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Prix alimentaires: "il n'y aura pas de mars rouge", assure Bruno Le Ma - Page 2

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doudouvieux doudouvieux
27/02/2023 14:28:06
0

Anjou49, je n'ai rien contre les débats... que mes positions te gênent, j'en ai rien à cirer.

Si les faits que j'évoque sont faux, j'attends la démonstration.

Pour l'heure tu n'as rien démontré ; tu ressembles à un petit roquet, rien de plus ....

  
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Fibopivots Fibopivots
27/02/2023 14:23:26
1

Va falloir franchir les frontières et aller s.approvisionner dans les low costs, encore plus low qu.au pays.

Bon pour ceux proches de nos frontières, c est entre 100 et 300 € d.economie possible chaque mois, en incluant le carburant, l.eventuel resto moins cher, les produits divers,...

  
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Anjou49 Anjou49
27/02/2023 14:21:21
3

@doudouvieux

Tu le fais exprès ou quoi on te dit que tout va bien et pis c’est tout. Regarde le pétrole on en achète plus une goutte à la Russie, il nous en arrive des Indes. Bien sûr tu peux te dire, si tu es de mauvaise fois, que l’Inde ne produit pas de pétrole et que cette dernière nous revend ce même pétrole russe plus cher que ce qu’elle le paie aux russes. Mais l’essentiel ce sont les APPARENCES, le reste c’est du vent.

Y aura pas de pénuries de rien, là-haut on s’occupe de tout.

  
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doudouvieux doudouvieux
27/02/2023 14:14:35
3

Comment peut-on nier la réalité à ce point ?

Il y a des éléments de tension inflationnistes, de partout.

Les besoins alimentaires sont incompressibles : manger, c'est la survie, on n'a pas le choix ( vous me direz que les consommateurs insolvables continueront à mourir de faim … certes …. mas cette triste réalité existe déjà et ne changera pas )

Maintenant, les facteurs impactant l'Offre sont nombreux :

l'Ukraine n'est plus en situation de production, il y a donc tout un potentiel agricole perdu, et on ne repart pas vers une fin proche du conflit. De plus il faut bien nourrir les populations qui ne travaillent pas. Inutile de rappeler la part importante de la production céréalière consommée ici bas.

Sur un autre plan, la pénurie d'eau en France , imputable au climat sec constatable, accroît mécaniquement les coûts dans la mesure où elle minore la productivité des récoltes

La grippe aviaire, par ailleurs, a décimé des élevages.

Le monde agricole, de son côté subit également la hausse des prix de l'énergie, qu'il doit essayer de répercuter.

Expliquez moi comment ces éléments éléments peuvent venir améliorer une situation déjà tendue.

Donc, quand on cherche à nous rassurer comme c'est le cas, c'est à nouveau une couleuvre de plus à avaler.

En économie, les miracles n'existent pas .

  
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papygaga papygaga
27/02/2023 12:52:49
0

@Anjou,

Mars est aussi la planète rouge.... Donc Nono est dans le déni.

  
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NAMIRO NAMIRO
27/02/2023 09:50:57
2

Et puis, si ce n'est pas mars... Ce sera avril...

On peut probablement tenir jusqu'à octobre (rouge)... 😁

  
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Anjou49 Anjou49
26/02/2023 16:20:28
4


  
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papygaga papygaga
26/02/2023 15:34:46
2

Mais ça, il n’en est pas conscient, ou ne veut pas le savoir.

Mais non, mais non. C'est tout simplement de la méthode Coué

  
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doudouvieux doudouvieux
26/02/2023 14:09:01
2

"Il n'y a aucune raison que les prix alimentaires ne s'enflamment en mars"

Double négation ! Donc, ça va s'enflammer alors ?

..................

Exact NAMIRO : en maths , - x - = + .

  
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moicmoi moicmoi
20/02/2023 11:54:52
0

Il a raison : « "Il n'y aura pas de mars rouge…..pour les hauts salaires. A la limite, plus ou moins rose pâle.

Mais pour le petit peuple, ce sera différent. Très différent !

Mais ça, il n’en est pas conscient, ou ne veut pas le savoir.

Et pourtant, tous les économistes, tous les patrons de la distribution, et même jusqu’à des journalistes à la botte, (journaux T V de 20 heures, s’il vous plaît) annoncent une forte accélération de l’inflation à venir.

Si le rendez-vous de mars est loupé, soyez tranquilles, ce sera pour le tout début d’avril.

Et les « pourliches » que BLM distribue de-ci de-là, prélevés dans notre poche, n’y changeront rien. A part d’amplifier les recettes fiscales puisque l’état nous rackette en pourcentage.

Il n'y aura pas de mars rouge…..même si, comme le stipule une proposition de loi disant que , en cas de non accord sur les prix suite aux négociations Industriels/distribution c’est le prix Industriels qui sera appliqué.
C’est bizarre que BLM n’en parle pas !

A noter que ces « pourliches » sont distribués chichement, et surtout, en oubliant certaines catégories de Français. (retraités notamment, bas salaires, etc…)

  
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enkorplus enkorplus
20/02/2023 11:36:20
0
Bah non, il y a déjà un Février rouge !
  
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NAMIRO NAMIRO
20/02/2023 11:34:21
4

Mais il y aura un "deuxième effet KISS COOL" monsieur Le Mièvre !


"Il n'y a aucune raison que les prix alimentaires ne s'enflamment en mars"


Double négation ! Donc, ça va s'enflammer alors ?

  
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floalain floalain
20/02/2023 11:19:06
1
Mme Soleil viens de parler!!
  
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doudouvieux doudouvieux
20/02/2023 11:10:26
1
attention, si le ridicule ne tue pas .....il n'arrange rien pour autant.... La méthode " SECOUER " n'impressionne que les simples d'esprit.
  
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doudouvieux doudouvieux
20/02/2023 11:10:16
0
Les négociations concernent l'ensemble des produits à marque dite nationale mais pas les marques de distributeurs
Les négociations concernent l'ensemble des produits à marque dite "nationale" mais pas les marques de distributeurs (AFP/Archives/Lionel BONAVENTURE)

Il n'y a "aucune raison" que les prix alimentaires ne s'enflamment en mars, a assuré lundi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui recevra les distributeurs "dans les prochains jours" pour tenter de limiter l'impact de l'inflation sur le quotidien des Français.

"Il n'y aura pas de mars rouge, il n'y a aucune raison qu'il y ait de mars rouge", a martelé le ministre sur BFMTV en référence aux craintes d'une flambée des prix après les négociations annuelles des supermarchés avec leurs fournisseurs.

Ces négociations, qui doivent être conclues au plus tard le 1er mars, sont traditionnellement tendues, mais le sont d'autant plus cette année dans un contexte inflationniste (énergie, transports ou matières premières) qui pèse sur les marges de l'ensemble des acteurs.

Elles concernent l'ensemble des produits à marque dite "nationale" (Danone, Lu, Mondelez...). Les produits de marques de distributeurs (Marque Repères, Produits U ou Carrefour...) ne sont pas concernés.

"Nous allons rester à des niveaux de prix qui sont très élevés" mais "il n'y a aucune raison que les prix s'enflamment à partir du mois de mars", a expliqué M. Le Maire, qui va recevoir les distributeurs "dans les prochains jours" pour voir comment limiter l'impact de l'inflation "sur le panier des compatriotes".

"Je ne sais pas si (la résultat des discussions) sera un panier anti-inflation", a-t-il ajouté, ouvrant la porte à l'abandon de ce "panier" composé de produits d'une cinquantaine de catégories "au meilleur rapport qualité/prix". "Ce sera ce que les distributeurs trouveront de plus utile et de plus efficace."

"J'ai fixé le 15 mars comme date limite pour trouver ensemble une solution opérationnelle sur cette augmentation des prix alimentaires et des prix de grande consommation de manière générale", a détaillé M. Le Maire.

"Je maintiens que (...) vers la mi-2023, l'inflation devrait refluer dans notre pays", a également soutenu le ministre.

© 2023 AFP

  
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