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France: l'Insee dévoile le niveau de la croissance au premier trimestr

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moicmoi moicmoi
28/04/2023 13:04:52
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JCLAUDIO

« « Résultat : après des calculs savants ,l'insee fini par nous dire ..//.. à la pauvreté galopante, aux petits boulots avec contrat de 25 heures par semaine....à la déliquescence de la société.....
» »

Ne pas oublier les 300 jours pour empapaouter les Français. Cela fait partie de « la feuille de croute » : tout va très bien !

0.1 ou 0.2 %, c’est du positif, c'est pas -zéro. Donc tout va bien !

Partout dans la presse , y compris financière et boursière, on annonce : « Le risque de récession s’éloigne. »

Cela évite de parler des vrais chiffres du chômage, et des faillites plus importants que jamais. Qui dit faillites, dit moins de création de richesse et plus de chômage, et ceci, dans un contexte de hausse des taux d'emprunts.

Franchement, il faudrait que les entrepreneurs soient cons pour investir dans ces conditions. Problème : ils ne sont pas cons, et ils s'y connaissent en gestion. (contrairement à Nono Le Merle)

A comparer les chiffres des faillites et du chômage avec les chiffres de l’ inflation. Ça doit être « causant ».

Il sera toujours temps d’avouer que l’on est en récession quand on aura de l’eau jusqu’au cou !

Pour l’inflation , on n’insiste pas trop sur les fortes hausses de prix de l’alimentaire. Et pourtant, on achète moins souvent un cercueil ou des balles de golf que de l’alimentaire, me semble t’il. Mais, voilà.... l’effet 300 jours….

La feuille de route de macron est de s’attaquer , dès Juillet, à la réforme de l’indemnisation du chômage , aux remboursements de la sécu, à l’amélioration des conditions d’accueil des migrants et de l’accélération de leur légalisation, les nouvelles règles de taxation du foncier. Toutes choses annoncées en filigrane dans son dernier discours , soigneusement masquées par des phrases sibyllines.
La pauvreté en France, il n’en a rien à foutre. Au contraire, il la veut .

L'objectif de l'E.U. (succursale des U.S.): aligner les niveaux de vie des moutons Européens par le bas. (par le haut étant impossible, et non souhaitable pour les z'élites qui veulent rester z'élites.) Le monde des z'élites étant assûrément la famille tuyau de poële.

floalain
« « Le Maire applique la méthode Coué: tout va bien, tout va bien.... Mais à force de le répéter, il devient ridicule.
» »

En ce qui me concerne, il y a longtemps qu’il l’est , ridicule. Ridicule et incompétent en finances.
Et le pire, c’est que la Presse le donne comme possible successeur de macron. (ne pas oublier que c’est la Presse qui a fait macron, dès 2016 ou 15.)

  
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JCLAUDIO JCLAUDIO
28/04/2023 10:26:37
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Résultat : après des calculs savants ,l'insee fini par nous dire que l'économie du pays est en stagnation ....car 0,1 ou 0,2% c'est zéro compte tenu des marges d'erreur et d'une inflation galopante qui n'est pas complètement pris en compte.....Mais peu importe sur la méthode......et n'importe quel " pékin " pris au hasard dans la rue aurait pu en dire autant que l'insee......Le ministre de l' économie et la presse complice vont se gargariser avec ses chiffres et ils essaieront d'endormir la populace.....une fois de plus.....Mais tout cela ne changera rien au résultat final ,à la pauvreté galopante, aux petits boulots avec contrat de 25 heures par semaine....à la déliquescence de la société.....
  
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floalain floalain
28/04/2023 10:00:35
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Le Maire applique la méthode Coué: tout va bien, tout va bien.... Mais à force de le répéter, il devient ridicule.
  
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floalain floalain
28/04/2023 10:00:34
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Ralentie à nouveau par l'inflation, la croissance française devrait être modeste au premier trimestre
Ralentie à nouveau par l'inflation, la croissance française devrait être modeste au premier trimestre (AFP/Archives/DAMIEN MEYER)

La croissance de l'activité économique de la France a atteint 0,2% au premier trimestre de 2023, soutenue par le dynamisme de la production industrielle et du commerce extérieur, tandis que la consommation des ménages en biens a accentué son recul, pénalisée par l'inflation.

Après une hausse de 2,6% du PIB sur l'ensemble de 2022, l'activité économique a continué de résister et de croître légèrement en début d'année 2023, malgré un sérieux coup de frein amorcé à la fin de l'an dernier et des grèves à répétition contre la réforme des retraites.

Cette première estimation du produit intérieur brut (PIB) par l'Institut national de la statistique est légèrement supérieure à sa prévision, qui tablait sur une hausse de 0,1% sur les trois premiers mois de l'année.

Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a salué "la solidité" de l'économie française, dont les "fondamentaux tiennent bons".

"Les entreprises continuent d'investir et de créer des emplois, ce qui nous rapproche de notre objectif du plein emploi", a-t-il ajouté.

Alors que la consommation des ménages en biens s'est repliée de 0,2% au premier trimestre avec une baisse marquée dans l'alimentaire, touché par une inflation à deux chiffres, la production de biens et services a accéléré de 0,4%.

L'industrie manufacturière, surtout, a fait preuve de dynamisme (+0,7%).

Comme la production d'énergie qui a bénéficié de la réouverture de centrales nucléaires, la production a rebondi dans les raffineries, les grèves de mars contre la réforme des retraites ayant été "moins importantes" que celle d'octobre de l'an dernier, a détaillé l'Insee.

Du fait d'une augmentation des exportations et d'un recul des importations, le commerce extérieur a contribué positivement, de 0,6 point de pourcentage, à la croissance du PIB entre janvier et mars.

Pesant fortement sur la demande, l'inflation a atteint 5,7% en mars sur un an en France, et même 15,9% pour les produits alimentaires, qui sont désormais les premiers contributeurs à la hausse des prix devant ceux de l'énergie. Ceux-ci se sont assagis après la flambée provoquée par la guerre en Ukraine.

- Nuages -

L'Insee doit aussi donner vendredi une première estimation de l'inflation en avril, alors que le président français Emmanuel Macron a prévenu que la situation resterait difficile "jusqu'à la fin de l'été" concernant les prix des produits alimentaires.

Après ce tableau un peu meilleur que prévu au premier trimestre, l'activité économique française risque toutefois de voir les nuages s'amonceler les mois suivants.

Les économistes citent une conjugaison de facteurs: prix alimentaires restant à des niveaux élevés malgré une accalmie possible de l'inflation dès mi-2023, ralentissement économique mondial, assèchement du crédit sous l'effet de la remontée des taux décidée par la Banque centrale européenne, crise énergétique qui pourrait revenir sur le devant de la scène avec le retour de l'hiver...

L'Insee n'a pas encore fourni de prévision de croissance pour l'ensemble de l'année 2023.

Désormais engagé dans une stratégie de moindre dépense publique pour réduire l'endettement public de la France, le gouvernement prévoit une hausse de 1% du PIB sur l'année.

Il est plus optimiste que le Fonds monétaire international (0,7%) ou la Banque de France (0,6%).

L'Insee a par ailleurs revu en baisse de 0,1 point les chiffres de la croissance pour les troisième (0,1%) et quatrième (0%) trimestres de 2022 en France, sans que cela n'affecte la hausse du PIB de 2,6% enregistrée pour l'ensemble de l'année.

© 2023 AFP

  
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