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C'est vrai que le chichon n'est pas plus dangereux que l'alcool et la descente bien moins rude. D'accord pour le reste aussi
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Q on soit pour ou contre l'usage du cannabis il n'est pas plus dangereux que l'alcool la légalisation libérerais des centaines de policiers qui pourrait s'occuper d'autre affaire plus importante est l'état aurai 20% de T.V.A en plus dans les caisses.
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Pas mal de fumeurs disent « j’arrête quand je veux »
Pas mal d’alcooliques disent « je sais me tenir »
Pas mal de consommateurs de substances dures disent « je maîtrise »
Pourtant
Pas mal de fumeurs n’arrêtent qu’au cimetière
Pas mal d’alcooliques finissent dans un arbre quand ce n’est pas dans la voiture d’un autre
Pas mal de drogués (à un moment il faut bien dire le mot) finissent dans l’apothéose d’une overdose
Mais tous étaient sûrs « oui mais pas moi, je contrôle »
L’homme est ainsi fait et les Suisses ne font sans doute pas exception à la règle.
De la substance récréative à la dépendance à la cocaine il n’y a peut-être qu’un pas que les saisies en fortes hausses semblent accréditer. Pas pour tous, c’est d’accord mais se dire quand on circule sur 100 km qu’on a peut-être croisé « un Palmade » (terme générique bien sûr) n’a rien de rassurant, non ?
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C'est vrai Anjou, il y a les plus faibles qui n'ont pas les moyens de se prendre en main moralement et psychiquement pour s'évader d'une vie de merde. Mais il ne faut pas négliger la prise de substances ''récréative''. Et ces consommateurs là, se trouvent dans les plus hautes couches de la société. Pseudo ''élite'' qui ne laissera jamais tarir sa source de substances du bonheur. Faut croire que même ceux là veulent fuir les réalités de leur vies... de merde
Et ces ''élites'' ne priveront jamais les cités de leur économie parallèle, gage de paix sociale
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Peut-être que le plus grave et le plus inquiétant ce ne sont pas les trafiquants mais plutôt que des pans entiers de populations aient recours à des substances permettant de s’échapper d’une vie personnelle fade et insipide qui ne les satisfait pas.
La faute à qui ? Se prendre en mains, avoir ses objectifs personnels et alors pas besoin de soit-disant paradis artificiels qui ne font qu’asservir des consommateurs devenus dépendants.
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Le seul et unique moyen d' assécher l' économie parallèle des cités. Et son lot de délinquance attachée.
Grosse erreur ! L'économie parallèle des cités est tolérée au sommet du pouvoir selon le gentlemen agrément suivant : on vous laisse gérer vos cités et vos business et vous y maintenez l'ordre pour nous, sans nous faire ièch. Et au passage vous nous fournissez pour nos soirées canailles.
Plus de trafic dans les cités => soulèvement assuré dans les quartiers et pénurie de substances pour les soirées des happy few
Message complété le 29/03/2023 09:07:33 par son auteur.
... les mafias se sont toujours bien entendu entre elles. Quelles soient légales ou illégales
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Eh le Chinois passant moins de temps à étaler son racisme, son homophobie, sa haine de l'autre, sa vision ridicule d'une domination de l'homme sur la femme, sa haine de l'Occident, on en parle ?
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"Une fois de plus les Suisse sont au top en Europe"
S'ils fumaient moins , le Crédit Suisse serait peut-être encore là......
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Une fois de plus les Suisse sont au top en Europe pour pas changer.
Oui, mais nous, on a Palmade !
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les flics ont peur de rentrer dans les cités !!!!
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"Paul, un Bâlois de 42 ans, dont l'AFP connaît l'identité mais a accepté de ne pas la révéler" .
C'est incroyable comme l'AFP a réussi à faire son trou dans le milieu de Bâle !
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Pionnière en matière de prescription d'héroïne et de salles de shoot, la Suisse expérimente désormais la dépénalisation du cannabis récréatif, avec un premier essai dans les pharmacies de Bâle.
Paul, un Bâlois de 42 ans, dont l'AFP connaît l'identité mais a accepté de ne pas la révéler à sa demande, juge "1.000 fois mieux" d'acheter son cannabis en pharmacie, plutôt qu'à la sauvette comme il l'a fait pendant 25 ans auprès de "gens bizarres ou de criminels".
"Les gens sont heureux car pour la première fois ils peuvent en acheter légalement", s'enthousiasme à ses côtés le pharmacien bâlois Lucas Meister. Son établissement est l'un des neuf à participer jusqu'en 2025 à un essai de vente légale de cannabis dit récréatif, même si certains l'utilisent, comme Paul, pour traiter la dépression car le cannabis à usage médical est réservé aux cas extrêmes comme les douleurs dues au cancer.
"Nous avons les différents produits stockés dans le coffre-fort car c'est obligatoire", explique-t-il à l'AFP. Il en sort des sachets colorés aux allures de paquets de bonbons, de 5 grammes chacun, contenant six produits différents (quatre sous forme de fleurs de cannabis séchées, deux produits à base de haschisch), ayant des THC (tétrahydrocannabinol, substance euphorisante) allant de 4,5 à 20%.
En Suisse, le cannabis contenant plus de 1% de THC est interdit à la consommation. Même si le fait de posséder jusqu'à 10 grammes maximum pour sa propre consommation n'est pas punissable, la pression s'accroît en faveur d'un changement de législation.
En 2021, environ 70% de la population était favorable à une libéralisation, contre 58% en 2018, selon le ministère de la Santé.
"Il faut sortir du cadre illicite le cannabis, mais faire une régulation très stricte. Il ne s'agit pas d'encourager sa consommation", commente la vice-présidente de la Commission fédérale pour les questions liées aux addictions, Barbara Broers, auprès de l'AFP.
"Il est important que les gens aient accès à des produits contrôlés et régulés mais nous proposons d'interdire la publicité, et d'avoir des paquets d'emballage neutre comme pour les cigarettes dans certains pays", souligne-t-elle.
- Politique des petits pas -
Le gouvernement a opté pour une politique des petits pas, autorisant les essais pendant 10 ans.
A Bâle, des milliers de personnes ont postulé mais seulement près de 400 ont été sélectionnés, âgés de 18 à 76 ans. L'objectif est d'étudier "les effets de la vente réglementée de cannabis (...) sur la santé mentale et sur les comportements de consommation", explique le responsable de l'étude, le professeur de psychiatrie Marc Walter de l'Université de Bâle, à l'AFP.
Jusqu'à présent, l'étude a montré que les participants aiment surtout "les produits à très forte teneur en THC", indique-t-il.
Les prix, allant de 8 à 12 francs par gramme selon le THC, suivent le marché noir. "S'ils sont trop bas, les gens essaieront de revendre le produit, et s'ils sont trop chers, les gens vont se tourner vers le marché noir", souligne auprès de l'AFP Marc Brüngger, un des responsables de la société suisse Pure Production, qui produit le cannabis pour l'étude.
D'autres grandes villes vont lancer des essais, dont Zurich, Genève et Lausanne, mais la vente se fera aussi dans des associations.
- "Pur et bio" -
A Bâle, Paul est ravi d'avoir dit "au revoir" aux dealers et de savoir enfin ce qu'il consomme: un "cannabis pur et bio", cultivé en Suisse et dont la qualité est garantie par les autorités.
"Je veux consommer du cannabis, pas des produits chimiques faits en Chine", explique-t-il à l'AFP, horrifié par l'arrivée sur le marché des cannabinoïdes de synthèse, des molécules produites en laboratoire mimant les effets du THC.
Ce spécialiste en marketing regrette que la Suisse n'ait pas directement légalisé, comme dans certains Etats américains, au Canada et en Uruguay.
"La Suisse a choisi une autre voie, et en tant que scientifique, je préfère cela", commente le professeur Walter.
"C'est très suisse de faire ce genre de choses. Vous faites une étude pour voir comment la population va réagir, quelles sont les questions qui se posent", renchérit Frank Zobel, directeur adjoint d'Addiction Suisse.
"Le modèle vient des années 90" lorsque la Suisse a introduit la prescription médicale d'héroïne, dit-il, "là aussi il y a eu 4 ans d'essais pilotes et aujourd'hui c'est un traitement qui est remboursé par l'assurance maladie".
© 2023 AFP
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