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Oui, j.en suis bien conscient car des personnes dans ce cas autour de moi...
Un français, ancien charcutier salarié au luxembourg se demande comment les français peuvent vivre dignement avec d.aussi petites retraites !
Je.lui ai dit qu'on avait.ici 2.millions d.élus et retraités / élus à payer !!
Même à 2500 € par personne élue, avec les charges ça fait 120 milliards !!
Une paille ...!
Rien qu.en comptant tous les anciens ".très hauts" salaires de la fonction publique, on doit bien en recenser au moins 100000 !
A eux seuls, c,est déjà 10 milliards !
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@Luncyan
"Celui qui cesse de cotiser et de travailler est un assisté s'il vit au crochet de la société qu'il ait 25 ans ou 75 ans"
Tout à fait d'accord avec vous, il ne devrait pas y avoir de différence entre un chômeur, une personne en arrêt de travail, et un retraité.
Ils devraient tous toucher la même chose (moyennant des condition ou des abattements pour que ceux qui ne cherchent pas de boulot, sont en arrêt de complaisance six mois par an, ou n'ont jamais travaillé, soient pénalisés).
Cela simplifierait grandement le système de retraite et permettrait d'envoyer les effectifs ainsi dégagés vers les administrations qui en manquent cruellement (santé, justice, délivrance des papiers d'identité, douanes,....)
CSG sur tous les revenus, sans oublier les locations au black, les ventes sur le bon coin,... et cie.
Ensuite division du montant collecté par le nombre d'allocataires et application des abattements.
La solidarité et la répartition prendraient enfin un sens.
Avez vous entendu un seul parti de gauche, une seule organisation syndicale proposer un tel dispositif?
Jamais, une seule préoccupation pour eux, la sauvegarde des avantages acquis.
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Pour certains (es) intervenant faut arrêter d'écrire des conneries en faisant croire que la majorité de la population est aisé au moins 50% des retraitées touches à peine le SMIC par mois les personnes handicapées vive avec 900 euros par mois pour les mieux lotis ce n ai mêmes pas suffisant pour manger correctement.
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... si c'est demandé gentiment, ils peuvent même se dévouer pour faire passer le temps aux jeunes sur les forums boursiers
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Au pays du gaspillage continu,les retraités ne sont pas les plus mal lotis.
Ils peuvent travailler à temps partiel ( pour les volontaires et ceux en.bonne santé !),
Ils peuvent faire du trading,...
S.ils n.ont pas de revenus immo, ils peuvent sous louer une partie de leur habitation.
Faire des petits travaux ici et là...
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Un jeune français (esclave du système mi en place par les boomers) qui bosse 40h+ par semaine = 24.000€ de revenu.
VS
Un vieux assisté qui bosse 0h et qui dort en tirant à pleine puissance sur le système esclavagiste = 42.000€ de revenu.
T'elle est la France qui s'effondre de la fuite des cerveaux qui ont compris que ces règles jouaient contre eux :)
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Celui qui cesse de cotiser et de travailler est un assisté s'il vit au crochet de la société oui qu'il ait 25 ans ou 75 ans. Qu'il soit étranger ou français :)
Donc c'est le cas pour un retraité
Personnellement au moment de signer le "contrat social générationnel de solidarité" j'ai mi "non je ne signe pas je suis pas d'accord et je ne payerai pas" mais on continue à me prélever chaque mois
Donc visiblement, c'est de l'esclavage forcé
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Parce que les boomers coutent trop cher, ils sont la quintessence de l'assistanat français
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Les salaires négociés en France ont augmenté "significativement" entre fin 2020 et début 2023 dans un contexte de forte inflation, a indiqué mercredi la Banque de France, qui ne constate toutefois pas d'emballement d'une spirale prix-salaires.
Dans les branches professionnelles, les augmentations ont été soutenues par celles du Smic, indexé sur l'inflation contrairement aux salaires et qui a progressé de 6,6% entre janvier 2022 et janvier 2023, a précisé la banque centrale dans une note.
Cette hausse du Smic a entraîné une révision des minima salariaux de branche. Ils ont augmenté en moyenne de 4,9% au premier trimestre 2023 en glissement annuel. La progression devrait être un peu inférieure début 2023, selon la Banque de France qui a analysé les accords dans plusieurs centaines de branches.
Dans les entreprises, les hausses négociées pour 2023 ont atteint 4,4% en moyenne, moins que l'inflation. Mais s'y ajoutera une prime de partage de la valeur (exonérée de cotisations et de contributions sociales) d'un peu moins de 900 euros en moyenne pour un tiers des accords salariaux.
"Ces primes permettent de soutenir ponctuellement le pouvoir d'achat des salariés sans entretenir à terme une spirale prix‑salaires", souligne la note.
Cette revalorisation moyenne est supérieure à celle négociée pour 2022 (2,8%) et 2021 (1,4%).
Les augmentations salariales sont plus fortes dans l'industrie et la construction que les services, ainsi que dans les grandes entreprises ou chez celles connaissant des difficultés de recrutement.
La Banque de France a analysé un échantillon de plus de 1.800 accords de négociation annuelle obligatoire (NAO) entre fin 2020 et début 2023 dans plus d'un millier d'entreprises, couvrant au total près de 800.000 salariés.
Malgré ces hausses, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, avait déjà déclaré lundi ne pas constater d'emballement d'une spirale prix-salaire en France.
Selon la banque centrale, le salaire moyen par tête (qui comprend primes et heures supplémentaires) a augmenté de près de 4% en moyenne en 2022 (moins que l'inflation), et pourrait progresser de 6% cette année (plus que l'inflation).
"La hausse nominale du salaire moyen par tête ralentirait ensuite, mais moins vite que l'inflation, ce qui générerait un gain de pouvoir d'achat en 2024 et 2025", a-t-elle indiqué.
L'inflation a atteint 5,2% en 2022, selon l'Institut national de la statistique (Insee).
© 2023 AFP
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