May: le Brexit signifiera la sortie du marché unique - Page 2

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/un-hard-brexit-risque-de-faire-exploser-le-groupe-iag-british-airways-iberia-vueling-aer-lingus-630955.html

Répondre

ce n'est pas parce que les journaux remettent sur la place la dénonciation de l'accord UE Moldavie qu'il n'était pas déjà en cours
http://adevarul.ro/moldova/politica/programul-dodon-denuntarea-acordului-deasociere-ue-1_54290b810d133766a88382bc/index.html
Et cela date bien de 2014 !!!!!!!!!!!!

Répondre

Au sein du Commonwealth, la tendance est plutôt au «Bremain». En cas de Brexit, les groupes australiens, canadiens et indiens, les plus présents en Grande-Bretagne, perdraient leur fenêtre sur l'Europe. Quant aux pays africains, la plus forte délégation régionale du Commonwealth, l'unique argument en faveur du «Out» est la perspective de négocier des contrats commerciaux bilatéraux.
Dans les pays du Commonwealth, le Brexit n'a pas la cote. Notamment ceux avec lesquels la Grande-Bretagne a les relations commerciales les plus étroites comme l’Australie, le Canada et l’Inde. A l'instar de tous les partenaires du Royaume-Uni, leurs craintes sont avant tout économiques.
Pour le gouverneur de la Banque centrale du Kenya, Patrick Njoroge, «ce sera un désastre». «Nous sommes connectés à tous les marchés extérieurs. Si la volatilité s'y installe, nous seront touchés car nous n'avons pas pris d'assurance contre une telle situation. Il n'y aura nulle part où se cacher», rapporte l'Agence Ecofin.
Les risques concernent aussi les investissements directs. Au sein du Commonwealth, l’Australie est le pays qui détient le plus d’entreprises en Grande-Bretagne même si ce sont les entreprises indiennes qui réalisent les plus importants chiffres d’affaires, selon les statistiques officielles britanniques.
«Ceux qui voteront pour la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union ne doivent en aucun cas espérer la gratitude des Australiens ni de quiconque appartenant à l’Anglosphère (pays qui ont en partage la langue anglaise)», souligne le directeur exécutif du think tank The Lowy Institute, Michael Fullilove, cité par Business Insider Australia. En premier lieu, ils se mettront à dos le monde des affaires qui milite en faveur d'un Bremain (Britain+remain). Plus généralement, un peu plus de la moitié des Australiens sont défavorables au Brexit, selon une étude réalisée par The Lowy Institute. S'ils résidaient au Royaume-Uni depuis au moins quinze ans, à l'instar de tous les ressortissants des 53 pays du Commonwealth, ils pourraient exprimer leur opinion dans les urnes lors du référendum du 23 juin 2016.
22/06/2017

Répondre

Moldavie : le président prorusse souhaite l’annulation de l’accord commercial avec l’UE
La Russie avait largement fermé la porte aux importations moldaves depuis la signature de l’accord avec l’UE.
Le Monde.fr avec AFP | 17.01.2017 à 16h29

Répondre

Vous êtes spécialisés en détournement des faits : la possibilité de dénonciation de l'accord par le président moldave est datée de novembre 2014 ; ça n'a strictement rien à voir avec le Brexit !

Message complété le 17/01/2017 18:02:56 par son auteur.

Et l'Ecosse ou l'Irlande , vous les avez entendus se réjouir du Brexit aussi ???

Répondre

@whatelse, bonsoir, "la GB s"en mordra les doigts" ben j'en suis pas convaincu, on parle toujours de ce que la GB va perdre a croire que que seule l'UE sera gagnante, on oubli un peu vite que la cote de popularité de l'UE est en chute libre on e voit avec les elections et le referendum italien qui n'est qu'un rejet de l'UE, de plus on oubli un peu vite l'appui des US et le commonwealth, je pense que d'autres pays suivront, enfin ce n'est qu'un avis

Répondre

Balivernes que tout cela. Les Anglais prennent leurs décisions (sans s'en référer à Bruxelles, heureusement).
Encore une fois, ne nous en mêlons pas car il y a assez à faire dans notre pays.
En tous les cas, chapeau bas, car le Gouvernement britannique va respecter la décision du peuple, ce qui n'a pas été le cas en France (UMPS encore une fois).

Répondre

La GB espère une sortie en douceur avec à la clé des droits de douane mineurs. Mais, comme je pense et le souhaite, les membres historiques ont tout intérêt à montrer à tout le monde, que si d'autres ont des velléités de sortie cela se fera au prix fort. À partir de là, les anglais vont se mordre les doigts.

Répondre

@cri, cet accord a été signé en 2014 prevision d'une entree en UE, au detriment de la Russie, cette accord est remis en question aujourd'hui certainement une coincidence

Répondre

L'accord de la Moldavie avec l'UE que le président dénoncerait : ça date de novembre 2014 ! .... bien avant qu'on connaisse le nom et les intentions de Brexit

Répondre

@glanglois


on ne se tape pas la crémière mais son sourire hein! May euhhh !

Répondre

@cri, bonsoir, qui a dit que la Moldavie faisait partie de l'UE?

Répondre

Depuis quand la Moldavie serait dans l'UE ?
Comme vous ne lisez pas les files , l'UE négocie avec les anglais pour l'ensemble des pays la constituant et non en bilatéral !
Pire encore , la perte du passeport européen pour les financières , domaine dont les actifs représentent 450 fois le PIB britannique qui les contraignent à s'expatrier au moins pour ce qui concerne les métiers liés à la gestion européenne

Répondre

@ganglois, bonjour, "l'UE sans la GB va pouvoir avancer?" pour aller ou? 27 pays avec 27 economies differentes, 27 fiscalités differentes, 27 positions differentes sur l'immigration la geopolitique, symbolique mais parlant le nouveau President de la Moldavie veut remettre en question les accords avec l'UE, je suis convaincu que la GB traitera les affaires Pays par Pays, pas un ne refusera de travailler avec la GB , les temps sont durs pour tout le monde, l'UE c'est tirée une balle dans le pied avec les immigrés, Merkel a demontré que c'est l'Allemagne le" chef", j'ai dans l'idee qu'on ne va pas tarder a reparler de la Grece sous peu, pour l'UE c'est le debut de la fin, maintenant reste a savoir si ça se fera dans l'ordre et dans le calme, enfin ce n'est que mon avis

Répondre

Petit détail pour qui voudrait tromper son monde : c'est l'UE qui négocie pour l'ensemble des pays la composant et non pays par pays !

Répondre

ce serait une grosse erreur de permettre aux anglais de vendre dans l’Europe sans une taxe douanière de 35% on ne peu pas avoir le beurre , l'argent du beurre et la crémière c'est ce que veulent les Anglais .

L'Europe sans les Anglais va enfin pouvoir avancer ...

Répondre

"Nous n'allons pas chercher de rester membre du marché unique mais nous allons chercher à avoir le plus grand accès possible", a-t-elle développé, alors que 44% des exportations britanniques sont allées vers l'UE en 2015."


44% des exportations qui devront se soumettre à des droits de douane avec le Brexit
A savoir qui va perdre réellement , c'est tout vu et sacré avantage pour l'Europe dans les futures négociations !!!!!

Répondre

c'est parfait comme résumé...


j'ai pas mieux !


ça vire au grand n'importe quoi et ça montre tous les dangers de voter pour des propositions farfelues : si ces propositions farfelues passent, vous exposez à devoir les mettre en oeuvre.


Le plus comique, c'est la débâcle du navire "Skip" dont les membres fuient un par un les responsabilités de peur d'être pointé du doigt et surtout d'être tenu pour responsable en vue d'un lynchage politico-médiatique éventuel.


Le plus dangereux reste à venir, car si la menace de transformer l'UK en gigantesque paradis fiscal aux portes de l'Europe, on va droit à la CATA et l'Angleterre avec car les pauvres et les moins pauvres seront encore plus pauvres...


Le dernier film de Ken Loach montre cruellement ou est en le système britannique en matière d'élévation de la nation...

Répondre

Si la France reste sur la position de "dehors, c'est dehors", elle aura tout à y perdre.
Vous verrez par contre que les Allemands seront là pour négocier avec les Britanniques, ils tiendront avant tout à maintenir leurs ventes en Grande-Bretagne de leurs voitures, produits pharmaceutiques, matériels ménagers, etc.
Ca promet quelques empoignades lors des prochains sommets de l'UE.

Répondre

Madame May aurait pu reprendre les paroles de Winston Churchill

"C'est le commencement de la fin".

Répondre