va pousser 50.000 personnes à "décaler leur d

L'intervention de M. Karl Gustaf Scherman souligne bien la problématique : comment éviter la paupérisation des retraités ? Il est évident que plus de retraités et moins d'actif entraine cette paupérisation. Si le recul de l'âge de la retraite n'est pas la solution, il ne reste alors que l'augmentation des cotisations pour offrir un niveau de retraite décent. Mais augmenter les cotisations c'est appauvrir les actifs....Aie!

Répondre

"3 mois de plus pour 50 000 personnes.....et on hurle à la mort...pauvre France..."

Donc cela prouve bien que c'est une réforme qui n'est pas nécessaire et même inutile...

"Mais naturellement, macron n’en tiendra aucun compte : il poursuivra sa politique de destruction de la France et du Peuple Français."

C'est évident !

Mais les Français, tous aussi veaux les uns que les autres, répetront à tue-tête ce qu'ils ont entendu sur BFM WC : "c'est une réforme nécessaire", "on n'a pas le choix", "s'il faut le faire, on le fera"...

Macron, celui-là même qui déclarait en 2019 que "relever l'âge de départ à la retraite serait "hypocrite"...

Mais les Français, comme les veaux, ont la mémoire courte...

Répondre

Suède, : ne pas recopier le même modèle
La Suède a réformé son système de retraites, en instaurant il y a 20 ans l'âge de départ légal à 65 ans. Notre envoyée spéciale Clémence Dibout a rencontré l'homme qui a porté cette réforme. Aujourd'hui, au micro de BFMTV, Karl Gustaf-Scherman, ancien directeur de la Sécurité sociale suédoise, invite Emmanuel Macron "à ne pas recopier le modèle suédois".

Source :

https://www.bfmtv.com/international/retraites-karl-gustaf-scherman-qui-a-porte-l-age-legal-a-65-ans-en-suede-invite-emmanuel-macron-a-ne-pas-recopier-le-meme-modele_VN-202301220091.html

Mais naturellement, macron n’en tiendra aucun compte : il poursuivra sa politique de destruction de la France et du Peuple Français.

Répondre

3 mois de plus pour 50 000 personnes.....et on hurle à la moert...pauvre France...

Répondre

La hausse de l'âge légal de départ dès septembre, mesure phare de la réforme des retraites présentée par le gouvernement, "pourrait conduire 50.000 personnes à décaler leur départ" cette année, a estimé le Haut conseil des finances publiques (HCFP).

Ils seront les premiers à essuyer les plâtres de la réforme: parmi les futurs retraités de 2023 - sans doute plus de 700.000 comme les années précédentes - un sur quinze va partir plus tard que prévu.

"Le relèvement de trois mois de l'âge légal", censé passer à 62 ans et 3 mois au 1er septembre prochain, "pourrait conduire (...) de l'ordre de 50.000 personnes à décaler leur départ", indique en effet le HCFP dans son avis, rendu public lundi, sur le projet de loi qui lui a été transmis.

Un texte dont le "caractère incomplet" ne lui permet pas "d'évaluer l'incidence de moyen terme" de la réforme des retraites", qui doit porter l'âge légal jusqu'à 64 ans en 2030, au rythme de trois mois par an.

Mais "compte tenu des informations disponibles", cette mesure d'âge "entraînerait une baisse des dépenses" de 200 millions d'euros dès cette année.

Le "maintien dans l'emploi" de ces actifs doit également générer "des recettes supplémentaires", non chiffrées mais qui "devraient être faibles". En tout cas insuffisantes pour compenser la revalorisation des petites pensions, "dont le coût (...) a été provisionné à hauteur de 400 millions".

En y ajoutant 100 millions pour "des mesures sur la pénibilité et l'usure professionnelle" et autant pour celles "en faveur des transitions emploi-retraite", l'ardoise des "dépenses supplémentaires" s'établit à 600 millions d'euros.

Soit un "coût net estimé à 400 millions", poursuit le HCFP, qui en conclut que "la réforme des retraites aura un impact très faible sur les finances publiques en 2023".

© 2023 AFP

Répondre