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Retraites: les opposants à la réforme dans la rue pour la 7e fois same

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JMiegeville JMiegeville
11/03/2023 16:11:23
1

Entre surpoids, obésité, toxicomanie, alcool chez les jeunes, tabac chez les femmes, faillite du système de santé ,...., les facteurs pouvant réduire l'espérance de vie sont nombreux et personne, citoyens comme politiques ne souhaite s'attaquer à la prévention. Juste des étiquettes en couleur sur les produits pour respecter les directives de Bruxelles.

  
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NAMIRO NAMIRO
11/03/2023 15:57:56
0

Attendons les effets secondaires du vaccin anti COVID...

Peut-être que ça va faire le taf... 😅

  
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jipes jipes
11/03/2023 14:34:08
0

Dans le passé, après avoir eu Najat Vallaud-Belkacem comme fossoyeuse de l'Education Nationale, on pourrait avoir Macron et Renaissance comme fossoyeurs du 3ème âge ! Douce France deviendrait Triste France !

  
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Dubaisan Dubaisan
11/03/2023 14:08:14
1

Après cette réforme, il faudra vite s'occuper de la "fin de vie" et l'accélérer parce que le Covid n'a pas tué assez de vieux... et comme il faudra financer les futures retraites, parce que les jeunes ne veulent pas de gosses, il va falloir éliminer des vieux et un paquet...

On peut bien faire en sorte que les tables de mortalité collent à la réalité....C'est de la comptabilité !!!

  
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JMiegeville JMiegeville
11/03/2023 13:43:30
1

La répartition si on souhaite qu'elle soit équitable est une question de comptabilité.

Comptabilité totalement différente selon qu'il s'agit des fonctionnaires, salariés, indépendants, ou régimes spéciaux.

En cela cette nouvelle mouture de la réforme est une nouvelle atteinte au principe de la retraite par répartition.

D'un point de vue comptable et au vu des tergiversations autour de la retraite minimale il y a fort à parier que cette réforme agravera les comptes plus qu'elle ne les consolidera.

Encore faudrait-il qu'un bilan global des régimes de retraite soit effectué pour pouvoir le constater, mais ce n'est jamais le cas.

Artifice comptable permettant de masquer le désastre annoncé du financement des retraites de la fonction publique.

  
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Fibopivots Fibopivots
11/03/2023 13:40:45
1

...des.comptables qui savent à peine compter ?

  
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JMiegeville JMiegeville
11/03/2023 13:12:19
2

@syjo

Pas certain de l'avoir élu ?

Ses électeurs sont actuellement dans la rue.

Ils ont permis à Macron, grâce au sempiternel vote républicain de rester à l'Élysée. La méthode n'est pas nouvelle, elle a permis depuis Mitterrand de maintenir des tocards à la tête du pays. Des présidents par défaut.

Si au lieu de l'utiliser à des fins électorales comme épouvantail, le FN avait été mis sous surveillance, comme l'AFD en Allemagne, ou purement interdit, encore faut il avoir des arguments pour cela, la politique de la France durant les trente dernières années aurait été radicalement différente.

  
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jipes jipes
11/03/2023 12:58:39
0

Je pencherai plutôt pour sa démission avant la fin de son mandat. Si la contestation s'amplifie après une malheureuse acceptation de la réforme des retraites au moyen de l'article 49.3, je ne suis pas sûr qu'il supportera que l'on s'oppose à sa toute puissance.

Au fait, fin de la "démocratie", c'est à Macron qu'on la doit.

  
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NAMIRO NAMIRO
11/03/2023 12:50:28
0

Il va ensuite modifier la constitution pour pouvoir être réélu une troisième fois...

Ne vous inquiétez pas, les Français ont la mémoire courte et, dans quatre ans, il sera réélu face à Marine Le Pen (avec les arguments habituels : "barrage à l'extrême droite", "bruits des bottes", "heures les plus sombre de notre histoire", "fin de la démocratie"... Etc...)...

  
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syjo syjo
11/03/2023 12:10:48
0

On a un guignol dont on est même pas certain de l'avoir élu, et on voudrait qu'il résolve tous les problèmes. Amandoné Il faut être honnête et arrêter de croire au père nöel.

  
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Dubaisan Dubaisan
11/03/2023 11:39:31
0

"La météo va se charger de refroidir la contestation dont Macron n'a strictement rien à faire"

C'est exactement ça

  
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jipes jipes
11/03/2023 11:11:34
0

Macron démontre par son silence et son isolement qu'il n'est pas le Président de tous les Français. Si la réforme venait à passer, ce que je ne souhaite pas, cela signifiera la chute du Gouvernement. Et le Président sera plus isolé que jamais.

Il n'y a pas d'échec de la contestation syndicale car elle a été pour une fois très unie.

  
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JMiegeville JMiegeville
11/03/2023 10:23:16
0

La météo va se charger de refroidir la contestation dont Macron n'a strictement rien à faire

Dès la réforme votée il va sortir du chapeau réforme constitutionnelle, ivg, fin de vie, pour alimenter l'actualité politique.


L'échec de la contestation syndicale vient du fait qu'elle est essentillement motivée par la sauvegarde des intérêts d'une minorité ayant un gros pouvoir de nuisance.

La retraite par répartition est un mythe qui a permis depuis la libération de créér des inégalités énormes entre catégories socio-professionnelles.

En cela le projet Delevoy était beaucoup plus ambitieux et apte à réduire ces inégalités.

  
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31gol 31gol
11/03/2023 08:50:43
0
Quelques agitateurs, une foule de moutons bêlants, voila la contestation constructive en route.
  
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31gol 31gol
11/03/2023 08:50:17
0
Des manifestants lors d'une mobilisation contre la réforme des retraites, le 7 mars 2023 à Nice
Des manifestants lors d'une mobilisation contre la réforme des retraites, le 7 mars 2023 à Nice (AFP/Archives/Valery HACHE)

Les syndicats appellent à manifester pour la septième fois samedi contre la réforme des retraites, comptant sur une nouvelle démonstration de force à l'orée d'une semaine cruciale, où le gouvernement espère voir la réforme définitivement adoptée après un parcours parlementaire chaotique.

"Je suis toujours très déterminée car on a l'expérience des lois passées qui ont ensuite été abrogées", assure Elodie Boussarie, une professeure de Marseille syndiquée chez SUD, rencontrée vendredi lors d'une action de blocage d'un péage urbain.

"On ne lâche rien et on continuera la lutte jusqu'à l'abandon pur et simple du projet de réforme", renchérit au même endroit Virginie Akliouat, de la FSU.

Le ministre des Comptes publics Gabriel Attal (gauche) et celui du Travail Olivier Dussopt, au Sénat, le 6 mars 2023
Le ministre des Comptes publics Gabriel Attal (gauche) et celui du Travail Olivier Dussopt, au Sénat, le 6 mars 2023 (AFP/Archives/Alain JOCARD)

Pour contrer l'"opposition méthodique" de la gauche, le ministre du Travail Olivier Dussopt a dégainé vendredi, avec l'assentiment de la majorité de droite, l'arme constitutionnelle du vote unique devant le Sénat qui va devoir se prononcer en une seule fois sur l'ensemble du projet de loi.

L'échéance est prévue dimanche à minuit. Une commission mixte paritaire doit se réunir mercredi avant un vote définitif dans la foulée dans les deux chambres.

Mais il semble incertain que le gouvernement parvienne à trouver une majorité de députés pour approuver le texte, et il pourrait recourir une nouvelle fois à l'article 49.3 (adoption sans vote), ce qui le placerait dans une situation politique périlleuse.

"Le recours au 49.3 pour un projet de loi qui n'aura pas été discuté serait une forme de blocage démocratique inacceptable", a prévenu Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, mardi lors de la précédente journée d'action.

"Quand des millions de personnes sont dans la rue (…), quand il y a des grèves et qu'en face il n'y a rien, silence, les gens se disent +qu'est-ce qu'il faut faire de plus pour être entendu+", a déploré vendredi matin le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez.

- "Attiser la colère" -

L'intersyndicale a en effet interpellé sans succès Emmanuel Macron. En réponse à la demande écrite des syndicats de les recevoir "en urgence", il ne leur a pas proposé de rendez-vous vendredi, expliquant vouloir "préserver le temps parlementaire", tout en assurant être "à (leur) écoute".

Des manifestants brandissent une pancarte lors d'une mobilisation contre la réforme des retraites, le 7 mars 2023 à Marseille
Des manifestants brandissent une pancarte lors d'une mobilisation contre la réforme des retraites, le 7 mars 2023 à Marseille (AFP/Archives/NICOLAS TUCAT)

"On pense qu'il y aura du monde encore très largement dans la rue parce que la fin de non-recevoir de Macron au courrier de l'intersyndicale, le fait d'accélérer la procédure de vote au Sénat, ça donne quand même le signe d'une espèce de fuite en avant de ce gouvernement. On pense que ça va plutôt attiser la colère qu'autre chose", a commenté auprès de l'AFP Murielle Guilbert, codéléguée générale de Solidaires.

De source policière, la participation samedi pourrait atteindre 800.000 à un million de personnes dans les 230 manifestations prévues en France, dont 70.000 à 100.0000 à Paris, où la manifestation s'élancera à 14H00 de la place de la République vers celle de la Nation.

Mardi, les syndicats avaient une nouvelle fois fait la preuve de l'opposition très forte au projet de réforme, avec un record de manifestants (1,28 million de personnes selon le ministère de l'Intérieur, plus de trois millions selon l'intersyndicale).

Des grèves reconductibles ont été enclenchées ou intensifiées dans plusieurs secteurs, notamment les trains et le secteur aérien, ainsi que les centrales de production d'électricité, l'infrastructure gazière ou le ramassage des poubelles. Le trafic est annoncé quasi normal à la RATP samedi sauf sur les RER A et B.

Certains avertissent qu'un nouveau durcissement est toujours possible.

"Il y a des voix qui s'élèvent depuis plusieurs jours pour dire (...) +puisque le gouvernement reste sourd, il faut faire plus dur+", a averti vendredi Fabrice Coudour, secrétaire général de la CGT Energie.

Selon un sondage Odoxa-BackboneConsulting pour le Figaro publié vendredi, "7 Français sur 10 soutiennent les mobilisations et grèves reconductibles à venir" et "60% se disent même prêts à un blocage du pays".

Des manifestants lors d'une mobilisation contre la réforme des retraites, le 9 mars 2023 à Toulouse
Des manifestants lors d'une mobilisation contre la réforme des retraites, le 9 mars 2023 à Toulouse (AFP/Archives/Charly TRIBALLEAU)

Samedi marquera la deuxième journée de mobilisation pendant le week-end, afin de permettre aux salariés d'y participer sans avoir à poser un jour de grève. Le 11 février, 963.000 personnes étaient descendues dans la rue selon le ministère de l'Intérieur, et plus de 2,5 millions selon la CGT.

© 2023 AFP

  
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