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Débâcle est exagéré, en revanche les allemands s'adaptent même s'ils sont dans mouise à cause d'un prix d'énergie exorbitant, le "renouvelable" aura fait pschitt puisque obligatoirement adossé à une énergie fossile.
La nouveauté pour Volkswagen est que la fermeture d'usines va s'accompagner d'un plan de licenciement massif en totale contradiction avec les syndicats qui avaient obtenu un plan de sauvegarde de l'emploi, autrement dit l'impossibilité de licencier, et là ça va faire du bruit !
L'Allemagne tout entière vacille car son modèle est obsolète, celui de l'Euro, la réalité géopolitique faisant le reste.
Jusqu'à présent les Allemands à qui l'on prête une rigueur, qui n'a jamais été que de façade, puisqu'ils doivent leur puissance à la celle de l'Euro, seul pays en adéquation avec leur économie, tous les autres pays étant à la traine. Les allemands ont aussi trusté les postes clés au sein des instances européennes afin de piloter l'économie européenne.
L'Allemagne joue dans une cour dans laquelle ses partenaires de jeu sont des escrocs, les balancent Target 2 (en schématisant, l'Allemagne vend ses produits en UE et le crédit qui va avec, accumulant un solde positif et endettant les autres pays), seulement voilà, les pays sur lesquels elle détient des créances sont totalement infoutus de rembourser quoi que ce soit, une économie de façade, nous parlons de 30% du PIB Allemand.
Ici un bon papier sur TARGET : https://www.telos-eu.com/fr/economie/target-loutil-qui-sauva-leuro-mais-pourrait-lempoi.html
ici une analyse de l'Institut des Libertés au sujet de l'économie Allemande : https://institutdeslibertes.org/il-y-a-quelque-chose-de-pourri-dans-le-royaume-allemand/
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Volkswagen envisage de fermer des usines en Allemagne: Pour la première fois en 87 ans, Volkswagen pourrait fermer des sites en Allemagne, un coup dur lié aux sanctions sur le gaz russe et au sabotage du Nord Stream, supposément orchestré par les États-Unis.
L'accès au gaz bon marché, autrefois pilier de l'industrie allemande, n'est plus, plongeant le pays dans une crise économique sans précédent. La concurrence féroce des véhicules électriques chinois n'arrange rien, selon le PDG de VW, Oliver Blume, qui constate que l'Allemagne perd du terrain sur le plan de la compétitivité.
L'industrie allemande vacille alors que le pays se débat face à une désindustrialisation croissante.
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