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TotalEnergies : la production d'hydrocarbures va dépasser ses prévisio

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gars d1 gars d1
16/10/2025 10:48:27
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Outre le fait qu'il faut des milliers de barils de pétrole pour construire des centrales nucléaires, des éoliennes ou encore des panneaux solaires, le pétrole dispose d'une marge forte de progression pour s'intégrer dans le paysage du mixte énergétique.


Empreinte carbone : tous les barils de pétrole ne se valent pas et cela a son importance pour la transition énergétique


Science et société Transition écologique Décryptage
Publié le 3 juillet 2025 (licence Creative Commons)

https:// www.minesparis.psl.eu/blog/actualites/empreinte-carbone-tous-les-barils-de-petrole-ne-se-valent-pas-et-cela-a-son-importance-pour-la-transition-energetique/


L’empreinte carbone de l’extraction pétrolière peut varier considérablement d’un gisement à un autre. Une stratégie fondée sur la décarbonation de l’offre pétrolière pourrait donc compléter avantageusement les mesures traditionnelles basées sur la réduction de la demande… à condition que l’on dispose de données fiables et transparentes sur les émissions de gaz à effet de serre de l’industrie pétrolière.

Réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées au pétrole ne se résume pas à réduire seulement la consommation de produits pétroliers. En effet, l’empreinte carbone liée à leur production varie considérablement d’un gisement à un autre. Dans ces conditions, pour limiter leur impact environnemental, il est crucial de privilégier des gisements dont l’empreinte carbone et les coûts d’extraction sont les plus faibles.

Combinée aux mesures traditionnelles pour réduire la demande de pétrole (sobriété énergétique, développement des transports électriques…), une stratégie centrée sur la décarbonation de l’offre pétrolière peut donc accélérer les baisses d’émissions, tout en réduisant leur coût économique. C’est ce que nous montrons dans une recherche récemment publiée.

Mais pour que cela fonctionne, il est essentiel de disposer de données précises et transparentes quant aux émissions de cette industrie. Sans quoi, toute régulation basée sur l’intensité carbone de l’exploitation des gisements de pétrole risque d’être inefficace.


Les barils de pétrole n’ont pas tous la même intensité carbone

Les barils de pétrole diffèrent non seulement par leur coût d’extraction, mais aussi par leur empreinte carbone.

L’exploitation des sources de pétrole les plus polluantes, comme les sables bitumineux du Canada, génère en moyenne plus de deux fois plus d’émissions de GES par baril que l’exploitation de pétroles plus légers provenant de pays comme l’Arabie saoudite ou la Norvège.

Ces différences s’expliquent par les propriétés physiques du pétrole (densité et viscosité, par exemple), les contraintes géologiques liées aux gisements et les méthodes d’extraction utilisées (notamment la combustion sur site – dite torchage – c’est-à-dire rejet direct dans l’atmosphère du gaz naturel, qui accompagne souvent l’extraction de pétrole).

Cette hétérogénéité des gisements, combinée à l’abondance du pétrole au regard des objectifs climatiques discutés lors des COP, fait de la sélection des gisements à exploiter un levier important de réduction des émissions.


L’offre pétrolière, un levier d’atténuation sous-estimé

Depuis le Sommet de la Terre de Rio en 1992, date historique dans la reconnaissance du problème climatique et de son origine humaine, les producteurs de pétrole n’ont pas tenu compte des différences d’intensité carbone de leurs produits, liées à l’extraction et au raffinage.

Ce n’est guère surprenant : aucune réglementation ou régulation notable ne les a incités à le faire. De manière générale, les émissions de GES dues à la production et au raffinage du pétrole n’ont pas été tarifées par les grands pays producteurs de manière à refléter les dommages causés à l’environnement.

Nos recherches montrent que cette omission a eu d’importantes conséquences climatiques.

Nous avons calculé les émissions qui auraient pu être évitées de 1992 à 2018, si l’on avait modifié l’allocation de la production entre les différents gisements en activité – sans modifier les niveaux globaux de production et en prenant en compte les contraintes de production de chaque gisement – de sorte à en minimiser le coût social total – c’est-à-dire, en prenant en compte à la fois les coûts d’extraction et les émissions de GES. Près de 10 milliards de tonnes équivalent CO2 (CO2e) auraient ainsi pu être évitées, ce qui équivaut à deux années d’émissions du secteur du transport mondial.

Au coût actuel du dommage environnemental, estimé à environ 200 dollars par tonne de CO₂, cela représente 2 000 milliards de dollars de dommages climatiques évités (en dollars constants de 2018).

Les efforts actuels visent surtout à réduire la consommation globale de pétrole, ce qui est nécessaire. Mais nos résultats montrent qu’il est également important de prioriser l’exploitation des gisements moins polluants.

Pour réduire le coût social de l’extraction à production totale constante, il aurait mieux valu que des pays aux gisements très carbonés, comme le Venezuela ou le Canada, réduisent leur production, remplacée par une hausse dans des pays aux gisements moins polluants, comme la Norvège ou l’Arabie saoudite.

Même au sein des pays, les différences d’intensité carbone entre gisements sont souvent importantes. Des réallocations internes aux pays permettraient d’obtenir des réductions d’émissions du même ordre de grandeur que celles obtenues en autorisant les productions agrégées de chaque pays à changer.


Intégrer ce levier aux politiques publiques

Même si ces opportunités de baisse d’émissions ont été manquées dans le passé, nous avons encore la possibilité de façonner l’avenir de l’approvisionnement en pétrole.

Si l’on reprend les hypothèses de calcul qui précèdent, et en supposant que le monde s’engage sur une trajectoire zéro émissions nettes (Net Zero Emissions, NZE) en 2050, prendre en compte l’hétérogénéité de l’intensité carbone entre les gisements dans les décisions d’approvisionnement en pétrole permettrait :

• de réduire nos émissions de 9 milliards de tonnes (gigatonnes) CO2e d’ici à 2060,
• d’éviter environ 1 800 milliards de dollars en dommages, et cela sans réduire davantage la consommation par rapport au scénario NZE.

Or, le débat politique se concentre souvent sur la réduction de la demande de pétrole, avec la mise en place d’outils tels que les incitations à l’adoption des véhicules électriques ou les taxes sur les produits pétroliers. Une baisse de la demande de pétrole est évidemment indispensable pour maintenir le réchauffement planétaire en dessous de 1,5 °C ou même 2 °C.

Mais tant que l’on continue d’en consommer, prioriser les gisements à moindre intensité carbone offre une opportunité complémentaire pour réduire les émissions.

Pour gagner en efficacité, les politiques publiques pourraient intégrer une tarification carbone plus exhaustive, qui tiendrait compte des émissions sur tout le cycle de vie des produits pétroliers, de l’exploration pétrolière jusqu’à la combustion des énergies fossiles.

Celles-ci pourraient être complétées par des ajustements aux frontières, sur le modèle de ce que l’Union européenne s’apprête à faire pour l’empreinte carbone des produits importés, si cette tarification n’est pas adoptée à l’échelle mondiale. Ou encore, cela pourrait passer par l’interdiction directe de l’extraction des types de pétrole dont l’exploitation de gisement émet le plus d’émissions de GES (par exemple, le pétrole extra-lourd ou les gisements présentant des niveaux très élevés de torchage), dans un soucis de simplification administrative.

Certaines politiques vont déjà dans ce sens. La Californie, avec son Low Carbon Fuel Standard, a été pionnière en différenciant les carburants selon leurs émissions sur l’ensemble du cycle de vie, afin de réduire l’intensité carbone moyenne du carburant utilisé sur le territoire.

En Europe, la directive sur la qualité des carburants (modifiée par la nouvelle directive sur les énergies renouvelables) promeut les biocarburants, mais ne distingue pas finement les produits pétroliers selon leur intensité carbone.


L’enjeu crucial de l’accès aux données

La mise en œuvre de ces politiques repose toutefois sur un pilier crucial : l’accès à des données publiques fiables sur l’intensité carbone des gisements de pétrole.

Et c’est là le nœud du problème : ces estimations varient fortement selon les sources. Par exemple, l’Association internationale des producteurs de pétrole et de gaz (IOGP) publie des chiffres presque trois fois inférieurs à ceux issus d’outils plus robustes, comme celui développé par l’Université de Stanford et l’Oil-Climate Index.

Cet écart s’explique en partie par des différences dans le périmètre des émissions prises en compte (exploration, construction des puits, déboisement, etc.), mais aussi par des écarts dans les données utilisées. En ce qui concerne le torchage et le rejet direct dans l’atmosphère du gaz naturel, l’IOGP s’appuie sur des chiffres déclarés volontairement par les entreprises. Or, ceux-là sont notoirement sous-estimés, d’après des observations provenant de l’imagerie satellitaire.

Il est ainsi impossible d’appliquer de façon efficace des régulations visant à discriminer les barils de pétrole selon leur intensité carbone si on ne dispose pas de données fiables et surtout vérifiables. La transparence est donc essentielle pour vérifier les déclarations des entreprises.

Cela passe par des mécanismes de surveillance rigoureux pour alimenter des bases de données publiques, que ce soit par satellite ou par des mesures indépendantes au sol. Le recul récent aux États-Unis quant à la publication de données climatiques fiables par les agences gouvernementales accentue encore ces défis. En effet, les estimations des émissions liées au torchage de méthane utilisées dans notre étude reposent sur l’imagerie satellite de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) et de la Nasa.

  
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gars d1 gars d1
15/10/2025 19:23:57
2

Mais bien sûr, j'ai rien compris à l'écologie…


C'est de notoriété publique sur le forum…


Je me fais aucun souci pour mes enfants qui ont eu des formations complètes et savent faire pousser des graines ou encore faire un feu avec des bouses sèches.


Juste pour infos, enfant du milieu agricole, je vais rappeler comme je l'ai déjà écris sur le forum qu'en lycée agricole entre 1981 et 1982, j'ai fait partie des premiers élèves avec des formations diplômantes agricoles avec de l'écologie au programme, de la biologie animale, de la biologie végétale, de la zootechnie et de la phytochenie, du machinisme agricole. Chaque matière était doublé de 2 heures de TP par semaine

L'Ecologie, c'était coefficient 5 soit dans les élevés des matières agricoles. Note : 19/20.


Si tu penses que le reste du monde va s'arrêter de tourner parce que la petite France dit que le pétrole, c'est pas bien : tu te fourres le doigt dans l'oeil, le pétrole reste la source d'énergie la plus facile à transporter dans tous les endroits du monde et pour un large panel de pays.


Et sinon, les tracteurs pour cultiver tes légumes, tu compte bêcher à la main et moissonner ton blé au fléau et à la faucille…

Si j'en juge par le code postal 06400 apposé au prénom, c'est Cannes.


C'est bien mal venue de donner des leçons d'environnement quand on habite un haut lieu de la bétonisation de la Côte d'Azur. il reste combien d'agriculteurs au fait à Cannes ?


Avant de critiquer et de faire de l'escrologie de bazar, ça serait bien de nous expliquer combien tu as fait poussé de graines dans ta vie et ce que tu as en as récolté pour subsister.

Moi, à 7 ans, j'avais déjà mon propre jardin dans le jardin de mes parents : 2 mètres carrés comme mon frère et ma sœur, et on avait le droit de planter ce qu'on voulait… La meilleure des écoles : on pesait ce qu'on récoltait et on comptait les radis ! un vrai plaisir de gosse et plein de souvenirs heureux…


Déjà que l'agriculture française est moribonde et que le français moyen trouve que les fruits et légumes, les céréales et le pain sont cher : avec du tout écolo sans tracteur, ni transport notamment pour les grandes villes, c'est la famine en bas de cage d'escalier.


A méditer au lieu de balancer des leçons morale d'escrologie : 3 jours de subsistances dans les grandes villes en cas d'arrêt de la chaine logistique.… Cannes 73 000 habitants et combien d'agriculteurs déjà ?


La quasi totalité de ce que tu manges arrives chez toi avec du gasoil et du kérozène, je serais toi, je ferais gaffe : : même sur le marché local, les commerçants, les artisans et les producteurs des environs roulent au gasoil. Du coup, faut arrêter de manger, non ? c'est plus écologique ???


Tant que j'y suis, je vais aussi te donner ma note de comptabilité agricole (en partie double) à l'examen du BTAG : 19/20. C'est avec ça que je sais lire des comptes de sociétés cotées en bourse.


Je te laisses, je dois aller faire le plein de diesel pour demain. Et oui, ici pas de transport en commun ici pour pleins de choses… Nous, on habite pas dans la métropole de Lyon…


Et enfin pour mettre les points sur les i : à pognon, y'a pas de i. Mais à Oseille "oui"…


Le sais-tu ? C'est mieux d'utiliser l'oseille que le pognon car l'oseille pousse sans aucun besoin d'amendement ni de fertilisation : il lui faut juste un sol acide, ce qui en fait une plante écologique contrairement au poignon de Cannes…



Message complété le 15/10/2025 21:19:32 par son auteur.

_________________________________________________

Pour ton information encore :

"Peter Potapov, professeur chercheur à l'Université du Maryland et co-directeur du GLAD Lab, a déclaré: "2024 a été l'année la plus catastrophique jamais enregistrée en matière de perte de forêts due aux incendies, battant le record de l'année dernière. (21 mai 2025)

https://africa.wri.org/news/communique-la-perte-de-forets-dans-le-monde-bat-des-records-en-2024-alimentee-par-des

Voilà une grosse partie de la réponse à ton CO2, bonne lecture…

  
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michel06400 michel06400
15/10/2025 17:32:15
0

"Dédicace spéciale aux escrologistes financiers et ânes à liste verte qui nous indiquaient que le pétrole était fini avec les énergies renouvelables."* t'as rien compris, y a pas plus aveugle en écologie que celui pour qui seulement le POIGNON Compte, comme toi, c'était un souhait (bien utopique) des braves écolos pour diminuer les émissions de CO², tu l'expliqueras à tes enfants et petits enfants ...

Message complété le 15/10/2025 17:43:15 par son auteur.

https://www.franceinfo.fr/environnement/crise-climatique/l-onu-alerte-sur-la-hausse-record-de-concentration-de-co2-dans-l-atmosphere-en-2024_7554019.html

  
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msfmsf msfmsf
15/10/2025 16:49:35
0

Le raffinage en France est déficitaire quand il s'agit de payer des impôts, le reste du temps il est très rentable.

Pourquoi vouloir être cotée à New York ? Quel est l'intérêt pour l'entreprise ? De faire monter le cours de l'action? A quoi cela servirait à total que ses actions coûtent plus cher ?

  
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chabl chabl
15/10/2025 16:05:02
0

Pouyanné comme son prédécesseur ont fait de Total Energies un groupe solide et rentable qui parmi l'ensemble des pétroliers est bien placé pour survivre au déclin annoncé du secteur.

La diversification des activités et leur répartition dans le monde donne de bons atouts pour se maintenir malgré les crises et les changements. Aujourd'hui Total qui avait souvent à déplorer que la branche "Raffinage", surtout en France, lui coûte pas mal de pertes vient nous dire que c'est ce qui lui rapporte le plus et lui permet de faire mieux que ses prévisions.

Maintenant il lui reste à faire vraiment coter le titre à New-York et à ne plus passer par des ADR s'il veut essayer d'obtenir une revalorisation par comparaison avec ses concurrents.

  
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moicmoi moicmoi
15/10/2025 14:36:37
3

gars d1
« « Dédicace spéciale aux escrologistes financiers et ânes à liste verte qui nous indiquaient que le pétrole était fini avec les énergies renouvelables.
» »


Pouyanet est un con !

Il balance des milliards de dollars dans le but de rechercher de nouveaux gisements de pétrole encore inconnus. C’est du gaspillage.

Les escrologistes, à l’inverse des géols, des opérateurs, des financiers,… savent depuis plusieurs décennies qu’il n’y a plus de gisements à découvrir. Rien ! Nada ! Le grand vide ! On pompe dans les derniers tonneaux , heu…..barils.


Pouyanet devrait verser ces milliards aux mouvements escrologistes. ça ne les rendrait pas plus intelligents, mais ce serait bon à prendre.


« « Merci au passage de nous donner un aperçu des pertes engendrées de placement dans la sphère mouvante des énergies renouvelables en bourse… » »


Ce serait plutôt une bonne nouvelle pour nous. Enfin…dans la mesure où le Gvt ne sera pas tenté de mettre au pot.


La faillite des parasites de l’électricité ne peut que nous être profitable, à nous, contribuables.


Pas aux paysans ! Ceux qui ont loué leurs terres pour implanter des éoliennes. Ils vont « hériter » de machines, et seront imposés sur les plus-values.
Mais, en plus, ils vont ne plus percevoir de loyers, et en plus, ils vont devoir supporter le coût de l’exploitation déficitaire, de la maintenance, du démantèlement , du recyclage des éléments , et de la dépollution du terrain quand les moulinettes seront « mortes ».

  
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gars d1 gars d1
15/10/2025 12:29:57
2

Dédicace spéciale aux escrologistes financiers et ânes à liste verte qui nous indiquaient que le pétrole était fini avec les énergies renouvelables.


Merci au passage de nous donner un aperçu des pertes engendrées de placement dans la sphère mouvante des énergies renouvelables en bourse…

  
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gars d1 gars d1
15/10/2025 12:29:57
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(AOF) - A l'occasion de la présentation de ses principaux indicateurs pour le troisième trimestre 2025, TotalEnergies a indiqué que sa production d'hydrocarbures est attendue à 2,5 Mbep/j (millions de baril équivalent pétrole par jour), en croissance de 4% d'une année sur l'autre, dépassant la guidance trimestrielle et annuelle de plus de 3%, malgré l'impact (environ -50 kbep/j) d'un grand arrêt sur Ichthys LNG. Le résultat et le cash-flow de l’Exploration-Production devraient croître plus rapidement que la croissance de 4% de la production EP grâce à l’accrétivité des nouveaux barils.

Le secteur Integrated LNG devrait générer un cash-flow comparable à celui du deuxième trimestre 2025 dans un environnement équivalent (environ 9 dollars/Mbtu). Le résultat du secteur sera, quant à lui, impacté par l'arrêt planifié sur Ichthys LNG.

Le résultat et le cash-flow de Integrated Power sont attendus en ligne avec ceux du deuxième trimestre 2025 et avec la guidance annuelle.

Le résultat et le cash-flow de l'Aval devraient s'améliorer de 400 à 600 millions de dollars d'une année sur l'autre reflétant l'amélioration de la marge de raffinage en Europe (ERM en hausse à 63 dollars/tonnes vs 15 dollars/tonnes au troisième trimestre 2024), malgré les maintenances planifiées des plateformes de Anvers et Port Arthur.

Malgré une baisse de 10 dollars/baril du prix du pétrole d'une année sur l'autre, le résultat et le cash-flow de l'ensemble des secteurs devraient croître entre 0 et 5% grâce à la croissance accrétive de la production et à l'amélioration des résultats de l'Aval.

Les investissements nets sont attendus à environ 3 milliards de dollars sur le trimestre, bénéficiant de cessions nettes d'acquisitions de l'ordre de 500 millions de dollars.
Une contribution positive de 1 à 2 milliards de dollars du besoin en fonds de roulement est anticipée.

Le ratio d'endettement devrait s'améliorer de 0,5 à 1% par rapport à la fin du deuxième trimestre 2025.

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