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29000+4000= 33000.
37000-4000= 33000.
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La bourse c'est un peu comme la météo,les prévisions sont meilleures lorsqu'elles sont en direct !
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un complot de plus .
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Je ne ferais que rappeler que depuis fin 2018, on a peu près tout eu entre l'euphorie et le désespoir, y'a pas de raison que ça s'arrête.
Vous constaterez encore justement sur cette période que tous les instruments mis en place pour nous éviter le pire ont conduit inéluctable au pire, grâce à l'attractivité du vide sidéral : vous voilà prévenus...
On a d'ailleurs retirer des indices le CAC40 Volatility qui permettait entre de lire les interventions de régulation de marché et aussi prédire les accidents industriels boursiers en cours...
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A un moment donné, ça va faire pschitttttttt , et ce sera pas joli à constater.
La dette ne tiendra, aussi longtemps que les créanciers n'ont pas peur , mais quand ils auront peur, ce sera : sauve qui peut .
Et ils prendront peur ( les créanciers ) quand ils comprendront qu'ils ne retrouveront jamais leurs billes, parce qu'on aura tout essayé sans succès ( guerre...inflation ).
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Le cabinet EY, pas foutu de déterminer si les comptes de S30 étaient validables ou non validables et avec une affaire judiciaire récente aux fesses 😅😂🤣 scusez, c'est nerveux...
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31400, ça doit être la capitalisation de wall Street.
10 fois le Cac ou le pib de France.
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ils auraient fixé la dette à 50 000 milliards ils auraient été peinards pour 10 ans au moins.Mais non 31400 pas un cent de plus.On peut pas leur faire confiance!
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C'est vrai que chez Bloomberg il y a plus de surface que de profondeur
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technicienne de surface !
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'' Le faible pense le monde via les médias ou via l'avis d'autrui
Le fort pense le monde par lui même ''
Jocelyne, agent d'entretien chez Bloomberg
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"La dette US est un mème dont tous le monde connaît l'issue : compromis trouvé. Papygaga, plus gaga que papy, change ton disque, il est rayé !"
Quant on a rien à dire ou opposer on se livre aux attaques personnelles.
Quant à l'issue annoncée médite bien ceci : "les arbres ne montent pas jusqu'au ciel" , même la dette U.S.
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La dette US est un mème dont tous le monde connaît l'issue : compromis trouvé. Papygaga, plus gaga que papy, change ton disque, il est rayé ! Tu cherches à faire dévier les sujets. Il y a une guerre parce que la ruzzie a envahi un état souverain, parce que la ruzzie mène une énième guerre impérialiste contre un de ses voisins. Que les ruzzes retournent chez eux, derrière les frontières reconnues internationalement et la guerre s'arrête ! Même un enfant de cinq ans comprendrait.
Il est néanmoins à noter que d'aucuns s'agacent en ce moment particulièrement, comme s'ils commençaient enfin à comprendre : ça sent bon pour la liberté - valeur qu'ils honnissent ! Ils ont peur de perdre leur bifteck ! Spring is here !
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Un Etat en faillite en somme.
Raison pour laquelle la guerre en Europe a été déclenchée.
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Alors que plane la menace d'un défaut de paiement américain, la rencontre entre le président Joe Biden et le chef de l'opposition Kevin McCarthy n'a toujours pas permis de sortir du bras de fer tant politique que budgétaire qui les oppose.
Le compte à rebours est lancé. Si aucun accord n'est trouvé entre Joe Biden et l'opposition républicaine aux États-Unis d'ici au 1er juin, une crise politique et financière pourrait avoir lieu à Washington. Les décideurs ont en effet dix jours pour trouver un compromis et relever (ou non) le plafond de la dette américaine.
Décidé par le Congrès, le plafond de la dette correspond au montant maximal jusqu'auquel l'État peut emprunter. Fixé à 31.400 milliards de dollars, il a été atteint mi-janvier. Depuis, le Trésor américain utilise des astuces comptables pour retarder au maximum le jour où ce seuil sera dépassé.
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