Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
C'est presque comique de voir que tous les pays tombés entre les pattes des suppôts du WEF sont en faillite, US en tête. Et ça n'empêche pas des trolls de nous en vanter les mérites, contre les 80 % de la population mondiale non alignée.
Le Diable m'a dit de ne pas leur pardonner, parce qu'ils savent ce qu'ils font
Répondre
|
"C'est vrai papy mais est ce que la chine ou l'inde ne seront pas pire ?"
Pire ? Pire que les extorsions ? Pire que les menaces du genre " vous êtes avec nous ou contre nous" ?
Pire que de menacer le TPI s'il enquêtait sur les crimes de guerre américains ? Y aurait il une exception de nationalité qui accorderait automatiquement l'immunité pour cause "d'américanité" ?
Pire que toutes les guerres et tous les conflits générés par eux depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et même avant ?
Pire que le pillage et l'espionnage de masse de ses soi-disant alliés ? ( A ma connaissance ce n'est pas la Chine qui a mis sous écoute les smartphones des dirigeants européens) ?
Pire que le discours sur le danger nucléaire alors que ce sont les seuls à avoir balancé la bombe à deux reprises ?
Je ne parle même pas de la propagande US à travers ses films et "documentaires" que nous sommes assez stupides pour payer.
J'en passe et des meilleurs.
Mais pour répondre à ta question : peut-être, mais franchement il y aurait du boulot avant d'en arriver là.
Répondre
|
C'est pas la semaine dernière qu'on devait voir ce qu'on allait voir avec le rejeton Biden ? Le DS au tapis et tout et tout. Au final rien du tout ! J'espère qu'il n'y en a plus qui espèrent encore 🤣
Répondre
|
Leur comédie habituelle dont ils vont faire durer le suspense jusqu'à la veille de l'échéance histoire d'alimenter la volatilité des marchés dont ils profitent largement...
@ Syjo,
La dette chinoise est détenue à plus de 90% par les chinois.... Aucun impact financier direct pour le reste du monde; Par contre pour les USA comme pour la France dont les niveaux de dettes /PIB sont équivalentsl'impact est très différent...
Pour l'Inde, je ne sais pas.
Répondre
|
C'est vrai papy mais est ce que la chine ou l'inde ne seront pas pire ?
Répondre
|
Si pas erreur c.est environ 30000 milliards soit...la capitalisation de Wall Street en gros !
Ils pourraient tout vendre mais....
100000 par habitant ?
Bon le patrimoine total, s.il est en proportion du nôtre, ça doit faire....
150000 à 180000 milliards !
Répondre
|
Répondre
|
Joe Biden s'est dit mardi optimiste sur la possibilité d'éviter un défaut de paiement des Etats-Unis, qui pourrait survenir dans deux semaines, mais il a dû écourter son voyage diplomatique prévu en Asie pour se concentrer sur les tractations.
"Il reste du travail sur plusieurs questions difficiles", mais Joe Biden est "optimiste" quant à la conclusion d'un "accord budgétaire raisonnable", a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.
Le président américain s'entretiendra une nouvelle fois cette semaine par téléphone avec les principaux responsables du Congrès. Il les reverra en personne après son retour dimanche d'un voyage au Japon pour la réunion du G7.
Signe de l'urgence et de la difficulté des discussions, Joe Biden a annulé la tournée diplomatique majeure qu'il devait réaliser dans la foulée en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Australie, a annoncé la Maison Blanche.
Côté républicains en revanche, le ton était plus prudent. Cette réunion était "un peu plus productive" que la précédente, le 9 mai, a souligné Kevin McCarthy, responsable républicain de la Chambre des représentants, tenue par une courte majorité conservatrice.
De lui dépend, en grande partie, le destin financier à court terme des Etats-Unis.
"Nos positions sont encore éloignées, mais ce qui a changé au cours de cette réunion, c'est que le président a sélectionné deux personnes de son administration pour négocier directement avec nous", a-t-il indiqué à la presse, de retour au Congrès.
"Cela ne signifie pas que nous allons arriver à un accord", mais que "le processus est amélioré", a-t-il déclaré.
Pour autant, "je ne suis pas plus optimiste", a encore déclaré Kevin McCarthy, à deux semaines de la date fatidique d'un possible défaut de paiement de la première économie du monde, un scénario inédit et aux conséquences potentiellement dramatiques.
Le chef des démocrates au Sénat, Chuck Schumer, a lui rappelé qu'un défaut de paiement serait "la pire des alternatives".
- "Catastrophique" -
Dans un contexte de campagne présidentielle, et généralement de grandes tensions politiques, ni le président américain, candidat à un second mandat, ni le ténor conservateur McCarthy, ne veulent être celui qui cillera le premier.
La Maison Blanche a multiplié les mises en garde sur un possible défaut de paiement, une situation dans laquelle l'Etat fédéral se verrait dans l'incapacité de débourser un seul centime, qu'il s'agisse de payer des salaires, verser des prestations sociales, rembourser ses créanciers.
Ce serait "catastrophique" et "dévastateur pour l'Amérique et, pour le dire franchement, le monde entier", avait dit Joe Biden dans une vidéo diffusée sur Twitter avant la réunion.
Ce scénario inédit d'un défaut de paiement américain menace dès le 1er juin si aucun accord n'est trouvé au Congrès pour relever le plafond d'endettement public autorisé.
"Nous demandons instamment qu'un accord soit conclu rapidement afin que le pays puisse éviter ce scénario potentiellement dévastateur", exhortent plus de 140 PDG d'entreprises américaines, dont ceux des géants Pfizer, Morgan Stanley, ou encore Goldman Sachs, dans une lettre ouverte envoyée mardi à la Maison Blanche et aux responsables du Congrès.
Le calendrier parlementaire complique encore l'affaire. La Chambre des représentants et le Sénat, qui ensemble composent le Congrès, et qui doivent pareillement voter sur la dette, ne siègent au même moment, jusqu'au 1er juin, que pendant quatre jours.
- Plusieurs options -
Le Congrès américain doit régulièrement - c'est une spécificité du pays - relever le plafond maximal d'endettement public.
Or les républicains de Kevin McCarthy refusent de voter en ce sens tant que Joe Biden n'acceptera pas d'importantes coupes budgétaires.
Officiellement, la Maison Blanche refuse de négocier sur le relèvement du plafond d'endettement, longtemps une procédure de routine et qui ne doit pas, selon Joe Biden, être politisée puisque la dette a été accumulée par des gouvernements des deux bords.
Mais, en réalité, plusieurs options sont sur la table.
Les républicains et les démocrates pourraient ainsi s'entendre pour que plusieurs dizaines de milliards de dollars prévus pour répondre à la pandémie de Covid-19, mais jamais utilisés, soient annulés, de manière à réduire la dépense publique.
En discussion également, selon la presse américaine: les attributions de permis dans le domaine de l'énergie, et le durcissement des conditions d'attribution de certaines prestations sociales.
Cette dernière option suscite l'indignation de certains élus démocrates les plus à gauche, par exemple la sénatrice Elizabeth Warren, qui a dénoncé mardi au Capitole "une tentative pure et simple de priver des gens de prestations dont ils dépendent pour survivre."
© 2023 AFP
Répondre
|