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Dans une interview au journal Handelsblatt, le nouveau chancelier allemand von Blackrock averti que les politiques du président Trump augmentent le risque de voir arriver la prochaine crise financière plus tôt que prévu.
Une façon comme une autre d'avouer que les drôles ont prévu une mise à plat de la pyramide branlante. Après l'avoir viré une première fois, les drôles savaient qu'ils ne trouveraient pas meilleur éléphant pour casser le magasin de porcelaine.
Les deux années à venir vont être dantesques
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Doudou,
Depuis une quinzaine de jours, c'est tous les jours ou presque que débarquent en Chine des dirigeants européens, parfois 2 le même jour...Ils auraient pu prendre l'avion ensemble, mais non....tous dans le désordre, chacun pour soi....L'unité européenne est une réalité indiscutable..!
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Fitch abaisse la note de la Chine pour essayer de venir en aide à DT et maintient la note des USA surendettés inchangée ? Auprès de qui ces agences de guignols croient elles avoir encore quelque crédibilité depuis la crise grecque et celle des surprîmes si ce n'est qu'auprès de quelques naïfs.
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Pékin et Washington rallument la guerre des taxes, et personne ne semble prêt à lâcher. À partir du 12 avril, les importations américaines seront taxées à 125 % à leur entrée en Chine. Une mesure spectaculaire annoncée par le ministère chinois des Finances, en représailles à l'escalade tarifaire décidée par Donald Trump, qui vise désormais les biens chinois à hauteur de 145 %. La riposte est brutale, assumée, et elle envoie un message clair : la Chine ne pliera pas.
Depuis plusieurs jours, les hausses de droits de douane s’enchaînent à un rythme inédit. Mercredi déjà, Pékin avait augmenté ses propres taxes à 84 %, quelques heures après que Washington avait revu les siennes à 104 %. Un véritable jeu de ping-pong commercial dont les premières victimes sont déjà visibles : les marchés financiers, qui avaient timidement rebondi en matinée, se sont rapidement effondrés en apprenant la nouvelle.
Ce nouvel épisode de tensions sino-américaines rappelle les grandes heures de la guerre commerciale entamée en 2018. Sauf que cette fois, l’escalade semble bien plus agressive. Donald Trump fait de la fermeté envers Pékin un pilier de son discours.
Lire aussi : Fitch abaisse la note souveraine de la Chine
Mais la Chine ne se laisse pas intimider. Pékin accuse ouvertement Washington de violer les règles du commerce international et dénonce une "intimidation économique" dans un communiqué officiel publié vendredi. Et pour cause : ces nouvelles taxes américaines visent essentiellement les secteurs stratégiques chinois, comme les batteries, l’électronique ou les véhicules électriques.
Dans ce climat électrique, le ministère chinois des Finances martèle son message : pas question de négocier sous la menace. Et pour frapper fort, Pékin s’en prend aux produits agricoles et industriels américains, déjà fragilisés par une baisse de la demande mondiale.
Derrière les chiffres, ce sont des milliers d’entreprises qui s’inquiètent. Des deux côtés du Pacifique, les exportateurs voient fondre leur compétitivité. En Chine, Tesla vient même de suspendre ses commandes pour les modèles fabriqués aux États-Unis, une décision qui illustre bien le climat d’incertitude généralisé.
Les analystes redoutent désormais un effet domino. Une flambée des prix à l’importation pourrait nourrir une nouvelle vague d’inflation. Par ailleurs, les chaînes logistiques, déjà éprouvées depuis la pandémie, risquent de se détériorer davantage. Enfin, une baisse de la confiance des investisseurs internationaux pourrait survenir, ces derniers étant effrayés par l’instabilité commerciale.
Pour l’heure, aucun calendrier de désescalade n’est en vue. Et certains experts murmurent déjà qu’une prochaine salve tarifaire pourrait frôler les 200 % si le dialogue ne reprend pas rapidement.
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