Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a indiqué mercredi que la question de la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP) "ne saurait se poser dans l'immédiat compte-tenu des conditions" actuelle du marché dues à la crise du coronavirus et du pétrole.
"Compte tenu des conditions de marché, de toutes façons, nous serions un bien mauvais gestionnaire si nous faisions le choix immédiat de céder les actifs et nos participations dans ADP", a ajouté la secrétaire d'Etat à l'issue du Conseil des ministres, à la veille de date limite pour le dépôt des signatures exigées pour un référendum d'initiative partagées (RIP) sur cette opération contestée.
Lors du dernier pointage du Conseil constitutionnel, le projet de référendum présenté par plus de 250 députés et sénateurs (de LFI à LR) avait comptabilisé un peu plus de 1,1 million de soutiens, bien loin des 4,7 millions (10% du corps électoral) nécessaires pour déclencher un RIP.
Refusant de commenter ce résultat avant la fin de la période officielle de recueil des signatures fixée à jeudi minuit, Sibeth Ndiaye a toutefois précisé que "l'instabilité actuelle des marchés" montrait "que les conditions" n'étaient "pas du tout favorables pour le moment à une quelconque opération de privatisation et en particulier pour ce qui concerne ADP".
Sollicitée par l'AFP, la direction du groupe Aéroports de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire sur cette annonce.
Avec la crise du coronavirus le contexte économique n'est plus du tout propice à une introduction en Bourse. Le transport aérien est frappé de plein fouet, compagnies aériennes et aéroports subissant à la fois les mesures de confinement, la prudence des vacanciers et les annulations de déplacements professionnels.
Dans le même temps, la panique a gagné les marchés boursiers, avec une chute de plus de 12% sur la dernière semaine de février et un "lundi noir" cette semaine, le CAC 40 ayant décroché de plus de 8%, du jamais vu depuis la crise financière de 2008.
© 2020 AFP
Vous avez aimé cet article ? Partagez-le avec vos amis avec les boutons ci-dessous.
23/04/24
Xavier Niel donne de nouveaux gages d'indépendance au groupe Le Monde
23/04/24
Livrets A et LDDS poursuivent leur ascension en mars mais à vitesse plus lente
23/04/24
CAC40 :renoue avec 8100, l'E-Stoxx avec 5000, Nasdaq à +1,5%
23/04/24
Grève importante jeudi du contrôle aérien en France, et menaces sur le pont de l'Ascension
23/04/24
CAC40 : se rapproche des 8.100, bien soutenu par W-Street
23/04/24
Groupe Le Monde: Niel finalise la cession de ses parts à un fonds indépendant
Fibopivots
11/03/20 16:52
|
Doudou, la France est un pays littéraire. Regardez notre président, Hollande, Chorac, Mother and,... Le seul, on peut le reconnaître, le Sril différent, c'était Sarko qui avait relevé le plafond pour les plus values lors des successions, Qui a lancé l'auto entreprise, Qui a defiscalise les heures sups. Les autres parlent et parlent.. On n'est pas sorti de l'auberge... |
Fibopivots
11/03/20 16:52
|
On vit au pays du gâchis,... Pardi. Tant pis.! |
Luncyan
11/03/20 17:44
|
Et qui a mutualisé les pertes fibo ? |
LBWB
11/03/20 17:50
|
c'est en 2018 qu'il fallait éventuellement privatiser depuis l'action à perdu +/- 45 %. Message complété le 11/03/2020 17:53:45 par son auteur. D'ailleurs ils auraient mieux fait de vendre Renault qui à mon avis n'a aucun enjeu stratégique, là c'est un super placement à - 80 % depuis mars 2018 |
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.