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peut-etre qu'innover serait la meilleure solution plutot que de sombrer dans des batailles d'épicier de luxe ,
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Bonjour, vous avez tout à fait raison
Il semble qu’il faudrait appliquer au luxe les mêmes procédures, c’est-à-dire qu’au bout de cinq ou six ans, ce ne serait plus des copies mais des génériques! On ne peut pas protéger a vie le dessin d’une toile cirée, voilà pour les sacs ou les objets du même genre (la reproduction d’un logo d’un dessin existe depuis l’Antiquité, cela s’appelle une fresque)
Et pour les parfums c’est idem la formulation tombe dans le domaine public, et peut-être génériqué
Notre pays a déjà beaucoup perdu, il peut continuer
À détruire ce qui faisait sa force: nous perdons nos entreprises mais il nous reste la dette et nous sommes les premiers
Je suis actionnaire de SANOFI et je ne comprends pas pourquoi la sécurité sociale n’attaque pas les trafiquants de drogue les marchands de tabac et de vins et alcools qui ruinent la santé publique
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gars d1
« « Y'a bien un problème de fond avec les génériques : les prix sont tellement bas ..//..Y'a personne pour dire actuellement où en sont les promesses politiques de réindustrialisation pharmaceutique de la France ? Et pour cause, c'est tout parti en "eau de boudin". » »
Vous faites pas de bile : les génériques ne sont plus protégés. Donc libres de fabrication.
Ce qui veut dire , fin de la pénurie, car dans pas longtemps, la Chine ou l’Inde, ou un autre, nous proposera ces génériques à des prix défiant toute concurrence.
Ces pays sauront fort bien déjouer les pièges et contraintes que ne manquera pas de mettre en place l’ E.U.
Et youppie ! Encore une industrie qui va foutre le camp.
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C'est exactement ça !
Très bonne analyse. Faut pas s'étonner du déclin de l'industrie pharmaceutique en France.
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Y'a bien un problème de fond avec les génériques : les prix sont tellement bas pour militer le trou de le sécu que les pharmaciens ne gagnent plus rien (dernièrement on veut encore rogner la marge de pharmacie sur les génériques) et les fabricants de génériques veulent fabriquer certains produits car ils ne gagnent rien, voir ils sont obligé de produire à perte …
Y'a bien que dans le domaine pharmaceutique où l'on dépouille le créateur de ses créations pour en faire des copies : c'est pas le Luxe et les parfums qui diront le contraire.
A force de tout vouloir pour rien, on a plus rien pour tout : plus de recherche, plus d'emploi, plus d'industrie, plus de commerces et pharmacies, … Reste le désert médical et la visio-"con" sultation…
Y'a personne pour dire actuellement où en sont les promesses politiques de réindustrialisation pharmaceutique de la France ? Et pour cause, c'est tout parti en "eau de boudin".
Les poly-tiques sont des vraies plaies…
: (
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(AOF) - La Cour d’appel de Paris a condamné les sociétés Sanofi et Sanofi Winthrop Industrie à payer à la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) la somme totale de 150,748 millions d’euros à titre de dommages-intérêts, en réparation de son préjudice subi du fait des pratiques anticoncurrentielles sanctionnées en 2013 par l’Autorité de la concurrence.
Les deux sociétés sont condamnées pour avoir mis en place une stratégie de dénigrement à l'encontre des génériques du Plavix, l'un des médicaments les plus vendus dans le monde et premier poste de remboursement de l'Assurance maladie en France (625 millions d'euros en 2008).
Dans le détail, les pratiques sanctionnées sont d'une part au stade de la prescription dans le but d'inciter les médecins à apposer la mention " non substituable " au Plavix sur l'ordonnance et d'autre part, au stade de la substitution, dans le but d'inciter les pharmaciens à substituer Plavix par son propre générique au détriment des génériques concurrents.
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