Cette bouée convertit le mouvement des vagues en électricité propre

…ou l’abandonner.

De rien ! 😊

Merci

Exact, mais il faudrait supprimer celle-là avant.

Message complété le 21/03/2025 13:20:55 par son auteur.

Le Medium est de retour ?

Tu devrais ouvrir une file « Finus - Infos Variées ». Ce serait plus clair.

Mais bon, tu fais comme tu veux 😊

Aucun, ce sont diverses infos, c'est pour ça que j'ai posté sur le forum général.

Quel est le rapport avec la bouée qui convertit le mouvement des vagues en électricité ?

Les Français veulent savoir ! 😊

Manifestations et actions violentes : les militants anti-tourisme s’organisent avant l’été en Espagne

À quelques mois du coup d’envoi des vacances d’été, les militants anti-tourisme s’organisent dans le sud de l’Europe. Ils sont particulièrement actifs dans les îles espagnoles, où le sur-tourisme est de plus en plus décrié.

L’été risque d’être tendu dans le sud de l’Europe, cette année. Plusieurs associations anti-tourisme s’organisent pour mener des actions et des manifestations pendant les vacances scolaires. L’un des points névralgiques de la mobilisation est l’Espagne, rapporte le Daily Mail. Chez nos voisins, les habitants s’engagent depuis plusieurs mois contre la présence accrue de touristes dans leurs communes, et les effets néfastes de ce tourisme persistant.

En février, un collectif d’Ibiza a déjà fait parler de lui en installant des rochers sur le passage qui mène à l’une des plus belles vues de l’île. Sur Es Vedra, une autre île des Baléares, impossible aussi de se ruer comme avant en haut de la colline pour voir le soleil se coucher. Les habitants ont apposé un panneau : "Propriété privée. Accès interdit." Mais ce n’est qu’une partie de la fronde, qui prend parfois des tournures plus violentes.

Depuis quelques mois, les actions s’intensifient en Espagne

Début mars, des militants ont mis le feu à une vingtaine de voitures de location garées dans l’un des hôtels les plus prisés de Costa Adeje, à Tenerife, l’une des îles des Canaries. Sur le territoire espagnol, des graffitis appelant à "tuer un touriste" sont également apparus ces derniers mois, comme le rapporte le média britannique LBC. Un habitant a confié : "Les choses empirent sur nos îles à cause de la masse de touristes et de nouveaux résidents. Cela nous prive de maisons et affecte l’environnement. Mais peut-être que cela ne justifie pas les actions [des militants anti-tourisme], qui semblent s’intensifier. C’est effrayant."

En octobre, certains militants avaient décidé d’envahir une plage de Tenerife pendant que les visiteurs y bronzaient au soleil. Sans violence, ils avaient brandi des pancartes appelant les touristes à quitter l’île, indiquant : "Les Canaries ne sont pas à vendre." L’année dernière, quelques personnes avaient même entamé une grève de la faim dans l’archipel espagnol. Ils protestent contre deux projets hôteliers censés être construits sur l’une des dernières plages vierges de Tenerife, La Tejita.
Des régions touristiques particulièrement pauvres

Au-delà des inquiétudes écologiques qui entourent le surtourisme en Espagne, les militants y voient aussi un problème économique. "La plupart des recettes générées par le tourisme dans les îles Canaries ne restent pas dans la région", dénonce le groupe politique Tanekra Canarias.

En effet, les hôtels appartiennent à de riches propriétaires qui ne réinvestissent pas leur argent en Espagne, le prix de l’immobilier flambe et les quelques emplois créés par le tourisme sont très mal payés et précaires.

"Tout cela mène à un constat : les communes qui accueillent le plus de touristes présentent les taux de pauvreté les plus hauts, malgré un taux de chômage bas par rapport à d’autres villes", souligne le groupe.

Selon les informations du Daily Mail, des groupes anti-tourisme venus de France, du Portugal, d’Italie et d’Espagne sont attendus en avril à Barcelone pour discuter des prochaines mesures à mettre en place cet été pour faire entendre leur voix.
GEO (avec 6medias)

Alors que la production mondiale de plastique a doublé entre 2000 et 2020, atteignant 460 millions de tonnes par an, le recyclage est un enjeu des plus urgents auquel nos sociétés sont confrontées. Une équipe de chercheurs américains et indiens semblent avoir trouvé une méthode simple et efficace pour décomposer les déchets plastiques à l’aide de l’humidité présente dans l’air, d'après Interesting Engineering.
Le pouvoir de l’humidité naturelle de l’air

La méthode développée par l’équipe de recherche se concentre sur le recyclage du polyéthylène téréphtalate (PET), un plastique de la famille des polyesters, couramment utilisé dans l'industrie du textile et de l'emballage. Pour le décomposer, les chercheurs ont utilisé du charbon actif et du molybdène (un élément chimique métallique) comme catalyseur : deux matériaux peu coûteux et non toxiques que l’on trouve en abondance. Ils ont combiné le PET avec le catalyseur et le charbon actif puis chauffé le mélange. En peu de temps, ce processus a permis de rompre les liaisons chimiques du PET.

Le mélange, ensuite exposé à l’air libre, s’est transformé en acide téréphtalique (TPA) au simple contact de l’humidité. Le TPA est un matériau très utilisé dans la fabrication des polyesters. Un seul sous produit a été issu de cette réaction chimique : l’acétaldéhyde, un produit chimique facilement commercialisable dans l’industrie. En quatre heures, 94 % du TPA a pu être récupéré. L’humidité naturelle présente dans l’air semble avoir été suffisante pour garantir de très bons résultats. Comme l’affirment les auteurs de l’étude, ajouter un surplus d'humidité perturbe le fonctionnement du processus.
Une méthode bientôt disponible à grande échelle

Traditionnellement, les méthodes de recyclage du plastique nécessitent des conditions extrêmes : des températures élevées, une consommation énergétique intensive et des solvants agressifs et toxiques. Certains processus utilisent notamment du platine ou du palladium comme catalyseurs, des matériaux rares et très coûteux qui peuvent générer des sous-produits toxiques. "Au lieu d'utiliser des solvants, nous avons utilisé la vapeur d'eau provenant de l'air. C'est une façon beaucoup plus élégante d'aborder les problèmes de recyclage du plastique", a déclaré Yosi Kratish, coauteur correspondant de l’étude, dans un communiqué de presse.

Les chercheurs ont également conçu leur processus pour fonctionner avec des plastiques mélangés et colorés, que les techniques traditionnelles ont du mal à recycler. Leur méthode cible les polyesters, ce qui évite une pré-sélection et offre un avantage économique considérable. Lorsqu'il a été testé sur des matériaux réels tels que des bouteilles en plastique, des vêtements et des déchets mélangés, le processus est resté hautement efficace. Les chercheurs envisagent maintenant de développer cette méthode à une échelle industrielle pour gérer efficacement de grands volumes de déchets plastiques.

source:geo.fr

Dans la nuit du 13 au 14 mars 2025, la Lune traversera l’ombre de la Terre, et prendra une teinte rouge spectaculaire. En France, il sera possible d’admirer une partie du phénomène.

En France métropolitaine, on pourra la distinguer en particulier à l’ouest, notamment en Bretagne. De manière générale, la façade atlantique demeure l’un des meilleurs endroits pour l’admirer, mais celle-ci devrait être visible dans tout le pays, en ville comme à la campagne, si l’horizon est dégagé. L’éclipse débutera à 4h57 (heure de Paris) avec la diminution progressive de la luminosité de la lune. Pour suivre le phénomène, certaines zones du pays sont propices à l’observation du ciel, comme le Quercy, où celui-ci s’impose comme le plus noir de tout l’Hexagone.

Le moment le plus spectaculaire surviendra entre 6h26 et 7h31, lorsque la Lune commencera à s’immerger dans l’ombre terrestre pour se parer d’une teinte cuivrée. L’enchaînement sera bref : il faudra se montrer vigilant pour ne pas le manquer. Le pic est attendu à 7h58, et la fin du phénomène à 9h47. Dans le reste du monde, les meilleurs points d’observation incluent le Québec (seul territoire francophone à voir l’éclipse dans son intégralité), le Chili, l’Argentine, le sud-ouest des États-Unis, le Mexique, ainsi que les îles Canaries.
Faut-il un équipement spécial ?

Contrairement aux éclipses solaires, dont la prochaine aura lieu le 29 mars 2025, celles qui concernent la Lune ne présentent aucun danger pour la vision. Elle peut être contemplée à l’œil nu, mais l’expérience est bien plus immersive avec une paire de jumelles, qui permettent de mieux en discerner les détails.

Pour les plus passionnés du ciel, l’usage d’une lunette astronomique ou d’un télescope améliore encore davantage l’observation. Il est toutefois recommandé de bien régler l’instrument afin d’obtenir une vue complète du disque lunaire.
Quand aura lieu la prochaine éclipse de Lune ?

Pour une fois, l’épisode astronomique se reproduira rapidement, dans la nuit du 7 au 8 septembre 2025. Ce spectacle sera visible depuis l’Europe également, bien que les meilleures destinations pour l’observer soient l’Espagne, l’Australie, la Namibie, ou l’Afrique du Sud. Une opportunité pour planifier un voyage sous le signe des astres ?

EN VIDÉO - Les images de l’éclipse solaire aperçue en Amérique du Sud en octobre 2024.

source: le Figaro.fr

Neom, le mégaprojet futuriste aux confins de l'Arabie saoudite, prévoit de dévoiler ses avancées d'ici 2030. Cependant, des problèmes majeurs et une forte hausse de la population locale mettent en péril son développement. Les décès d'ouvriers se multiplient, révélant une situation hors de contrôle.

Plus grand projet de construction au monde, avec sa superficie égale à celle de l'État du Massachusetts et ses 100 000 travailleurs mobilisés, Neom est supposé matérialiser dans le sable du désert saoudien les utopies du prince héritier Mohammed ben Salmane. Le projet s'insère dans le programme "Saudi Vision 2030", qui vise à diversifier l’économie du pays au-delà de l’exploitation du pétrole.

L'ambition est de bâtir un immense complexe comprenant cités scientifiques, et balnéaires, hôtels de luxe, moyens de transport novateurs et écoresponsables, et même une ville, "The Line", supposée être composée de deux gratte-ciel de 170 km de long. "Supposée", car les retards se multiplient et le colosse ne devrait, au final, mesurer "que" 2,4 kilomètres en 2030. The Line, avec sa structure en miroir, pourrait de surcroît provoquer la mort de millions d'oiseaux, expliquions-nous il y a quelques mois.
Neom, l'ambitieux projet saoudien : entre crimes et dérapages dans le désert

De surcroît, de nombreux témoignages recueillis par le Wall Street Journal (WSJ) font état d'une "dystopie" en plein désert, sous un soleil de plomb. Ainsi, raconte le média, des problèmes majeurs de sécurité ont émergé dans les camps de travailleurs migrants, en majorité Pakistanais, Bangladais ou encore Philippins.

La croissance rapide de la population (des dizaines de milliers de travailleurs) sur place a entraîné une surpopulation dans les camps et un manque de logements décents et d'installation sanitaires. L'année dernière, le personnel de Neom a recensé 168 camps construits de manière non officielle ou ne répondant pas aux normes du projet, selon d'anciens employés interrogés par le WSJ.

D'après les rapports médicaux des cliniques des camps de travailleurs, consultés par le WSJ, le personnel de Neom a documenté des cas de viol collectif, de tentative de meurtre et de suicide, selon un résumé des incidents consulté par le Journal.

Un travailleur s'est taillé les poignets en se plaignant de ne pas être payé, selon le rapport. Ces conditions de travail ont entraîné — chose rare au royaume — une protestation violente au printemps 2023, contre la qualité de la nourriture dans un camp réglementé par le Neom, selon des vidéos visionnées par le WSJ.
Accidents à répétition sur les pistes

Sur les routes de terre poussiéreuses qui jalonnent la zone, la situation n'est pas plus brillante. À mesure que la population de la région a cru, la sécurité routière est devenue un défi de taille pour les constructeurs de cette ville du bout des dunes. Camions de chantiers, pick-up surchargés et voitures de cols blancs se disputent les pistes, et les accidents se multiplient.

source: geo.fr

Il faudra dire à josé miguel rodriguès,que sa découverte est au moins âgée de 2 siècles !

Les voitures volantes ne sont peut-être plus de l’ordre de la science-fiction. Plusieurs prototypes ont été présentés récemment et pourraient être commercialisés dans un futur proche à un prix fort.

Une silhouette futuriste s'élève au-dessus du sol et enjambe sans difficulté un véhicule à l’arrêt. Un prototype de voiture volante vient d’effectuer ses premiers tests grandeur nature en Californie (États-Unis). Entièrement électrique, il possède huit petits moteurs. Le son émis est proche de celui d’un drone. Deux personnes peuvent prendre place dans le poste de pilotage, mais il n’y a pas de coffre car il est réservé au stockage des batteries. Le tout pèse moins de 400 kilos et favorise un atterrissage en douceur.
La voiture volante bientôt commercialisée

La société promet une autonomie de 300 kilomètres. Selon elle, plus de 3 000 clients auraient déjà passé commande à 300 000 dollars pièce. Alors, faut-il imaginer nos villes bientôt envahies par des nuées de véhicules volant(Nouvelle fenêtre) à basse altitude ? Pour les spécialistes, nous imaginer demain tous au volant de ces véhicules reste de la science-fiction.

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus. .francetvinfo.fr

Inspirée par le cœur humain, cette bouée convertit le mouvement des vagues en électricité propre

Les pays européens où la houle de l'Atlantique est forte, comme l'Espagne, la France, le Portugal et l'Irlande, présentent le plus grand potentiel en matière d'énergie houlomotrice.

Couvrant 71 % de la surface de la Terre, les océans constituent l'une des ressources renouvelables les plus précieuses et pourtant les plus inexploitées au monde.

L'énergie houlomotrice des océans est immense et peut apporter une contribution considérable à la transition vers une énergie propre. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), la production d'énergie océanique doit augmenter de 33 % par an pour parvenir à un monde sans émissions nettes d'ici à 2050.

"L'énergie houlomotrice et marémotricea le potentiel pour devenir une source d'énergie importante, fiable et durable", déclare José Miguel Rodrigues, chercheur principal à SINTEF, l'un des plus grands instituts de recherche d'Europe.

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) estime que l'énergie des vagues pourrait générer jusqu'à 29 500 TWh par an. Cela représente près de dix fois la consommation annuelle totale d'électricité de l'Europe, et plus que la production annuelle mondiale d'électricité en 2018.
"L'énergie marémotrice a un potentiel mondial estimé entre 800 et 1 200 TWh, en particulier dans les voies d'eau étroites comme les bras de mer et autour des îles", explique M. Rodrigues. "Régie par des cycles gravitationnels prévisibles plutôt que par les conditions météorologiques, [l'énergie marémotrice] assure un approvisionnement régulier en électricité et contribue à l'équilibre du réseau."

article est image sur:.euronews.com