OK
Accueil > Communauté > Forum Metropole Tv

M6: résultat net de 234,1 ME en 2023 (+45%)

Cours temps réel: 14,50  1,26%



JD1976 JD1976
24/04/2024 11:01:16
0

Au 1er trimestre 2024, M6 a réalisé un chiffre d'affaires consolidé2 de 322,3 ME, en hausse de +4,3% à périmètre constant.

Le chiffre d'affaires publicitaire est en hausse de +2,0% par rapport au 1er trimestre 2023, du fait de la hausse du chiffre d'affaires publicitaire TV qui atteint 220,1 ME.

Les revenus non publicitaires sont ressortis en hausse de +6,7%, principalement portés par le dynamisme de l'activité cinéma sur le 1er trimestre.


Le résultat opérationnel courant atteint 57,9 ME, en recul de -2,6% sur la période, du fait d'une hausse des investissements prévus dans le cadre du plan streaming.

Le groupe affiche ainsi une marge opérationnelle de 18%... Parmi les derniers avis d'analystes, AlphaValue est à 'réduire' sur le dossier avec un objectif de cours de 14,70 euros, alors que le titre est remonté de 12% depuis le début de l'année. Le titre recule de 0,8% à 14,40 euros ce mercredi en bourse de Paris.

  
Répondre
JD1976 JD1976
09/03/2024 15:21:05
0

Pour la "petite histoire"...


Pourquoi TF1 ne mise pas 120 millions d’euros sur la Coupe du monde de football

M6 casse sa tirelire, tandis que la filiale de Bouygues refuse de surenchérir pour diffuser la compétition reine du football. Un changement d’époque.


Bixente Lizarazu et Grégoire Margotton sont-ils restés sans voix lorsqu'ils ont appris que TF1 ne diffuserait pas les Coupes du monde 2026 et 2030 ? Se sont-ils dit : « Chic, nous allons pouvoir passer les vacances de juillet en famille ! » ? Ont-ils plutôt proposé leurs services à Nicolas de Tavernost, le patron du groupe M6, qui a raflé les droits télévisés pour la France de la plus grande compétition internationale de football ? On imagine leur déception.

Une chose est sûre : le fait que TF1, la chaîne du premier sacre des Bleus en 1998 – et du « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille » de Thierry Roland –, ne transmette pas une Coupe du monde est un événement en soi. Depuis la création de la chaîne, en 1975, la Une a toujours compté avec la compétition. Cela, pour des questions notamment de prestige liées à son leadership dans le PAF. Un peu comme Canal+, attaché à son image de partenaire historique de la Ligue 1 française. Jusqu'à ce que l'entreprise se brouille avec la Ligue de football professionnel et décide de ne pas participer à son appel d'offres.


La réalité économique

Au siège de TF1, la nouvelle a désolé beaucoup d'employés. Les plus lucides se sont résignés. « On n'allait quand même pas acheter une Ferrari et se retrouver à la rue le lendemain », résume l'un d'eux. Aujourd'hui, les chaînes de télévision françaises surveillent beaucoup plus leurs dépenses. Face à la concurrence féroce des plateformes de streaming qui leur chipent des fidèles, elles soignent leur rentabilité. Si elles produisent des contenus, autant qu'ils soient disponibles dans la durée. C'est le cas des fictions et autres séries, mais pas des matchs de football.

« Il y a une réalité économique dont tout le monde a conscience », explique-t-on dans les couloirs de TF1. Le PDG du groupe Rodolphe Belmer entend en effet dédier une grande partie des investissements à l'accélération dans le streaming avec la plateforme TF1 +, lancée début janvier. Lors de la présentation des résultats annuels du groupe, il a promis de préserver les marges opérationnelles et de verser aux actionnaires des dividendes « en croissance ou stables » dans les prochaines années.


Une Coupe du monde à 120 millions d'euros

Pour la chaîne, faire des cartons d'audience sur la télévision linéaire ne fait plus sens. Certes, ils permettent de parader le lendemain d'un match suivi par des millions de Français. Mais ils ne se « monétisent » pas suffisamment en faisant rentrer des sous dans l'entreprise. Diffuser une Coupe du monde coûte cher et n'est jamais rentable, même quand les Bleus vont en finale. L'édition 2022 aurait coûté environ 70 millions d'euros à TF1. La finale perdue par la France face à l'Argentine avait été suivie par plus de 24 millions de personnes et les rentrées publicitaires brutes auraient dépassé la centaine de millions d'euros (un montant beaucoup plus faible en net, donc).

Selon nos informations, M6 aurait déboursé environ 120 millions d'euros pour ramener dans sa besace les droits de 54 des plus belles affiches de chaque compétition, qui comptera désormais 104 rencontres au total, contre 64 pour les précédentes éditions – 120 millions d'euros par édition. Face à une telle somme, la filiale de Bouygues n'a pas souhaité surenchérir pour les droits de l'événement sportif organisé en 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique en 2026 et en Europe (Espagne, Portugal), Afrique (Maroc) et Amérique du Sud (Argentine, Uruguay, Paraguay) en 2030. En outre, TF1 ne veut pas de partage de droits avec M6, a précisé Nicolas de Tavernost au micro de RTL.


Pour le cabinet d'analyse financière Oddo BHF SCA, cette décision « illustre le pragmatisme de la société, qui ne souhaite pas surpayer ces droits sportifs. La logique est définitivement celle de la marge opérationnelle, avec un focus sur les droits les plus rentables (comme ceux du football féminin ou du handball). Il estime que « TF1 va pouvoir diffuser des programmes alternatifs, certes avec moins d'audience, mais avec une marge nettement plus élevée ».


François Pellissier, le directeur général adjoint business et sports du groupe TF1, et Julien Millereux, son directeur des sports, ont annoncé la mauvaise nouvelle à leurs équipes cette semaine. « Restez mobilisés, nous avons plein d'autres droits sportifs à venir », leur ont-ils dit en substance. Privée de Coupe de monde, la Une se consolera avec une série d'autres droits du football : ceux de l'équipe de France de football jusqu'en 2028, l'exclusivité des matchs en clair de l'Euro 2028 et l'Euro féminin 2025.

  
Répondre
JD1976 JD1976
07/03/2024 16:11:39
0

M6 achète les droits des Coupes du monde 2026 et 2030


« Nous avons obtenu les droits de la Coupe du monde 2026 (…) et également de la Coupe du monde 2030, c’est donc deux Coupes du monde qui seront diffusées en accès gratuit sur M6« , a déclaré M. Tavernost sur RTL (une radio du groupe M6), confirmant des informations de presse.

Interrogé pour savoir si M6 allait revendre certains matches à TF1, il a botté en touche, après avoir rappelé que les deux chaînes se partageaient la diffusion de l’Euro-2024 en Allemagne (14 juin-14 juillet).

« Notre concurrent n’a pas souhaité poursuivre le partage, c’est la raison pour laquelle nous avons pris nos responsabilités et sommes allés pour avoir pour la première fois l’intégralité, l’exclusivité des matches en clair » des deux prochaines Coupes du monde, a dit M. de Tavernost.

Si TF1 ne rachetait aucun match à M6, ce serait un coup de tonnerre dans le paysage audiovisuel et sportif: ce serait la première fois que la première chaîne, créée en 1975, ne diffuserait aucune rencontre de Coupe du monde.

Le montant payé par M6 n’a pas été dévoilé. Selon RMC Sport, qui avait révélé l’information mardi, il est « très élevé ». M. de Tavernost a simplement assuré que l’estimation de 175 millions d’euros qui avait circulé était « totalement fausse ». « Nous sommes plutôt en-dessous de ce qui se pratiquait jusqu’à présent sur le marché », a-t-il affirmé.

Pour la dernière édition, en 2022, TF1 avait déboursé un montant estimé autour de 70 millions d’euros (son offre totale couplée à celle de BeIn pour les droits payants était estimée à 130 millions d’euros).

La Coupe du monde 2026 sera organisée conjointement par le Canada, les États-Unis et le Mexique. Elle se jouera pour la première fois dans un format élargi à 48 équipes, contre 32 précédemment, et proposera un total de 104 matches.

L’appel d’offre de la Fédération internationale de football (Fifa) s’était ouvert le 9 janvier et s’est achevé le 13 février. Il concernait les droits de la Coupe du monde 2026 mais aussi ceux de la Coupe du monde 2030, qui aura lieu principalement en Espagne, au Maroc et au Portugal.

Jusqu’ici, M6 n’a diffusé qu’une seule fois des matches de Coupe du monde, lors de l’édition 2006. La chaîne diffuse par ailleurs une partie des matches de l’Euro, le championnat d’Europe des nations, depuis l’édition 2008.


  
Répondre
JD1976 JD1976
14/02/2024 15:39:34
1

David Larramendy, l'ex-banquier policé qui va devoir imposer sa marque chez M6

Le futur patron de M6 va devoir s'imposer dans un groupe dont l'histoire se confond avec celle de son dirigeant historique, Nicolas de Tavernost. Portrait de ce quinquagénaire polyglotte, manager policé et fin négociateur, qui a de nombreux défis à relever.


Quand Nicolas de Tavernost était « cash », David Larramendy est un ingénieur policé. Son prédécesseur était souvent nerveux et sanguin, lui est un féru de méditation. Et si Nicolas de Tavernost connaissait tout le monde dans les ministères et le PAF depuis trois décennies, David Larramendy, bien connu des milieux publicitaires, devra faire son réseau dans les hautes sphères.

L'un, septuagénaire, est l'insubmersible vétéran de l'audiovisuel français, l'autre n'a pas encore cinquante ans. Malgré ce saut générationnel, Nicolas de Tavernost, qui a dirigé M6 d'une main de fer, et David Larramendy, directeur de la publicité du groupe depuis fin 2014 et tout fraîchement désigné futur nouveau « boss » de M6, ont aussi beaucoup de ressemblances.

Dans le goût du travail, notamment. « Je l'ai vu passer des nuits sur des dossiers. C'est un acharné », raconte quelqu'un qui le connaît bien. Ils partagent aussi un même goût du terroir : Nicolas de Tavernost avec sa propriété dans l'Ain, tandis que David Larramendy est très attaché à sa région d'origine, le Pays basque.


Un ancien de Goldman Sachs

Mais surtout, David Larramendy est l'un des piliers de M6 et son histoire a croisé plusieurs fois la route de celle de Nicolas de Tavernost. En 2000, il fait partie de la première poignée de salariés de MisterGoodDeal… racheté par M6 en 2005. Après deux ans à Philadelphie, avec un MBA de Wharton en poche, en 2006, il devient banquier d'affaires chez Goldman Sachs, où il suit les télécoms et les médias depuis Londres.

Il quitte la City pour rentrer à Paris juste avant la crise des subprimes. Son arrivée dans la filiale de RTL Group se fait par la petite porte : l'un des cofondateurs de MisterGoodDeal qui avait rejoint M6 à la suite de la vente de l'entreprise à Nicolas de Tavernost, appelle David Larramendy à rejoindre le groupe début 2008 au sein de Ventadis (téléachat, MonAlbumPhoto…), dont il deviendra directeur général.

David Larramendy apprend vite et ne néglige jamais de s'entourer des meilleures compétences. En quelques années, il gravit les marches chez M6. Après Ventadis, il dirige le pôle Produits dérivés du groupe. Alors que M6 mise beaucoup sur la diversification, il est l'un des artisans de cette stratégie. Fin 2014, il devient le directeur de la régie de M6, le coeur du réacteur. En 2015, ce diplômé de Supélec intègre le directoire du groupe.

Polyglotte, marié à une Brésilienne, il a un profil très international. Des personnes qui le connaissent bien saluent un homme « brillant et d'une grande finesse ». En réunion hebdomadaire du directoire, il avait souvent le bon mot, le trait d'esprit, raconte l'un d'entre eux.


Comment la petite chaîne M6 est devenue grande

Mais il va devoir aussi s'imposer dans le PAF, asseoir sa légitimité, vis-à-vis des concurrents et des pouvoirs publics habitués à l'entregent de Nicolas de Tavernost. David Larramendy devra surtout donner un avenir à M6, groupe certes très bien géré, affichant l'une des plus fortes rentabilités du secteur, mais aussi en perte de vitesse sur ses audiences, à la fois en télévision et en radio.

Si c'est Nicolas de Tavernost qui présentera le plan streaming en mars, c'est David Larramendy qui devra le mettre en musique. « Ce n'est pas un homme de contenus, il va sans doute choisir ses combats », pronostique un proche. Et si son prédécesseur n'aura pas réussi la vente de M6, ce dossier pourrait refaire surface à un moment ou un autre, surtout si la loi qui empêche pendant cinq ans la vente d'une fréquence vient à changer.

Sportif, le père de famille aime faire des meetings en marchant

Sous des abords bien plus ronds que son prédécesseur, David Larramendy est aussi décrit comme un fin négociateur. Son expérience dans les discussions parfois complexes avec les annonceurs sera un atout pour négocier sur les droits des programmes ou avec les distributeurs.


  
Répondre
JD1976 JD1976
14/02/2024 09:43:44
1

Nicolas de Tavernost, la retraite du parrain du PAF


Alors, la retraite, Nicolas ? Fin janvier, on l'avait une nouvelle fois taquiné lors de notre dernier entretien. « Je pense que je ne serai jamais en retraite. Je ne ferai pas que balayer les mouches. J'aurai des activités professionnelles différentes en dehors de mes loisirs », nous confie-t-il alors.

À 73 ans, après 37 ans à la tête de M6, Nicolas de Tavernost a finalement décidé de zapper et de raccrocher les gants de boxe. Il va se retirer du devant de la scène médiatique. Dans la vidéo qu'il a publiée sur les réseaux sociaux, une télécommande éteint un téléviseur. Le 23 avril 2024, il laissera les commandes du groupe M6 à David Larramendy, 49 ans, qui dirige la régie publicitaire depuis 2014.

Nicolas de Tavernost était le dernier des patrons historiques du paysage audiovisuel français (PAF), avec Étienne Mougeotte, Patrick Le Lay, Jean Drucker… Ces patrons historiques ont quitté ce monde, l'un après l'autre. Lui, le président du directoire du groupe M6, a subsisté jusqu'à aujourd'hui. Inoxydable. Avec sa chevalière dorée qui laboure sa tignasse blanche, sa belle montre signée Frederique Constant et ses chaussettes bordeaux, la ville de son cœur. « L'audiovisuel a connu des dizaines de bouleversements ces dernières années. Mais Nicolas de Tavernost a résisté à tout. Il est le parrain du secteur », salue un dirigeant qui le connaît bien.


Le groupe M6 et ses 1 600 employés

L'employeur de Karine Le Marchand, Stéphane Plaza, Cyril Lignac ou Julien Courbet a tout connu : la concurrence farouche de La Cinq de Berlusconi, les folles années de la télévision privée des années 1980, l'arrivée de la télé-réalité quand il a programmé Loft Story, la bataille entre les bouquets TPS et CanalSat, ou la fusion impossible de M6 et TF1. De Karine Le Marchand à Thomas Sotto, mardi 13 février, tous les animateurs et journalistes du petit écran lui ont témoigné leur admiration sur les réseaux sociaux.

En 1986, l'ancien diplômé de Sciences Po Bordeaux lance la chaîne M6 pour la Lyonnaise des eaux, avant d'en devenir directeur adjoint un an plus tard. Cette petite chaîne qui monte qui monte (comme disait le slogan) est aujourd'hui devenue grande. Le groupe M6 emploie environ 1 600 personnes et pèse 1,3 milliard d'euros de chiffres d'affaires (en 2023). Il rassemble 13 chaînes, dont M6, deuxième chaîne commerciale du pays avec une part d'audience d'un peu plus de 8 % en 2023 – ce qui en fait la quatrième chaîne après TF1, France 2 et France 3 –, et trois radios, dont RTL, deuxième derrière France Inter et première radio privée de France avec plus de 5,5 millions d'auditeurs quotidiens.

Le gourou de M6 s'est maintes fois battu contre les décisions de l'Arcom qu'il jugeait absurdes. Il a aussi survécu aux déboires du bouquet de télévision par satellite TPS, dont M6 fut actionnaire. Après avoir perdu les droits de Ligue 1, raflés par CanalSat, TPS fut contraint d'être vendu à Canal+. L'échec de la fusion entre M6 et TF1, qu'il avait tant appelée de ses vœux avec son actionnaire allemand Bertelsmann, sera sans doute son principal regret. L'Autorité de la concurrence fut inflexible, à son grand dam.

À défaut de créer un champion français, il a fait de M6 un modèle de rentabilité dans l'audiovisuel européen. En 2023, la marge opérationnelle a atteint 23 %, après un record de 25 % en 2022. Le parrain du PAF part ainsi avec le sentiment du devoir accompli.

  
Répondre
JD1976 JD1976
14/02/2024 09:24:09
1

M6 : bonne tenue des résultats 2023, accélération en vue dans le streaming


— Le groupe audiovisuel M6 a réalisé un chiffre d'affaires 2023 de 1.315,6 ME, en très légère baisse de -0,7% à périmètre constant. Le chiffre d'affaires publicitaire se tasse de -1,5% par rapport à 2022, principalement en raison du recul du chiffre d'affaires publicitaire TV qui atteint 905 ME, en baisse de -2,2%, suivant la même tendance que le marché.Le coût de grille du pôle TV est stable et atteint 502,6 ME au 31 décembre 2023 contre 504,9 ME au 31 décembre 2022, tout en ayant permis la diffusion de grands évènements sportifs, comme la Coupe du Monde de Rugby, ainsi qu'une croissance des programmes exclusifs pour 6Play (VOD).


Le résultat opérationnel courant (EBITA) atteint 300,7 ME, en recul de -10,6%, affichant une marge opérationnelle de 22,9%. Le résultat net attribuable au groupe s'élève à 234,1 ME, en hausse de +45% par rapport à 2022. La trésorerie nette est en hausse de 61,6 ME et s'élevait à +343,6 ME fin 2023.


Un dividende de 1,25 euro sera proposé, correspondant à un payout de 67%, égal à la moyenne des 5 derniers dividendes versés. M6 prévoit de maintenir un dividende du même ordre au titre de l'exercice 2024 et à plus long terme, le groupe souhaite revenir à sa politique de distribution habituelle.

Tout en continuant de renforcer la télévision linéaire, M6 compte accélérer le développement de son activité streaming en lançant une nouvelle plateforme pour porter son ambition. Celle-ci proposera une offre gratuite de contenus, accessible sur tous les écrans. Cette ambition s'appuie sur des investissements complémentaires qui seront réalisés entre 2024 et 2028 et qui porteront sur les contenus, la distribution, la technologie et le marketing.

Ainsi, M6 prévoit d'investir jusqu'à 100 ME dans ses coûts opérationnels streaming avec pour ambition de doubler le chiffre d'affaires streaming ainsi que le nombre d'heures visionnées sur la plateforme d'ici 2028. Le break-even de cette activité est attendu en 2027.


  
Répondre
lionelcamy lionelcamy
14/02/2024 09:20:36
0
correct
  
Répondre
lionelcamy lionelcamy
14/02/2024 09:20:36
0

(CercleFinance.com) - Le Groupe M6 réalise un chiffre d'affaires consolidé de 1 315,6 ME en 2023, en baisse de -0,7% à périmètre constant.

Le chiffre d'affaires publicitaire du Groupe est en baisse de -1,5% par rapport à 2022, principalement en raison du recul du chiffre d'affaires publicitaire TV qui atteint 905,0 ME en baisse de -2,2%, suivant la même tendance que le marché.

Le résultat opérationnel courant du Groupe (EBITA) atteint 300,7 ME (en recul de -10,6%), affichant une marge opérationnelle de 22,9%. L'EBIT atteint 305,5 ME (-2,1% par rapport à 2022). Le résultat net attribuable au Groupe s'élève ainsi à 234,1 ME, en hausse de +45% par rapport à 2022.

Copyright © 2024 CercleFinance.com. Tous droits réservés.

  
Répondre

Forum de discussion Metropole Tv

202404241101 1019808

Investir en Bourse avec Internet

Ma liste