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**Emmanuel Macron a prévenu mardi soir que «la foule» qui manifeste contre la réforme des retraites n’avait «pas de légitimité face au peuple qui s’exprime souverain à travers ses élus», selon un participant à une réunion avec les parlementaires de son camp à l’Élysée.**
Macron s'enlise un peu plus puisqu'il n'a pas souhaité que les élus se prononcent sur la Réforme des Retraites. Il veut noyer à nouveau le poisson mais maintenant il joue perdant.
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FEREZE
« « Elisabeth a dépassé les burnes en criant VICTOIRE ? ..//.. son salaire sur le dos de ceux est celles q elle méprise. » »
Je suppose que je ne t’apprends rien en te disant que le recasage, en France, ça existe.
Et même que, quand il n’existe pas de poste disponible, on en invente un sur mesure.
Un exemple qui est dans toutes les mémoires : ségo ambassadrice des pingouins. Ou encore J. Lang le fossoyeur de l’E.N. (passé 80 ans), Institut du Monde Arabe, VRP (grassement payé et profiteur) chargé de livrer la France à l’islam.
Beaucoup d’autres en lisant :
R. Langlet , J.L. Touly, Les recasés de la République - First éditions - 2015
(Tous grassement payés A VIE.)
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jipes
« « Elisabeth a dépassé les bornes en criant VICTOIRE ..//.. on a assisté à une défaite de la macronie. » »
Non seulement c’est un déni de réalité (un mensonge de plus,.... mais on a l'habitude), mais il y a plus grave : avec son cocorico, elle ré affirme, elle redouble le mépris du Gvt pour le Peuple.
Après cela, faut-il s’étonner des violences ?
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papygaga
« « Décidément, le pitchoun ..//.. il fait et devant la catastrophe annoncée, il consulte..... » »
Alors là, tu me surprends énormément (comme l’éléphant…..heu non…un éléphant ne surprend pas. ça doit être autres chose dans la célèbre citation).
Les subtilités de la langue française.
Consulter ne veut pas dire écouter. Ça peut même être carrément l’inverse (mais je ne t’apprends rien). Surtout chez macron.
D’un autre côté, on peut consulter toute une foule, ou seulement 2 ou 3 personnes qui te donnent raison.
Et même, si….même, si….on peut consulter et n’en faire qu’à sa tête.
Donc, ce mec est parfaitement dans son rôle, celui auquel il nous a habitué depuis 2017.
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Décidément, le pitchoun fait tout à l'envers.
D'habitude on consulte puis on agit.
Lui, il fait et devant la catastrophe annoncée, il consulte.....
Cherchez l'erreur.
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Elisabeth a dépassé les burnes en criant VICTOIRE ?
Quelle victoire ? Avoir son salaire sur le dos de ceux est celles q elle méprise.
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Elisabeth a dépassé les bornes en criant VICTOIRE hier soir après le vote des motions de censure.
Elle qui n'a pas l'éloquence facile aurait pour une fois mieux fait de se taire car on a assisté à une défaite de la macronie.
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Ciotti et Marleix ne voulaient pas ajouter du cahot au cahot en donnant leur mot d'ordre de ne pas voter la motion de censure.
Malheureusement, c'est ce qu'ils ont fait par leur abstention car non seulement la rue mais aussi la jeunesse sont montées au créneau cette nuit.
Par contre, je me dois de féliciter les 19 Républicains qui ont bravé leurs responsables et qui ont voté la motion de censure de LIOT et les 6 qui ont voté celle du Rassemblement National.
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On en vient à souhaiter que le mouvement de révolte s'amplifie jusqu'à ce que le Président sorte de sa torpeur et prenne enfin les décisions qui s'imposent, retrait de la Réforme des Retraites, dissolution de l'Assemblée et pourquoi pas, s'il l'ose faire usage du référendum pour toute nouvelle réforme qu'il veut entreprendre.
Autrement, ça ne me ferait rien de revoir un mai 68 pour secouer le Président et l'échiquier politique.
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Meuh non, simplement le mettre à la retraite illico puis au conseil qui a réuni un certain nombre d'anciens PR ...
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Et sans oublier de consulter tous les cabinets de conseil US à près de 1 giga dollar la première étude, et je ne parle pas de l'inflation sur les consultations suivantes.
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Meuh non, je commence ainsi pour vous rassurer car les fr... sont des "veaux" comme l'a dit un grand homme. Toutes ces matières moisies répandues peuvent faire la fortune de Paris. Les trottoirs n'ont pas besoin d'être aussi larges avec le télétravail. Les épandeurs sont des zécolos géniaux. Une mince couche qui ne peut pénétrer le bitume peut en revanche faciliter la culture de champignons de Paris. Et voila la vraie voie verte. Reconnaissons que nos jeunes sont absolument géniaux. Et tant pis pour les tristes technocrates qui croient toujours que les nouvelles centrales nuc vont pousser plus vite qu'en un claquement de doigt d'énarke...Enfin de la nouveauté et de la création de matières recyclées le plus naturellement du monde.
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Macron consulte tous azimuts !!!!!
Consultation se limitant à Borne, et aux présidents de l'assemblée et du sénat.
Cela en dit long sur le champ de vision du président.
L'article n'était pas forcément exhaustif, peut-être compte-t-il consulter également Bezos, BHL, Sarkozy, Mcfly et Carlito, Stephane Bern ou Ursula Von Der Leyen.
De toute façons cela ne changera rien, sa psycho-rigidité l'emportera.
Le mur ayant beau arriver de plus en plus vite, rien ne lui fait sortir le pied de l'accélérateur.
Au stade où il en est, il devrait préférer l'ophtalmo aux plateaux télé.
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C'est normal ce qui se passe actuellement. Beaucoup d'entre eux, comme tu le soulèves, ont été manipulés par certains dirigeants de partis politiques et par des médias et ont été conduits à prendre un bulletin de vote sans avoir fait attention au programme de celui qu'ils ont été censés élire.
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Emmanuel Macron va s'adresser aux Français mercredi lors d'un entretien télévisé, une intervention extrêmement attendue après l'adoption de sa réforme des retraites au Parlement qui n'a pas signé la fin de la contestation et des manifestations parfois émaillées de fortes tensions contre ce projet phare.
Auparavant, le chef de l'Etat va consulter tous azimuts et très largement pendant toute la journée de mardi.
Le chef de l'Etat répondra mercredi à 13H00 aux questions des journalistes Julian Bugier et Marie-Sophie Lacarrau dans une interview en direct sur TF1 et France 2, ont annoncé l'Elysée et les chaînes.
Mardi, au lendemain de l'adoption dans la douleur de son texte, il va de nouveau enchaîner les réunions, pour ressouder son camp et tenter de rebondir alors que son second quinquennat apparaît déjà entravé après moins d'un an.
Il doit recevoir à 09H00 Elisabeth Borne, en première ligne, qui a échappé de peu la veille à un renversement de son gouvernement, avec le rejet à neuf voix près d'une motion de censure transpartisane à l'Assemblée nationale.
"Je suis déterminée à continuer à porter les transformations nécessaires à notre pays", a assuré lundi soir la Première ministre, conviée à l'Elysée avec plusieurs ténors du gouvernement et les chefs de la majorité relative.
Emmanuel Macron doit ensuite déjeuner avec Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, présidents de l'Assemblée et du Sénat, avant une réunion en soirée avec les parlementaires du camp présidentiel.
- "Le combat continue" -
Grâce à la procédure décriée du 49.3, qui permet à un texte d'être adopté sans vote sauf si le gouvernement est censuré, la réforme - qui prévoit le recul de l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans - a été officiellement adoptée lundi au Parlement.
Mais cet épilogue parlementaire, qui s'est joué par un vote plus serré qu'attendu (avec notamment 19 députés Les Républicains sur 61 apportant leurs voix à la motion de censure transpartisane), n'a pas fait retomber la pression sur l'exécutif. Au contraire.
Elisabeth Borne "doit partir" ou le "président doit la démissionner", a lancé Marine Le Pen, plusieurs voix de gauche appelant aussi à sa démission.
"Le combat continue", ont scandé tous les leaders de la coalition Nupes.
Ils comptent notamment sur des recours devant le Conseil constitutionnel, également saisi "directement" par Elisabeth Borne, et ont dégainé une demande de référendum d'initiative partagée (RIP), dont les Sages doivent examiner la recevabilité.
Les opposants à la réforme veulent continuer aussi le combat dans la rue.
Jean-Luc Mélenchon a appelé à "une censure populaire" qui doit "s'exprimer "massivement, en tout lieu en toute circonstance".
"Rien n'entame la détermination des travailleurs", a prévenu de son côté la CGT, tandis que le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a appelé à la mobilisation pour la prochaine journée de grèves et de manifestations prévue jeudi.
- L'inquiétude de Berger -
M. Berger s'est aussi dit inquiet de la "colère" et des "violences" qui pourraient s'exprimer du fait de l'adoption d'une loi qui n'avait "pas de majorité à l'Assemblée nationale".
Lundi soir, des poubelles renversées et brûlées, des barricades, des jets de projectiles sur les forces de l'ordre, et des fumigènes ont marqué certaines des manifestations qui ont éclaté spontanément un peu partout en France après l'adoption de la réforme.
Les mêmes scènes de tension se sont reproduites dans plusieurs grandes villes, comme à Lyon, Nantes, Rennes, ou Strasbourg où quelque 2.000 personnes ont manifesté, selon la préfecture.
"Ça va péter", ont scandé les manifestants à Lille. "Louis XVI on l'a décapité, Macron on va recommencer".
A Donges (Loire-Atlantique), les forces de l'ordre sont intervenues dans la nuit de lundi à mardi pour débloquer le terminal pétrolier, occupé depuis une semaine par des grévistes, a constaté un photographe de l'AFP sur place. Une source proche des grévistes jointe par l'AFP avant la fin de l'intervention a fait état "d'affrontements" dans la nuit.
Mardi matin, le gouvernement a annoncé des réquisitions de personnel au dépôt pétrolier de Fos-sur-Mer face à un blocage.
A Paris, peu après 00H30, 171 personnes avaient été interpellées, selon une source policière.
Jean-Luc Mélenchon a dénoncé des arrestations "arbitraires". "Ce soir, des dizaines de personnes pacifiques ont été arrêtées de façon violente et arbitraire", dont deux militants de LFI, a tweeté le dirigeant Insoumis. "Nous exigeons la fin immédiate des arrestations et la libération des emprisonnés!"
Tout au long de la journée, la colère s'était illustrée par de nouveaux rassemblements, des piquets de grève, des routes bloquées, des transports perturbés ou encore des stations-service à sec pour la première fois depuis le début du conflit social.
© 2023 AFP
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