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ASSURANCE VIE



CRI74 CRI74
11/08/2017 18:19:59
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Bonjour . Il vous faudrait consulter un office notarial qui vous donnera une réponse formelle avec les documents en votre possession
  
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gars d'ain gars d'ain
15/08/2017 10:26:35
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visiblement, vous auriez bien l'usufruit, mais la sucession du défunt passerait avant en terme de procédure. dans le genre de situation, il convient de tenir de compter du classement temporel des faits pour appliquer les règles successorales. ne pas hésiter à vérifier ses droits auprès d'un notaire en l'occurence celui désigné pour la succession et aussi relancer régulièrement l'assurance vie dont certaines se font tirer les oreilles pour débloquer les fonds...
  
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citronnelle citronnelle
18/08/2017 15:39:54
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Merci pour votre réponse mais je n'ai pas bien compris la raison pour laquelle cette assurance irait dans la succession du donateur. Pour info il est décédé depuis 18 mois et sans doute sa succession est déjà fermée. Je pense que c'est peut être la clause bénéficiaire qui n'est pas très précise. J'ai pris RV chez mon notaire pour en savoir plus. Je vous donnerai les infos recueillies. Citronelle
  
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gars d'ain gars d'ain
30/08/2017 08:57:15
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alors, vous en êtes où...
  
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citronnelle citronnelle
31/08/2017 10:29:09
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Bonjour Après visite chez le notaire c'est la clause bénéficiaire qui a été mal rédigée. En fait c'est la banque du défunt qui a fait souscrire cette assurance-vie à la demande du donateur. Voilà la banque est responsable mais je n'ai aucun recours à moins que..... Qu'en pensez-vous ? Je perds pas mal d'argent, j'aurais dû être plus vigilante. A ma décharge le donateur était beaucoup plus âgé que mon époux mais est décédé bien après lui. Et la banque nulle !!!!! Merci pour vos conseils. Citronelle
  
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moicmoi moicmoi
01/09/2017 13:17:30
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Bonjour Citronelle Je ne suis ni conseiller fiscal, ni juriste. Je ne livre donc que mes propres réflexions. (qui peuvent être très éloignées du Droit, parfois) Donc, je ne conseille pas. « « c'est la banque du défunt qui a fait souscrire cette assurance-vie » » En fait, cest un « conseiller » ,ou supposé tel, (qui nest rien dautre quun simple vendeur) qui a vendu un produit. Le souscripteur (et non pas donateur) a signé le contrat de son plein gré, je suppose. En matière de contrat, le souscripteur est tenu de lire et analyser chaque clause du document qui lui est soumis (y compris les toutes petites lignes en fin de document, où se cache généralement le diable) , et propose ses corrections en cas de désaccord. Ce qui nest presque jamais fait. De plus, il est de notoriété publique que la clause « bénéficiaires » doit être réfléchie, ultra-détaillée, et rédigée très précisément. Cest grace à cette clause mal rédigée, ou mal définie, que de nombreuses banques, compagnies dassurance, courtiers, etc..ont été légalement les bénéficiaires exclusifs de nombreuses assurances-vie. (une loi récente a considérablement modifié les possibilité de cette magouille crapuleuse ) Donc : le vendeur a proposé un contrat. Le souscripteur (majeur et en possession de tous ses moyens intellectuels je suppose) a signé ce document, donc, en a accepté les termes. En loccurrence, la banque ne peut être tenue responsable. Moralement, elle est mauvaise conseillère, mais elle na pas forcé son client à signer ce document avec un révolver sur la tempe. Sa faute est minime, et je doute que, devant justice, elle puisse être condamnée à quoi que ce soit. Et si cela était, cela te coûterait bien plus cher que le gain éventuel (les avocats ne sont pas vraiment adeptes de Padre Pio, abbé Pierre, ou mère Thérésa. Conclusions : * la vigilance doit sappliquer bien avant le partage (le décès du souscripteur), sachant que le souscripteur peut à tout moment demander les modifications ou la résiliation de son contrat * un recours en justice serait vain, (et très onéreux) * je crains que tu naies dautres solutions que daccepter ce qui te sera attribué. Je suis désolé.
  
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gars d'ain gars d'ain
06/09/2017 10:55:45
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Je note "clause bénéficiaire qui a été mal rédigée" Qu'est il reproché sur la forme et sur le fond ? A+
  
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citronnelle citronnelle
12/09/2017 09:36:32
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clause bénéficiaire toujours la compléter par le nom et prénom du bénéficiaire suivi de à défaut à mon épouse ou mes enfants. Ce qui permet si le donataire décède avant le donateur que le capital soit versé comme indiqué, son épouse (s'il en a une) ou ses enfants. Dans mon cas le capital sera réintégré à la succession du donateur. Citronelle
  
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gégé53 gégé53
23/02/2018 00:10:48
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Bonjour ..Je pense que vous mélangez le code civile et le code des assurances...La clause bénéficiaire aurait dû désigner une autre personne , "à défaut "de votre époux décédé ,si bien que personne n'étant désigné ces "50%" rentre dans la succession...Et les droits à acquitter ne sont pas les mêmes ;selon la date de souscription du contrat,et la date des" VU" notamment avant les 70 ans du souscripteur . En ce qui concerne l'usufruit et votre donation ;cela n'a rien a voir dans ce cas . l'assureur à certainement raison .
  
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citronnelle citronnelle
11/08/2017 14:18:11
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Nous avons bénéficié mon époux et moi-même à raison de 50% chacun d'une assurance-vie souscrite par un petit cousin. Or mon époux est décédé avant le donateur. Ayant l'usufruit de mon époux je pensais recevoir les fonds mais l'assureur m'indique concernant mon époux que sa part rentre dans la succession du défunt. Sur la donation faite sous seing privé il n'était pas indiqué d'autre héritier ex. mon épouse ou mes enfants ! L'assureur a-t-il raison ? ou puis-je recevoir sa part en tant qu'héritière. Urgent. Merci

  
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