La Bourse de Paris inquiète du ralentissement économique

Je note : " in MAY , sell and go away "

ça fait parti des inepties en cours depuis de nombreuses années qui fait la joie de ceux qui les achetent...

Notons encore qu'actuellement la polémique autour de la dette américaine pour faite douter les bourses tombe à point nommée pour faire vendre alors plus de 340 milliards d'€ vont être distribués en dividende (chiffres donnés la semaine dernière) et que la plus grosse période de distribution est Mai / Juin.

Une occasion bénie pour certains pays comme les USA de faire rentrer des devises....

Négliger les dividendes dans sa recherche performance boursière est une grave erreur : la preuve...


35% : la part des dividendes dans la performance globale des actions européennes

Publié le 01/03/2023 - LE R EVENU

Les dividendes distribués contribuent pour plus d'un tiers, sur longue période, aux gains totaux des actions européennes.

35% : c’est la part des dividendes dans la performance globale des actions européennes, sur 45 ans, de 1978 à 2022, selon une étude d'Allianz Global Investors, entité de gestion d’actifs de l’assureur Allianz.

L’exercice 2022 n’est d’ailleurs pas en reste : les 400 plus grandes sociétés européennes composant l’indice MSCI Europe ont distribué 382 milliards d’euros de dividendes.

En France, depuis la création de l’indice parisien en 1987, ses cours ont été multipliés par 7 en 35 ans, mais ceux de son frère jumeau, l’indice CAC 40 dividendes réinvestis, ont été multipliés par 21 sur la même période.

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Sait-elle la Cour des Comptes que la viande française peut aider à vivre d'autres pays, les bovins français sont les meilleurs du monde. Sait-elle aussi que notre part de CO2 dans le monde est ridicule et qu'elle ne pose aucun problème si on laisse les grandes forêts équatoriales oeuvrer pour la croissance de leur arbres. Ah oui mais là ils ont peut-être peur de dénoncer que sur conseil US l'Indonésie a foutu en l'air sa forêt pour cultiver le palmier à huile. Ce fut comme un krach, l'acidité des sols ne permet pas de cultiver le palmier.

De même le Brésil Bolsonarien a foutu en l'air la forêt Amazonienne. De même les Russes Poutiniens et les Turcs Erdoganiens veulent s'emparer de la forêt équatoriale en Afrique, quand ils auront réalisé celà ils auront foutu en l'air le dernier poumon du monde. Serait-ce cela ce que veulent laisser faire les hommes politiques de l'UE. Quand ils auront fini de foutre en l'air les forêts les politiques et les gens de la CC seront peut-être bien la cible des vrais défenseurs de la nature, mais trop tard et trop loin des petites questions ou prétentions de la CC.

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Bonjour , Toute ces explications pour la baisse , c'est du thé . En fait , nous sommes en MAI ; Comme disent les anglo-saxons , " in MAY , sell and go away " Cela s'explique : ce mois de mai , les investisseurs délaissent les portefeuilles car les dividendes sont versés ( jusque Juin ) et les cours baissent au moins d'autant sinon plus . Ils s'allègent donc avant et regarnissent plus tard ( juillet )

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Toutes les explications " scientifiques " données par ABC ; Z ;bourso , etc , c'est du cinéma pour montrer qu'ils savent . E

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La Bourse de Paris recule de 0,68% mardi dans la matinée, prise en tenaille par les craintes sur le ralentissement de la croissance et les débats sur la dette américaine.

L'indice vedette CAC 40 cède 51,08 points à 7.427,08 points peu avant 10H30. Lundi, il a terminé en baisse de 0,18%.

L'économie française a continué de croître en mai, mais à un rythme moins soutenu que le mois précédent en raison d'un ralentissement dans le secteur des services, selon l'indice PMI provisoire publié mardi par l'agence S&P Global. Le ralentissement des services est un peu plus prononcé qu'attendu par les économistes recensés par le fournisseur de données Factset.

"Les nouvelles affaires ont reculé pour la première fois depuis trois mois en mai, tandis que l'inflation des prix payés et celle des prix facturés se sont maintenues à des niveaux élevés" a commenté Norman Liebke, économiste à Hamburg Commercial Bank, qui publie l'indice avec S&P Global.

En zone euro, l'indicateur global a aussi ralenti davantage qu'attendu par les analystes, principalement en raison des difficultés dans l'industrie.

Les investisseurs s'inquiètent depuis plusieurs mois du ralentissement de la croissance, voire d'une récession, en raison de la hausse des taux impulsée par les banques centrales dans le monde afin de freiner l'inflation.

Les investisseurs garderont un oeil sur le feuilleton du moment, les négociations sur le relèvement du plafond de la dette américaine et le risque de défaut de paiement dès juin si aucun accord n'est trouvé.

Joe Biden et le chef de l'opposition Kevin McCarthy ont voulu croire lundi à une sortie de crise à l'issue d'une réunion entre eux, mais leurs désaccords ne sont pas encore surmontés.

Toutefois, "la solidité des actions malgré la remontée des taux sur le marché obligataire", et le fait que l'or ne profite pas de son statut de valeur refuge dans les crises "indiquent que les investisseurs regardent la saga du plafond de la dette américaine comme un film américain, sachant qu'il y aura une fin heureuse", estime Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.

Sur le marché obligataire, le taux français à 10 ans, l'échéance qui fait référence, restait stable à 3,03%.

Vivendi chute après une vente d'action de Bolloré

L'action de l'entreprise Vivendi a chuté de près de 8% à la Bourse de Paris mardi dans la matinée, après des ventes d'actions de la part d'une société liée à Vincent Bolloré, alors que les investisseurs s'attendaient à l'inverse à une montée au capital.

La compagnie de Cornouaille, "liée à Vincent Bolloré" selon la description de l'Autorité des marchés financiers dans une notice publiée lundi après la clôture des marchés, a vendu plus de 1,5 million d'actions, soit autour de 0,14% du capital de Vivendi.

Les tensions autour de la Chine pèsent sur le luxe

Les tensions entre la Chine, les Etats-Unis et le Japon, qui s'expriment notamment sur le secteur stratégique des semi conducteurs ces derniers jours, ont entraîné une baisse des Bourses chinoises mardi et font reculer d'autres valeurs liées à ce pays à la Bourse de Paris.

C'est le cas dans le luxe, avec une baisse de 3,01% à 1.961,40 euros pour Hermès, de 2,28% à 858,20 euros pour LVMH, dans les cosmétiques avec -0,68% à 415,90 euros pour L'Oréal.

© 2023 AFP

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